Enigmes standard résolues (suite 31-40)
Pour bien comprendre ce qui suit, il convient de prendre connaissance de l’apparition du facteur universel ξ qui apporte la finesse des paramètres de la Bulle-Univers observable.
Dans l’article précédent nous avons résolu 30 énigmes relatives au fondement cosmologique et ce, par simple déclinaison des 5 lois premières de l’univers.
31 l’énigme de la constante cosmologique Λ de dimension L–2
Einstein à introduit l’idée d’une constante cosmologique en pensant justifier sa première vison qui voyait l’univers comme étant statique. On voit d’emblée, l’erreur classique qui consiste à ne pas distinguer les deux états d’univers. La dualité est consubstantielle à la nature. en effet, elle est dotée d’une matrice univers permanente (sans énergie aucune car entièrement stochastique et informationnelle) et d’une Bulle-univers en expansion. Puis devant l’évidence de l’expansion de la bulle-univers, il a raisonnablement renoncé à cette vision. On pourrait considérer que ce n’est pas important mais certains chercheurs voudraient la remettre en avant pour tenter d’expliquer l’accélération de l’expansion. Einstein a proposé cette relation dans laquelle intervient une densité virtuelle ρΛ ; Fp la force de Planck et le terme ξΛ qui a la dimension d’une pression (ou d’une densité d’énergie) et Λ = 10–52 m de dimension L–2. Il vient que L est homogène à un rayon cosmologique de 1026 m qui est légèrement supérieur au rayon de Hubble (13,8 Gyl).
Dans laquelle est introduit la force de Planck, elle même tenant compte de la masse de Planck mP.
En premier lieu tous les paramètres de Planck sont des énigmes pour le modèle standard. De plus on voit ici que la masse de Planck n’existe pas. En effet le seul critère dimensionnel ne suffit pas toujours à fixer un paramètre physique. On a vu que les paramètres de Planck sont des reflets de l’électron au facteur ξn près. Ainsi c4 / G ξ4 donne exactement (au signe près) la force coulombienne entre une paire électron-positron éloignée de la longueur de Compton de l’électron.
La constante cosmologique proposée ici, est modifiée en application des contraintes de la loi DUO5 construite dans le cadre des 5 lois physiques fondamentales. En effet, on a vu que le BEC fossile :
1ere constante cosmologique √Λ-1 = 1,4264×1021 m
avec cs = c ξ², la vitesse subquantique des Bodys ; ƛer la longueur de Compton sur l’axe radial. Cette relation indique que l’avant dernier terme est égal au second terme. On vérifie que chaque BEC-fils (ou BEC-étoile) possède ξ9 Bodys soit ξ11 en tout.
1/ pour les ξ2 BEC-fils, les couches sont générées depuis le PZC de taille ξ ƛe ~5 cm
2/ le nombre de pôles 1D sur l’aire du PZC pour un intervalle de Planck, est de ξ6 = ξ ƛe / ℓp)²
3/ le nombre ξ6 d’une couche, reste constant car la croissance radiale est égale à l’élargissement de ratio ξ² sur le point de rebroussement (PRB) dont l’intervalle élémentaire est celui de la longueur de Compton de l’électron soit ƛe .
2eme constante cosmologique √Λ-1 = 2,348348×1028 m
Elle représente le rayon final de la Bulle-Univers en expansion. Elle se décline dans les 5 relations égales visible dans cet article . en voici une des 5, considérant l’univers final comme un trou noir :
32 l’énigme de l’origine du temps
Selon la théorie de Hawking, le temps commence au moment du Big Bang. Encore une fois, c’est l’approche en mode absolu qui ignore la dualité d’état de l’univers. Son approche n’explique pas vraiment car il fait l’amalgame courant entre EFFETS et CAUSES ! De plus Hawking se trompe car la notion de temps élémentaire, car il son existence est typiquement éternelle dans le cadre des Bodys stochastiques de l’état d’univers stochastique. Selon la loi n°1 dUO5, le paradoxe existentiel s’exprime dans le cadre d’oscillateurs stochastiques qui cherchent aléatoirement et éternellement l’impossible absolu du zéro inertie. Les lois n°2 et 3, indiquent clairement que l’oscillateur stochastique comporte deux pôles opposés de type M.L qui forment un zéro relatif à défaut du zéro absolu. Comme tout oscillateur, il est doté d’une fréquence et donc d’un temps de cycle. Ce temps est directement proportionnel à l’intensité aléatoire à chaque cycle, de l’inertie au point zéro et donc du couple M.L. Mais si son expression est réelle dans le confinement d’un pôle, elle est strictement annulée dans le référentiel Bodys. De ce fait le temps global ne s’écoule pas dans l’état matrice de l’univers !
