The first 5 physical laws of the universe

Les 5 premières lois physiques de l’univers
Cette image pose une partie de la bonne question, à savoir que s’est-il passé avant le Big Bang ? Mais cette question est incomplète car au delà de la connaissance de la structure de l’état d’avant, il faut questionner pourquoi et comment cet état existe. Il s’agit là d’identifier les lois fondamentales de la physique et non pas de proposer des modèles mathématiques. basés sur des hypothèses ou des principes et donc des spéculations. Il convient de remplacer le concept de modèle par l’indentification des lois physiques fondamentales. Puis il faut démontrer que les lois connues sont des déclinaisons des ces lois premières.
Le modèle standard et tous les modèles se positionnant « au delà du modèle standard » sont tous basés sur des prémisses construites sous la forme d’hypothèse. La notion de « modèle » s’appuie sur la dangereuse efficacité des mathématiques. Les 4 principaux écueils sont :
a) le piège de l’autoréférence des mathématiques ;
b) la non prise en compte de l’omniprésence de la dualité en physique fondamentale ;
c) l’application erronée du zéro absolu des mathématiques, en physique ;
d) le principe cosmologique qui donne à tort, un statut universel à la mesure locale ;
Ainsi ces modèles s’évertuent à éluder la physique en la remplaçant par des êtres mathématiques. Les énigmes se multiplient au fur et à mesure de l’essor des moyens observationnels. Le modèle standard prétend obtenir une rigueur sans faille, en recoupant la théorie avec l’expérience locale. Pourtant de multiples expériences prouvent qu’il existe une non localité et donc une dualité de localité. En continuant de croire (il s’agit bien d’une croyance) au principe cosmologique, le modèle standard élude la dualité de localité sans laquelle on n peut rien comprendre.
La fausse rigueur du modèle standard
Il y a déjà l’ambigüité voulue du terme « théorie effective ». Au demeurant, on pourrait se féliciter de cette effectivité. Mais elle n’a rien d’effective au sens d’expliquer la réalité physique car elle ne se base que sur les effets en négligeant les CAUSES ! Le MS se targue d’être rigoureux en confrontant la théorie quantique aux mesures expérimentales. Mais tant que ces mesures ne seront pas indexées à la dualité de localité, non seulement il n’y a pas de rigueur mais de plus, certaines de ces mesures locales induisent de graves erreurs. Le principe cosmologique fait l’amalgame entre « toutes les localités se ressemblent » qui n’est pas loin d’être vraie et l’aspect non local qui caractérise la genèse du Big Bang. C’est ainsi que la dichotomie locale {lepton ↔ boson} est inadaptée pour décrire et surtout expliquer la transition originelle qui a provoqué l’expansion. Une véritable rigueur consisterait en plus :
1) à recenser les près de 100 énigmes du modèle standard ;
2) à vérifier l’aptitude de la théorie à réduire ce nombre ;
3) à faire un ratio entre le nombre des lois physiques originelles, expliquées et leur aptitude à réaliser un nombre significatif de levée des énigmes.
In fine, on peut juger de la rigueur scientifique par l’absence de principe et par le nombre d’énigmes résolues.
Non seulement le modèle standard ignore ces contraintes mais de plus, l’essor des moyens techniques observationnelle, ne fait que révéler d’autres énigmes.
Y-a-t-il des prémisses physiques non hypothétiques ?
Oui il existe des prémisses non hypothétiques, basées sur les 5 premières lois physiques de la nature. Ces lois doivent :
1) expliquer (pas seulement décrire) les causes (pas seulement les effets) de l’état permanent d’avant Big Bang ;
2) montrer clairement que les lois connues en sont déclinées ;
3) montrer des occurrences précises avec les expériences locales et non locales ;
4) résoudre les dizaines d’énigmes qui gênent le modèle standard.
La notion de modèle – s’appuyant sur des prémisses hypothétiques et sur l’ambigüité du principe cosmologique – ne fait qu’augmenter la liste des énigmes. Les modèles au-delà du MS, ont également ce même défaut conceptuel.
Les 5 premières lois physiques
En premier lieu il convient de lever toutes les ambigüités sur le concept d’inertie. Certains font une fausse dichotomie entre la masse grave et la masse inertielle. Dans le cadre des oscillateurs Bodys fondamentaux et stochastiques, l’inertie M est caractérisée par son impédance face à toute variation en matière d’amplitude spatiale L. L’oscillateur Bodys-zéro propose aléatoirement et à chaque cycle, un M au point zéro qui tend vers l’impossible zéro absolu. Chaque nouveau cycle a donc un potentiel d’amplitude L qui tend vers l’impossible infini. Cela forme un couple inséparable M.L qui masque le statut de scalaire de M. Selon DUO5, l’espace-temps actuel est issu de la synchronisation d’un domaine de l’état permanent d’univers (omnivers) soumis au paradoxe existentiel donné par la loi n° 1, ci-après :
Loi n° 1

