Cause du principe d’indétermination

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Cause du principe d’indétermination

Heisenberg a énoncé le « principe » d’indétermination, après avoir constaté l’impossibilité de connaître à la fois la quantité de mouvement d’une particule et sa position. Le « principe » d’incertitude est classiquement exprimé par le produit d’un écart type d’impulsion (σp) [M.L.T–1] par un écart type de position (σx) [L]. Ce produit représente la constante de Planck selon :

Bien que ce principe soit démontrable, cela n’indique en rien sa cause physique fondamentale. Comme déjà vu ici, cette relation peut-être posée en mettant en exergue la variation de masse dm relative à l’inverse de la variation d’amplitude dℓ de son onde associée, le tout multiplié par la constante c :

En retirant la constante c, on obtient la clé du fonctionnement des Bodys, desquels la matière et l’espace-temps, sont les héritiers naturels.

Cela indique clairement qu’à l’échelle quantique ou subquantique, la masse et son potentiel d’amplitude, sont indissociables. Plus la masse initiale est petite, plus son potentiel d’amplitude (ou d’instabilité), est grand.

Dans l’oscillateur quantique ou subquantique, le concept d’inertie M est indissociable de son instabilité L qui est inversement proportionnelle à son intensité. C’est la loi universelle M.L = Cte, qui est à l’origine de la constante de Planck.

A cette échelle, on ne peut évoquer le scalaire m sans sa conséquence ℓ. Cela veut dire que le couple m.ℓ n’est plus un scalaire. A ce titre il peut s’annuler algébriquement, par symétrie, sous certaines conditions.

Rappel du fonctionnement du Bodys stochastique

L’oscillateur Bodys répond à l’exigence de la Nature qui tend à obtenir – à chaque cycle d’oscillation – l’impossible « zéro absolu inertiel » au point zéro. C’est le fameux paradoxe existentiel car toute présence de masse, serait injustifiable. La nature résout ce paradoxe par la symétrie parfaite offerte par la forme dipolaire des oscillateurs Bodys-zéros qui constituent l’appellation naïve du « néant » . A défaut du zéro absolu (0A) parfait, la nature obtient un zéro symétrique (0S) parfait, par la somme algébrique des deux pôles oscillant en sens contraire :

il y a une dualité fondamentale des zéros qui n’est pas prise en compte par l’approche mathématique.

Le fonctionnement du Bodys stochastique est le suivant : à chaque cycle au passage « point zéro » de chacun des pôles, il existe un potentiel infini de valeurs mo → 0A aléatoirement aussi proches du zéro absolu que l’on souhaite. Chaque valeur détermine son propre potentiel d’amplitude ℓ. Selon M.L = Cte, la progression d’un pôle vers son « point de rebroussement » diminue son potentiel spatial L et donc sa masse augmente. On a vu que la charge coulombienne est constante (équation 2) car strictement fonction du produit m.ℓ. Ce produit change aléatoirement à chaque nouveau cycle mais reste constant dans sa durée.

Séparation causale des pôles des Bodys synchronisés

Selon DUO5, et la loi KOIDE élargie, les pôles de Bodys synchronisés dans le BEC-fossile, sont les ancêtres des paires électron-positrons. Au point de rebroussement, le pôle atteint la masse de l’électron et son reste d’amplitude associée est sa longueur d’onde de Compton. Son solde de vitesse est fixé à c.

Lors de la saturation-fusion-séparation – au point de rebroussement (annulé) – les pôles (+/-) deviennent des paires électron-positrons libérés et animés de la vitesse c. C’est la cause de l’expansion. On a vu que ces pôles contraires fusionnent en couches pour former les neutrons et protons. Dans le proton, il reste toujours un positron célibataire qui lui donne sa charge. La symétrie électron-positron, est ainsi conservée.

Fonctionnement de l’électron libre

Le pôle baptisé « – » et libéré de son Bodys, est devenu électron. Il passe du statut oscillateur dipolaire à oscillateur monopolaire. Son rayon « ponctuel » est estimé dans un piège de Penning comme inférieur à 10–22 m. Ainsi le modèle standard le considère comme étant ponctuel. Il y a également le «rayon classique » (2,8 × 10−15 m) et le rayon (d’onde) de Compton (ƛe = 3.86 × 10−13 m). Le ratio (non expliqué par le modèle standard) entre ces deux types de rayons, est donné par α = 137.03599, la constante de structure fine. La loi DUO5, indique clairement que ce ratio vient très précisément de l’élargissement de l’intervalle élémentaire, relatif à l’annihilation primordiale.

En éludant les causes physiques de l’existence de l’électron, le modèle standard a posé arbitrairement que le rayon « particulaire » de l’électron est « ponctuel ». C’est encore une fois, faire appel aux valeurs absolues, alors qu’elles sont incompatibles avec la physique !

