Copie d’un billet sur le néant
J’ai envoyé ce billet-commentaire à mon ami Richard Olivier HARTMANSHENN sur un billet publié sur son site, traitant du phénomène de turbulence.
La dualité fondamentale est celle relative à l’entropie informationnelle (versus Shannon). Le néant est statistiquement constitué d’une infinité d’oscillateurs duaux, stochastiques et chacun de résultante zéro masse-espace-temps. Chacun possède une fréquence, une phase et un point zéro, purement aléatoire. Ainsi l’entropie informationnelle globale tend vers l’infini. Mais statistiquement une relative petite partie, tend à limiter (1) l’entropie informationnelle en se synchronisant. Comme le temps global ne s’écoule pas, cela arrive forcément sous la forme d’un BEC à l’échelle cosmique (2). C’est le début d’un cycle d’univers observable. La factorielle déterminant cette probabilité est tellement immense qu’elle apparaît comme inconcevable. Ainsi l’extrêmement grand nombre d’essais aléatoires amenant une très grande majorité d’échecs, finissent quand même par trouver des équilibres viables pour aboutir à un cycle d’univers observable.
La question fondamentale est : pourquoi existe-t-il de tels oscillateurs ? La réponse est clairement donnée par le paradoxe relatif à l’inertie. En effet, on démontre que le zéro absolu est impossible à atteindre, alors que la présence « magique » d’une inertie >0 est injustifiable. Ainsi la dualité de ces oscillateurs représentent la seule et unique solution pour résoudre ce paradoxe par l’obtention d’un zéro relatif (algébrique) parfait, à défaut de l’impossible zéro absolu !
Autre question : pourquoi une fois atteint le zéro relatif, la nature poursuit-elle sa recherche aléatoire du « zéro inertie absolue » ? La réponse est que la solution du zéro dual n’est qu’un pis aller pour résoudre le paradoxe existentiel car malgré l’annulation par opposition, dans le confinement des pôles de chaque oscillateur, le « point zéro » n’est jamais tout à fait à zéro.
En tant qu’enfant de l’univers, nous sommes tous « bipolaires » dans le cadre de la dualité existant entre le bonheur absolu et la gestion de la dure réalité. Ceux que l’on caractérise bêtement comme « bipolaires », sont en réalité des personnes qui ont du mal à gérer la (saine) bipolarité qui est propre à tous les vivants car elle est héritée des canons de l’univers.
La mathématique avec son « zéro absolu » ne peut en aucun cas mener à ce raisonnement logico-déductif. Encore une fois, si elle a une grande capacité à DECRIRE la physique elle n’a aucune chance de l’EXPLIQUER en la remplaçant par des êtres mathématiques .
(1) Comme toutes choses en physique, le zéro absolu et l’infini n’existe pas. En revanche l’aspect « nombre » comme celui relatif aux d’oscillateurs primordiaux (zéro relatif parfait) peut être infini ou indéfini. Ainsi, non seulement la probabilité de synchronisation – bien qu’extrêmement faible – ne peut-être nulle, mais de plus, elle sauve de l’ineptie d’une entropie informationnelle infinie !
(2) voir ici l‘inflation cosmique qui s’approche de la théorie DUO5.
Tous mes articles
Une réponse
No matterr iff some onne searcdhes ffor hhis required thing, thus he/she wishes to bee availahle that iin detail, sso that thin iss maintained
ovger here.