Cette première loi s’appuie sur la dualité des zéros concernant la probabilité d’avoir une certaine intensité d’inertie au point zéro de chaque oscillateur Bodys-zéro. Cette dualité concerne le zéro absolu mathématique 0A et le zéro symétrique 0S obtenu par la dualité des pôles opposés constituants les oscillateurs Bodys. Cette loi indique la non existence de l’alternative entre l’impossible M égal au zéro absolu et la non justification d’avoir une inertie M même aussi faible que l’on veut. Ce paradoxe existentiel montre que la nature possède le déterminisme de chercher éternellement l’impossible zéro inertie absolue au point zéro. Cette obligation de recherche (ou ce déterminisme) implique de facto, le mode oscillatoire pour un nombre indéfini ou infini d’oscillateurs Bodys-zéro .
Loi n° 2

L’ensemble de la loi DUO5, montre que rien n’échappe au concept de dualité. Cela commence par la résolution naturelle du paradoxe existentiel . On démontre que dans chaque Bodys-zéros , le zéro inertielle M mathématique absolu 0A est impossible a atteindre, au point zéro. Ainsi la dualité ouvre la possibilité du zéro symétrique 0S qui est la seule alternative pour résoudre le paradoxe existentiel par la symétrie des 2 pôles opposés dans chaque Bodys-zéros . La loi n° 3 ci-après, montre que l’inséparabilité du couple {inertie-amplitude}, annule l’aspect scalaire de l’inertie M, ce qui rend possible l’annulation des paramètres physiques des pôles contraires, par symétrie. L’omnivers est ainsi constitué d’un nombre infini d’oscillateurs Bodys-zéros dans lesquels le continuum masse-espace-temps (MLT) est strictement annulé. Mais même sous cette forme masquée, la nature continue de « chercher » en permanence l’impossible zéro absolu à chaque cycle au « point zéro ».
Le zéro symétrique (relatif) est la réponse existentielle à l’impossible zéro absolu
Dans l’omnivers permanent, l’entropie de désordre ou informationnelle, tend vers l’infini. La dualité entropique et l’aspect statistique et le non écoulement du temps, font que le brassage (informationnel) de ces oscillateurs stochastiques, offre une probabilité unitaire d’obtenir un domaine synchronisé, formant le BEC-fossile de rayon RBEC.
Loi n° 3

Cette troisième loi indique que pour chaque cycle, à tout choix aléatoire de M au point zéro, correspond un potentiel d’amplitude spatiale L, inversement proportionnel à l’intensité M. Puis, plus l’amplitude des pôles progresse, plus le potentiel spatial diminue et donc plus l’inertie M progresse. Elle est maximale au point de rebroussement et minimale au « point zéro ». On démontre que ces trois lois sont à la source de la longueur d’onde de Compton ƛe, de l’indétermination de Eisenberg, de la constante de Planck et de bien d’autres relations physiques.
Loi n° 4

Cette loi révèle le facteur ξ4 via des relations connues soit :
a) le ratio entre la force coulombienne et gravitationnelle pour une paire électron-positron ;
b) le ratio entre la longueur de Compton de l’électron et la longueur de Planck, le tout élevé au carré ;
c) elle comprend la constante de structure fine α dont la cause physique est explicitée dans la loi n°5 .
Le facteur ξ4 représente donc le gradient de la force coulombienne qui par division du nombre ξ4 , de pôles présents sur la circonférence du BEC-fossile, provoque la cause de la gravitation. Ce gradient tangentiel – la gravitation – est la conséquence de la séparation causale radiale des pôles de Bodys oscillants.
Loi n° 5

La loi n° 5 donne directement et précisément, la valeur numérique et dimensionnelle de G et ce à partir des seuls paramètres de l’électron. Cette valeur est en parfaite adéquation avec celle indiquée par la CODATA.

