The ambiguity of the spin of the electron
L’ambiguïté du spin de l’électron
Le modèle standard considère que le spin intrinsèque des particules quantiques, n’a pas d’équivalence classique. Le modèle standard entretient un flou qui est trahit par cette phrase relevée dans Wikipédia : « le spin est souvent assimilé au moment cinétique « . Le qualificatif « souvent » n’est pas adapté car le spin est toujours représenté par la constante de Planck dont la dimension est strictement celle d’un moment cinétique [M L² T-1]. En 1925 Samuel Goudsmit et George Uhlenbeck considéraient l’électron comme étant « ponctuel » et tournant sur lui-même. Puis Wolfgang Pauli a montré que cette rotation était incompatible avec la relativité restreinte, car la vitesse tangentielle de cette rotation dépasserait la vitesse de la lumière d’un facteur 2 π relativement à son « rayon » de Compton ƛe , soit : c’ > c =2 π ƛe / te . Devant ces paradoxes, il a été admis qu’il s’agissait d’un phénomène « quantique« , hors de portée de toute explication physique. Mais grâce à la dangereuse efficacité des mathématiques, un modèle – limité à sa propre « auto-cohérence » – à été proposé. L’insondabilité du coeur de l’électron a été contournée en assimilant imprudemment le spin intrinsèque au spin orbital. Par ailleurs les expériences d’Alain ASPECT, nommées à tort « intrication quantique« , ont montré à la surprise générale, que la notion de spin est NON LOCALE ! Là encore, l’explication des causes physiques, a été éludée. Outre le piège classique de l’auto-cohérence, dénoncé par le théorème d’incomplétude de Gödel, le remplacement de la physique par la mathématique, implique des valeurs absolues telles que le zéro et l’infini et l’instantanéité de l’action entre paires intriquées. En résumé, le modèle standard élude la physique et la remplace par des « êtres mathématiques ». Cela débouche sur l’amalgame entretenu entre cause et effet et/ou explication et description.
Le zitterbewegung
En 1928 Grégory BREIT découvre que l’électron est animé d’un « mouvement de tremblement » qu’il a nommé le « zitterbewegung ». Le modèle standard propose qu’il s’agit de l’interférence des « ondes de probabilité » décrivant des états d’énergie positives et négatives. Concernant de phénomène, Schrödinger avait prédit une fréquence de 1021 Hz soit un temps te = 10-21 s. Cette oscillation devant être localisée dans l’espace de Compton soit : ƛe = te c = 10-13 m. La loi DUO5 rejette cette notion purement mathématique et évasive « d’ondes de probabilité » pour la remplacer par le couplage effectif entre l’électron et un des Bodys tissant l’espace-temps.
C’est ce couplage avec le niveau subquantique qui rend la position floue avec les moyens de mesure dont on peut disposer et les très ingénieuses méthodes employées par les expérimentateurs. Cependant, il y a en effet des états virtuels d’énergies positives et négatives qui relèvent précisément des pôles opposés des oscillateurs Bodys à caractère non local. C’est une oscillation de type quantique ↔ subquantique. Les particules virtuelles sont des émergences fugaces des pôles de Bodys. Selon DUO5, le spin est de statut non local puisqu’il interagit avec les Bodys. Cela est largement vérifié par le phénomène de « lien fantôme » à longue distance relatif à l’intrication des spins. Contrairement à la position floue du modèle standard, qui se borne à déclarer que c’est un phénomène « quantique » ou « magique », la loi DUO5 indique que l’intrication de spin revient à la synchronisation de l’oscillation avec le couplage avec les Bodys subquantiques.
Approche physique de la structure de l’électron
Selon DUO5 et la KOIDE élargie, l’électron est un ex-pôle d’oscillateur Bodys-zéros. Dans les Bodys, la paire de pôle combinée (en singulet), forme un boson de spin nul. Sur le BEC-fossile, la séparation causale des deux pôles en un seul, (devenant électron ou positron), lui a conféré un spin 1/2 ħ de dimension [M L²/T]. Ce spin est physiquement le résultat du produit de deux constantes canoniques : M.L × c de dimension classique [M L²/T]. Il s’agit d’une oscillation linéaire de longueur ƛe dans la période te et donc à la vitesse c = ƛe / te . Cela revient donc à : me ƛe² / te . L’enveloppe 2D f(ƛe²) de l’électron, oscille entre la longueur de Compton et l’épaisseur 1D du Bodys avec lequel il est couplé. Conformément aux contraintes DUO5, cette épaisseur est fixée à la longueur de Planck. Ce changement conjoint de taille et de dimension spatiale {2D – 1D}, est hérité de l’aire du BEC fossile où l’épaisseur des Bodys est la longueur de Planck et l’intervalle radial est matérialisé par la longueur de Compton.
L’électron libre est le témoin objectif du maillage des oscillateurs Bodys structurant l’espace-temps dont il est issu après séparation non locale des pôles opposés de Bodys sur l’aire saturée du BEC-fossile. Avec son alter ego positron, d’origine non locale, ils se comportent comme un boson qui compose la partie neutre du proton. La charge de ce dernier est précisément et sans conteste, celle du positron célibataire. Cette paire est différente de la paire électron-positron créée localement de statut instable. La grande erreur du modèle standard est de croire naïvement au caractère absolu de l’expérience locale.
La cause du « tremblement » observé de l’électron est le couplage avec un Bodys qui se manifeste par une oscillation entre l’épaisseur 1D de son pôle originel et l’intervalle élémentaire radial entre Bodys composant le BEC.
Conclusion
Le zitterbewegung traduit le besoin de l’électron libre (célibataire), d’osciller avec le pôle positif d’un des Bodys structurant l’espace-temps. Cependant le lien causal non local d’un Bodys, amène à interférer avec ses deux pôles. Cela se traduit par l’habillage par des « particules virtuelles » qui trahissent la présence des Bodys subquantiques de l’espace-temps. Einstein avait raison d’évoquer le continuum masse-espace-temps car c’est ce qui caractérise l’oscillateur subquantique non local. L’électron – hérité de la séparation causale des pôles de Bodys sur l’aire du BEC-fossile – montre clairement son origine d’espace-temps. Le positron (probabilité 1/2 de la généralisation initiale de sa position centrale dans le neutron) reste – à cause de cela – toujours prisonnier du proton car seul l’électron est éjecté. Le modèle standard n’a pas repéré le double statut de l’électron : 1/ l’électron naturel qui est réputé stable ; 2/ l’électron créé localement (avec son alter ego positron) qui est instable.
La saturation de la partie surfacique des Bodys du BEC-fossile tissant l’espace-temps, a diamétralement séparé (non localement) les pôles opposés qui ont fusionné localement en neutron-protons. La couche célibataire (électron-positron) a forcément un élément plus externe que l’autre. Le hasard a choisi et généralisé l’électron qui est donc éjecté par le neutron. Le positron célibataire reste prisonnier du proton et lui donne exactement sa charge. La théorie DUO5 prouve la CAUSE de l’existence du proton qui matérialise la variable d’ajustement qui permet de réunir les deux causes aléatoires de la mitose primordiale.
La cause de la gravitation est relative à cette séparation non locale des pôles opposés. La loi DUO5 le prouve par une relation simple et incontestable relative à la saturation primordiale. La gravitation tend à relocaliser tous les pôles séparés (faisant matière) pour qu’il s’annulent à nouveau (chacun à chacun par symétrie) à défaut d’obtenir l’impossible zéro absolu.
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