Dans l’état stochastique et éternel de l’univers, le continuum masse-espace-temps est strictement annulé par symétrie dans l’échelle de chaque Bodys et dans le référentiel global.
L’amplitude L d’un cycle est fonction de 1/M mais le temps d’un cycle est proportionnel à √M.L. Pour que le temps s’écoule il faudra passer par la synchronisation formant le BEC-fossile puis : a) la saturation ; b) la fusion-séparation des pôles, afin qu’ils puissent exprimer leur identité {électron-positron} via leur continuum M.L.T. Il y a ensuite consolidation à l’échelle globale – exprimée sur l’aire du BEC-fossile – pour matérialiser le temps cosmique relatif à l’oscillation de la Bulle-Univers en expansion (1/2 cycle). Le temps élémentaire de l’électron est donné par cette relation dans laquelle on peut voir que T = f(M.L) :
Mais même sous la forme de la Bulle-Univers en expansion et observable, il convient de tenir compte de la dualité de localité ! Ce qui est applicable dans le Bodys soit l’expression de MLT dans la localité d’un pôle et annulation globale, l’est également dans la localité cosmique en regard du référentiel global. Globalement, l’épisode « Bulle en expansion » est à énergie nulle. L’expression locale de la gravitation génère réellement des forces, alors que son expression non locale est strictement annulée selon :
Avec Rm l’amplitude finale de la Bulle-Univers. Ce qui donne sous la forme impulsion :
et sous la forme temporelle :
Dans laquelle le premier terme représente le temps (1019 s = Rm / c) de la demi période de l’oscillateur univers, est annulé dans le référentiel non local par le temps négatif relatif à la gravitation qui s’oppose au déroulement du temps de la bulle-Univers. Que ce soit dans l’état d’univers stochastique global ou dans l’état bulle en expansion globale, la Nature profonde n’a pas à « justifier » de continuum M.LT qui serait magiquement apparu ! C’est tout l’intérêt de la dualité de localité que le modèle standard à « effacé » par son spéculatif « principe cosmologique » .
33 l’énigme du ratio de force coulombienne sur gravitationnelle
Alors que le modèle standard s’entête à ne regarder que ce ratio entre proton et électron, chacun peut constater qu’il est plus raisonnable de comparer une paire électron-positron ou 2 électrons (au signe près) ! Ce ratio égal à 5.70999×1044 :
De plus, la loi DUO5, précise l’origine de ce ratio qui est physiquement lié aux paramètres du BEC-fossile résumés à la résolution 31 ci-dessus. Peu importe la distance séparant les protagonistes puisqu’elle s’annule dans le ratio. Il est clair que la force gravitationnelle est relative à la séparation radiale non locale des pôles de Bodys. Cette séparation n’a pas un statut absolu car la force radiale se reporte localement sur l’axe tangentiel. La force coulombienne entre les deux pôles est strictement égale à la force interne à l’électron. En effet, mo = me / ξ3 est la masse d’un pôle situé au centre du point zéro commun (PZC). En revanche, sa masse sortant de l’aire du PZC vaut : ms = me / ξ2. Ainsi la loi n°3, M.L = Cte est bien respectée.
avec
Qui suit également la constance M.L relative à M.L. En effet, le lien causal et non local entre les deux pôles d’un Bodys est directement indexé à M.L. Ainsi la force radiale F non locale est conservée sur la tangente, en cumulant les ξ4 paires électron-positrons pavant la circonférence. La force locale donnée par le gradient de ce nombre, est donc celle relative à la gravitation.
34 l’énigme de l’indétermination quantique
Heisenberg a énoncé le « principe » d’indétermination, après avoir constaté l’impossibilité de connaître à la fois la quantité de mouvement d’une particule et sa position. Le « principe » d’incertitude est classiquement exprimé par le produit d’un écart type d’impulsion (σp) [M.L.T–1] par un écart type de position (σx) [L]. Ce produit représente la constante de Planck selon :
Cet article montre que l’indétermination quantique est le signe du couplage {quantique ↔ subquantique} ou {matière ↔ Bodys}.