Avec le temps relatif à l’oscillation de l’électron :

On obtient également la vitesse c avec un sigma 6, d’une manière inédite, selon :

et la vitesse subquantique en sortie du point zéro commun soit :

De plus la loi n° 5 indique ;
a) que la vitesse subquantique cs des Bodys, est la cause de la vitesse constante c
b) qu’elle est ξ2 fois plus rapide (voir le lien fantôme des paires intriquées) ;
c) que la réduction de l’intervalle : ƛe → ƛo de facteur ξ par la saturation, sur l’aire du BEC-fossile provoque la transition qui sépare et donc révèle les pôles. L’oscillation synchronisée des pôles en couches, est possible grâce à la répulsion tangentielle de Lorentz entre les charges opposées voisines des pôles. Le calcul montre que si l’intervalle élémentaire saturé diminue du facteur ξ lors d e l’arrêt au point de rebroussement, alors c’est la force attractive coulombienne qui l’emporte. Cela provoque le processus suivant :
d) la fusion des paires voisines (locales) en protons dans le cadre de la mitose en 5+1 étapes. Cette mitose du BEC-fossile est nécessaire pour élargir les intervalles élémentaires du facteur ξ², dans les BEC-fils. Le déclencheur est la constante de structure fine α² qui représente le taux d’annihilation primordial et donc le premier taux d’élargissement des intervalles élémentaires. Ainsi la mitose se fait dans la dualité entre le facteur final ξ² et les 5+1 étapes du déclencheur α² . Ces deux ratios doivent impérativement converger, mais comme ils sont d’origines aléatoires différentes, la présence d’une variable d’ajustement est indispensable. Cette variable est le proton, composé de 1841couches d’électrons-positrons nus. En unité « électron mesuré » (donc habillé), cela revient à :

avec un le léger ajustement relatif au passage en 3D.

Cela se généralise avec la loi KOIDE élargie qui démontre que les quarks ne sont que des effets relatifs à l’interaction entre les intervalles des couches neutres et le positron célibataire qui donne sa charge au proton. Cela se recoupe strictement avec la loi 3.

Adéquation avec les mesures
1/ Le facteur ξ2 (longueur Compton sur longueur de Planck) trahit la division par mitose du BEC-fossile. Ce facteur se recoupe avec le nombre d’étoiles dans l’univers en expansion (1022).
2/ Le facteur ξ4 en 1D équivaut en 2D à ξ8 paires électron-positrons séparées sur la surface du BEC-fossile de rayon RBEC. Cela est cohérent avec la masse (totale) de l’univers en expansion soit 1054 kg !
3/ la loi n° 4 est vérifiable par tous
4/ la constante G est prédite dans la fourchette d’erreur de celle donnée par la CODATA.
5/ le ratio de localité confère aux paires électron-positrons originelles, le statut de boson car les voisins appartiennent à des pôles d’origine différentes et non locales. En effet, on vérifie que la charge du proton est strictement celle du positron célibataire qui trône – selon la loi KOIDE élargie, et ses nombreuses occurrences mesurées – au milieu des 1840 éléments qui matérialisent la partie neutre par annulation entre couches opposées.
6/ on vérifie que le proton possède 4 groupes, 3 intervalles polarisés et 3 quarks induits et en adéquation avec la mesure du rayon du proton donné par la superposition des 4 groupes, suit strictement la loi : ML = Cte. On vérifie l’adéquation {nombre d’intervalles de groupes → nombre de quarks} dans les cas : a) muon 1 groupe → zéro intervalle → zéro quark ; b) les pions 3 groupes → 2 intervalles → 2 quarks ; c) les fermions : 4 groupes → 3 intervalles → 3 quarks.
7/ on vérifie que le BEC-fossile à laissé une signature du côté de l’Eridan sous la forme d’un trou unique dont la taille est de plus d’un milliard d’années-lumière.
8/ on vérifie que sa distance estimée colle parfaitement avec celle prédite par DUO5.
9/ on vérifie que la constante de Planck est déclinée de l’électron et de la loi n° 3. En effet, non seulement elle dépend du seul électron mais de plus elle vérifie M.L = Cte selon :