Cause de la dualité onde-particule de l’électron

Le modèle standard constate cet effet surprenant, mais sans en expliquer la cause physique. Selon DUO5, les électrons (et positrons) sont nés de la séparation des pôles de Bodys sur l’aire du BEC-fossile. Cette séparation est la conséquence de la réduction de facteur ξ de l’intervalle tangentiel élémentaire qui le ramène à : ƛr = 2,.498 × 10−24 m (compatible avec le rayon de Penning <10−22 m ). L’intervalle élémentaire radial est la cause de sa longueur d’onde de Compton (ƛe = 3.86 × 10−13 m). Cette anisotropie de facteur ξ est la cause du déséquilibre du BEC-fossile et donc de sa division en mode mitose pour rétablir dans ξ² BEC-fils (moins dense), l’isotropie des intervalles élémentaires. Ainsi le tableau suivant montre l’oscillation locale de l’électron. Cela donne son moment cinétique ħ/2 si l’on multiplie par c.

L’électron de masse moyenne me oscille (en 2D) localement entre son rayon de Penning et sa longueur d’onde de Compton. Il est couplé à un pôle de Bodys (non local) par son canal 2D ↔ 1D qui oscille en 1D entre cette localité et le Point Zéro Commun (PZC) du BEC. A ce point zéro la « masse-image » de l’électron est celle de Planck réduite mPo. Le couplage de l’électron à la non-localité subquantique des Bodys, est la cause de la causalité élargie relative à l’intrication des spins.

En cohérence avec l’ensemble DUO5, la configuration de l’électron en 2D lui donne un facteur d’oscillation ramené à la racine carrée de ξ², facteur relatif à l’échelle subquantique 1D.

Les deux rayons d’oscillation locale de l’électron, sont hérités de l’anisotropie des intervalles entre pôles de Bodys lorsqu’ils sont situés au point de rebroussement du BEC-fossile. Le couplage avec un pôle de Bodys est la cause de l’habillage de l’électron. Cet habillage est une perturbation de la symétrie des Bodys tissant l’espace-temps. Le pôle local transfère une (petite) partie de sa masse sous forme de sous-harmoniques. Le modèle standard appelle cela des « fluctuations quantiques du vide, de particules virtuelles ».

Sans intégrer la dualité de localité, on n’a aucune chance d’expliquer la cause physique de l’existence de l’électron.

Ambiguïté de la masse de Planck

Cet article montre clairement les erreurs de Planck, relatives à l’énorme masse de Planck. Il utilise des combinaisons dimensionnelles relatives à G, ħ, c, sans prendre conscience des causes physiques. Ainsi, si la longueur de Planck correspond effectivement à un paramètre subquantique, ce n’est pas le cas pour la masse.

1/ La première erreur consiste à utiliser les paramètres G, ħ, c, sans prendre conscience qu’ils sont tous issus des paramètres de l’électron et du facteur ξ.

2/ La seconde erreur (relative à la première) consiste à ignorer le ratio (pourtant évident) ξ² entre les paramètres de Planck et ceux de l’électron.

3/ La troisième erreur (relative à la première) consiste à utiliser (sans la nommer) la loi canonique M.L = Cte, sans prendre conscience qu’elle est relative à l’électron. Cette loi (mal gérée) amènerait à considérer que la « petite » longueur de Planck « devrait » donner une grande masse (de Planck). C’est faux car la masse initiale n’est pas celle de l’électron mais sa masse, réduite du facteur ξ².

Conclusion

La loi fondamentale qui régit les Bodys soit ML=Cte, est la source d’au moins 7 phénomènes « quantiques » ou plutôt subquantiques :

1/ l’intrication des spins (voir lien fantôme à longue distance)

2/ l’indétermination de Heisenberg

3/ La dualité onde – corpuscule

4/ la longueur d’onde de Compton de l’électron

5/ le rayon du proton relativement à l’électron

6/ la médiation des particules dans l’espace-temps

7/ l’effet tunnel

Le classement standard des particules sur le seul critère du spin n’est pas suffisant. Mettre dans la même famille, l’électron (seule particule fondamentale élémentaire stable à l’état libre) avec des muons ou tauons (composites et instables) ou des quarks (induits et instables à l’état libre), est une grave erreur. Le tableau ci-dessus, montre que l’électron libre (non orbital) fonctionne sur 5 échelles spatiales.

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2 réponses

  1. […] (1) le néant physique : devant une telle difficulté à l’expliquer, le MS évoque les fluctuations quantiques d’énergies virtuelles que l’on peut observer localement c’est à dire, « hic et nunc ». Comme le MS n’explique pas la cause de ces fluctuations, alors il suppose que ce phénomène est également applicable non localement c’est à dire « avant et loin ailleurs ». Bien que de nombreuses expériences attestent l’existence de la dualité de localité, de nombreux physiciens continuent de croire (il s’agit bien d’une croyance) au naïf « principe cosmologique ». Baser toute une théorie sur un « principe » c’est à dire un « arrangement de facilité », n’est pas sérieux. On a fait l’amalgame entre « cette localité n’est pas spéciale, elle est donc universelle » (ce qui est presque vrai) et « un état de non localité », mesuré entre autres dans diverses expériences et notamment celle relative à l’intrication des spins. […]

  2. […] Cet article montre que l’indétermination quantique est le signe du couplage {quantique ↔ subquantique} ou {matière ↔ Bodys}. […]

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