35 l’énigme des rayons cosmiques à 1020 eV
Le modèle standard n’a aucune explication concernant ces protons relativistes à très haute énergie, qui bombardent la Terre en permanence. Cet article indique clairement qu’il s’agit du même phénomène de saturation survenu sur le BEC-fossile. C’est la réaction en chaîne suivante : fusion des pôles voisins (+/–) en protons → annulation des charges → séparation radiale des pôles des Bodys → révélation des masses des pôles (électron-positrons) → poursuite de l’impulsion à vitesse c → mitose-expansion. Mais cette expansion à vitesse c est la même que celle des BECs de l’espace temps. Il n’y a donc pas d’effet relativiste. En revanche, dans les BECs superposés d’un trou noir galactique, les protons expulsés à vitesse c, présentent un différentiel de vitesse c avec l’espace-temps statique déjà présent. On peut ainsi atteindre le facteur de Lorenz maximum, soit ξ ! On vérifie l’énergie maximale que peut atteindre un proton d’énergie : Ep = 9,38×108 eV au repos :
Selon la loi DUO5, la vitesse moyenne subquantique des pôles de Bodys, se situe à ξ² c ! Comme toutes choses, le facteur relativiste dépend du couplage proton ↔ Bodys. C’est un transfert d’énergie dont la limite est fixée la racine carrée du facteur ξ². En effet, c’est comme pour les bosons de jauge, le transfert entre la corde 1D subquantique 1D vers les couches 2D des particules quantiques revient à limiter le transfert à la racine carrée, soit : √ξ² = ξ.
36 l’énigme de la densité cosmique
Le modèle standard estime la densité photonique à σact = 4,1×108 ph/m3. Il estime la densité baryonique à 3,76×10-28 kg/m3. La loi DUO5 calcule la densité photonique pour le rayon maximum de l’expansion Rm = 2843 Gyl, revient à celle d’un BEC isolé (non enchevêtré) : σBEC = 4,7×103 ph/m3. Le ratio entre ces deux densités, donne la taille actuelle de la Bulle-Univers en expansion. matière (DM + baryonique) à 1,98×10-26 kg/m3.
Cela laisse apparaître que la matière noire à l’échelle cosmique, est 52,84 fois plus importante que la masse visible.
37 l’énigme de la force forte
Selon le modèle standard, l’interaction forte est la plus forte des interactions fondamentales. Sa constante de couplage est environ cent fois plus grande que celle de l’interaction électromagnétique, un million de fois plus que celle de l’interaction faible, et 1039 fois plus que celle de la gravitation. La théorie prévoit que l’intensité de l’interaction forte tend vers zéro quand la distance tend vers zéro. Ce phénomène, appelé liberté asymptotique, permet aux quarks de se déplacer librement au sein des hadrons. Lorsque la distance augmente, l’intensité de l’interaction forte augmente (contrairement aux autres forces). Au-dessus d’une distance limite, l’énergie est suffisante pour créer des paires quark-antiquark qui reforment des hadrons. Cette propriété est appelée confinement de couleur. La théorie standard qui décrit l’interaction forte est la chromodynamique quantique, (QCD). Elle considère que chaque quark porte une charge de couleur qui peut prendre trois valeurs : « bleue », « verte » ou « rouge ». Un hadron ne peut exister que si sa couleur totale est neutre ou « blanche » ou « singulet de couleur.
L’unification des forces fondamentales de la Nature reste une énigme cuisante pour le modèle standard. Les modèles mathématiques qui éludent les causes physiques, n’ont aucune chance d’aboutir.
En revanche, la loi DUO5 explique la CAUSE de toutes les forces de la Nature, y compris la force forte. Elle découle directement de l’empilage des couches neutres de paires électron-positrons formant les particules composites. L’empilement des couches masque les charges élémentaires contraires. Forcer le démasquage des couches voisines, revient à révéler les charges, à une courte distance. Durant le démasquage des charges opposées la force décroit en 1/√r puis après le démasquage complet, il y permutation des signes et l’allure passe en 1/r².
Avec Fe la force élémentaire (électron), G = 460 (nombre d’un des 4 groupes neutres), on obtient la valeur numérique de la force forte. La partie gauche de la courbe décroit vers zéro en cours de permutation des intervalles polarisés. En effet, la couche positron s’approche et se masque avec l’intervalle d (négatif). C’est le bref passage à zéro. Il traverse en direction de l’intervalle u (positif) qui le repousse pour trouver progressivement un équilibre (force nulle) entre les deux intervalles polarisés.