10/ on vérifie (texte à venir) que la seule déclinaison de ces 5 lois fondamentales – sans rajout d’hypothèse – résout 80 énigmes qui minent le modèle standard.
A suivre : la déclinaison des 5 lois résout plus de 80 énigmes.
8 réponses
Et bien tout ce que je puis je penser en vous lisant,c’est que votre théorie, elle s’apparente à la théorie du tout,merci de partager vos articles et de contribuer à l’évolution de ma compréhension de l’univers et de me faire sentir un peu moins ignorant des faits 🤭 Mais concernant toujours les bodys subquantique qui forment l’omnivers et notre univers,je ne sais toujours pas très bien à quel particule faites vous allusion, est ce donc le neutrino ou une autre particule hypothétique genre l’axion ? ou bien cela reste dans les 20% des énigmes à trouver ? 🧐
ps: je me suis procuré un ouvrage que je peux vous envoyer par mail si cela vous intéresse…
« Changers d’univers,Voyager dans l’hypermatrice informationnelle »
auteur: Lama Darjeeling Rinpoché
C’est plus simple si je vous donne le lien pour telecharger🤭: http://lumiereeternel.centerblog.net/m/6579817-rinpoche-darjeeling-changer-univers-2
Bonjour,
La loi DUO5-KOIDE est en effet à classer dans une théorie du tout mais n’entre pas dans le piège de la notion de modèle.
Il n’y a pas « d’hypothétique Bodys » mais juste :
1/ l’obligation d’exister forcée par le paradoxe existentiel qui est démontré ici : https://loiduo5.com/2023/04/23/inertie-et-paradoxe-existentiel/
2/ l’ensemble des articles DUO5 démontrent que toutes les lois connues sont déclinées des Bodys.
3/ c’est grâce au Bodys que 80% des énigmes standards son résolues.
J’emploi la règle de PARRETO soit 80% – 20% pour faire une approximation relative aux énigmes. Pourquoi ? Par le paradoxe suivant : en tant que « dinosaure généraliste », je ne peux pas recenser toutes les énigmes dans chaque spécialité. En revanche, les spécialistes, connaissent leurs propres énigmes mais ignorent celles des autres spécialités. D’où ma prudence avec 80% et 20%.
Je dois ici préciser ici le concept informationnel de la physique : DUO5 s’inspire de l’entropie de désordre de SHANNON qui est sans énergie. Cela revient effectivement à de l’information. Cependant j’ai peur que certains utilise cette notion mais totalement en dehors de la physique et de la rigueur scientifique.
bien à vous
DM
[…] ne se basent ni sur des principes ni sur des hypothèses, mais sur la déclinaison du paradoxe existentiel relatif à la notion d’inertie. On démontre que dans une fonction continue, toutes valeurs […]
I visit eveeyday a feew blogs annd websites to resd posts,
exceot this webgsite gives qualit based content.
[…] 5 lois fondamentales de la loi DUO5, la loi KOIDE élargie, et le précédent article nous avons abordé la cause de […]
[…] 11 énigmes (1-1 à 1-11) relatives au fondement cosmologique et ce, par simple déclinaison des 5 lois premières de l’univers. La première loi d’où sont déclinées les suivantes, est fondamentale car elle répond à […]
[…] cet article dans le cadre de la loi DUO5, il est important de commencer par consulter : The first 5 physical laws of the universe . La déclinaison de ces seules lois résout sans conteste, la centaine d’énigmes du modèle […]
No mattter if some one searches foor hiis vital thing, thus he/she desirws tto bbe available thazt iin detail, therefore that thing is maintaiined ober
here.