38 l’énigme de la force faible
Selon la loi DUO5, le boson W est l’apparition furtive d’un Bodys à l’échelle quantique. Il accompagne (ou compense) le changement de statut de masquage d’une paire électron-positrons, préalablement contenue dans un muon ou un neutron.
Le boson W est matérialisé par l’éjection d’un Bodys provoquant la permutation de type de masquage {superposition → opposition}.
Dans le muon ou le neutron, il existe une paire de couches superposées et concentriques qui masquent leur charge. Cette paire – destinée à devenir neutrino – permute en mode dipolaire où les deux pôles opposés annule les masses par symétrie. La Nature cherche par tous les moyens d’annuler les masses, et les neutrinos de l’échelle quantique sont le reflet des Bodys de l’échelle subquantique.
Le boson W est matérialisé par l’éjection d’un Bodys provoquant la permutation de type de masquage {superposition → opposition}.
Ainsi la masse calculée de ce boson W correspond parfaitement à celle qui est mesurée à : 80.403(29) GeV soit :
compatible avec 80,377(12) MeV du PDG 2022 et :
39 l’énigme de l’effet tunnel
L’effet tunnel désigne la propriété que possède un objet quantique de franchir une barrière de potentiel même si son énergie est inférieure à l’énergie minimale requise pour franchir cette barrière. Selon le modèle standard, c’est un effet purement quantique, qui ne peut pas s’expliquer par la mécanique classique. Pour être clair la cause physique de ce phénomène est une énigme pour le modèle standard.
Faute d’en trouver les causes, il évoque ainsi la fonction d’onde dont le carré du module représente la densité de probabilité de présence qui s’atténue exponentiellement à l’intérieur de la barrière.
La loi DUO5, indique clairement que tout s’explique en considérant la dualité {quantique ↔ subquantique}. Toute particule est toujours couplée avec un Bodys, via le canal subquantique. Ainsi, l’état « onde » d’une particule quantique, peut-être partout à la fois. La barrière de potentiel n’existe pas pour le réseau subquantique formant l’espace-temps. Ainsi l’action de la mesure, la fige à l’endroit de sa valeur moyenne . La loi fondamentale qui régit les Bodys soit ML=Cte, est la source d’au moins 7 phénomènes relatifs au couplage {quantique ↔ subquantique} :
1/ l’intrication des spins (voir lien fantôme à longue distance)
2/ l’indétermination de Heisenberg
3/ La dualité onde – corpuscule
4/ la longueur d’onde de Compton de l’électron
5/ le rayon du proton relativement à l’électron
6/ la médiation des particules dans l’espace-temps
7/ la désintégration bêta +
40 l’énigme de la durée de vie du neutron
D’astucieux expérimentateurs ont mesuré avec précision la durée de vie du neutron libre. Ce temps est de 887,7 secondes. Le modèle standard ignore la cause de cette instabilité, ainsi que la cause de cette durée de vie.
Ci-dessus le diagramme de Feynman de la désintégration bêta d’un neutron en proton. Les quarks sont en réalité les intervalles polarisés des 4 groupes. La permutation des quarks est juste le reflet de la permutation des intervalles polarisés.
En cohérence avec la cause expliquée de l’apparition du proton, la loi DUO5, donne précisément la durée du neutron libre :
La permutation des intervalles polarisés (quarks) est la conséquence de l’extraction de l’électron. La paire isolée et masquée en mode superposition commute en une paire masquée en mode opposition, soit le neutrino sans masse apparente. L’annulation de la masse nécessite ξ² cycles de temps te (commun électron-Bodys) pour compenser le Δm par symétrie à l’échelle subquantique. Le boson W est l’apparition furtive d’un Bodys .
Avec P = 1836.15 la masse du proton exprimée en unité électron habillé et σP = 1841/ P = 1.0026399, le couplage du proton . Cette durée de vie est compatible avec la dernière mesure en 2021, précisée à : 887.7 s (+/- 0.39%). L’émergence du neutrino électronique est provoquée par l’extraction subquantique et furtive du boson W qui est en fait un Bodys.
Ci-après la permutation des intervalles polarisés lors de la désintégration neutron → proton :
La mer de fermi est le témoin de la perturbation faisant couplage {quantique ↔ subquantique} sous forme de fréquences stochastiques. C’est le taux d’habillage du proton soit : 1841 / 1836.15 = 1,0026.
Une réponse
Hi, yees his paaragraph is acxtually nic and I have learned lot off things from iit about blogging.
thanks.