Les lois canoniques de l’Univers

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Les lois canoniques de l’Univers

Ci-dessus, une image naïve de la dualité

En 1948, Fred HOYLE propose un univers stationnaire, en contradiction avec le modèle de Lemaître, né de la désintégration (magique) d’un atome. Ces deux options relèvent de la démarche naïve du « tout ou rien » qui évite la dualité. Devant ce choix binaire : « Big Bang en expansion » ou « Etat stationnaire éternel », le modèle standard à éliminé la seconde version car la partie « expansion » de la première, est bien observée. A aucun moment, on s’est posé la question du mélange entre ces deux options. En effet la loi DUO5 démontre que s’il existe en effet un état d’univers éternel basé sur le paradoxe existentiel des lois fondamentales de la physiques, il n’est pas du tout stationnaire. Ce néant à entropie informationnelle « bouillonnante », le rend tellement évolutif qu’il génère un flux de synchronisation dans un BEC-fossile. Ce flux arrivant à saturation, entre en mode « mitose expansion » qui peut se résumer par un « Big Bang ». Cependant ce type de Big Bang ne vient pas d’une « singularité initiale » née d’une magique « fluctuation quantique « , mais de l’application des premières lois canoniques de la physiques fondamentales de la nature.

Les lois physiques éludées par le modèle standard

Exporter les mesures locales aux prémisses de l’univers – sans prendre en compte la dualité de localité – est une spéculation aux graves conséquences.

La spéculation déclarant le « principe » d’isotropie et d’homogénéité de l’univers, est largement démenti par les dernières observations. Mais de plus, le MS écarte arbitrairement certaines mesures gênantes. Par exemple, il ignore volontairement l’indiscutable occurrence entre la charge du positron et celle du proton. De ce fait, il pose une symétrie « bancale » entre le proton et l’électron pour obtenir le (faux) ratio entre la force coulombienne et la force gravitationnelle. Pourtant la symétrie flagrante entre le positron et l’électron, donne la clé du ratio universel ξ . Cette clé donne la cause de la gravitation. Ce même ratio ξ2 est également ignoré alors qu’il est efficient entre les paramètres de l’électron et les paramètres de Planck.

Le tableau ci-après, montre l’universalité du ratio ξn et, entre autres, l’extrême importance de ξ4 qui vérifie à la fois le ratio entre la force coulombienne et la force gravitationnelle et le nombre de pôles séparés sur la circonférence du BEC-fossile. Il montre également le nombre de galaxies primordiales ( ξ = 1.54×1011) et le nombre d’étoiles primordiales, ξ2.

Créer localement une paire électron-positron instable, est très différent de la permutation originelle héritée des pôles séparés de leur Bodys. Ces dernières sont des pseudos bosons car elles fusionnent sans s’annihiler. Ainsi la symétrie est sauve car les positrons sont toujours confinés comme l’atteste la charge du proton.

La paire électron-positron, issue des pôles de Bodys séparés

La loi M.L = Cte amène au point de rebroussement, la masse M des pôles au niveau de celle d’un électron puisque le L final est réduit à ƛe . Cette masse s’annule parfaitement tant qu’il n’y a pas de séparation au sein des Bodys. Si la séparation des pôles des Bodys périphériques, devient effective, alors la masse des pôles non annulée, devient celle de l’électron et du positron.

Le paradoxe existentiel de la Matrice stochastique

La nature qui ne saurait tolérer la présence magique d’une inertie M > 0 cherche sans relâche l’impossible « parfait zéro absolu ». Il existe ainsi une espérance du zéro absolu – noté 0A – mais elle est aussi impossible que le risque zéro. En effet, dans une fonction continue, l’intervalle élémentaire est réputé être infiniment petit. Ainsi il existera toujours une infinité d’intervalles élémentaires séparant toute valeur aussi petite que l’on souhaite, qui séparera cette valeur du zéro absolu. Ainsi le paradoxe existentiel est que toute valeur de M plus grande que zéro est aussi injustifiable que le zéro absolu :

(M > 0A ; M ≡ 0A)

Il n’y a pas d’existence d’une inertie M magique qui puisse être plus grande que zéro ou égale au zéro absolu. Ainsi une infinité de tirages oscillants ne saurait trouver un zéro inertiel absolu. Ce concept d’absolu d’origine religieuse, qui a toujours fait bon ménage avec les mathématiques, est strictement interdit en physique. Ainsi la Nature – avide de zéro parfait – n’a d’autre choix que la symétrie dipolaire pour obtenir un parfait zéro symétrique, noté 0S. On obtient cette première approche.

(M + M’) ≡ 0S

Mais le caractère scalaire de l’inertie M, ne saurait s’annuler vectoriellement sans admettre qu’à ce niveau fondamentale, le couple M.L forme une entité inséparable. Cela se traduit dans un néant fait d’une infinité d’oscillateurs dipolaires stochastiques, les Bodys-zéros.

Le principe d’incertitude est hérité du Bodys avec M.L = Cte

La loi DUO5 démontre que la loi de Compton et celle de l’indétermination de Heisenberg, sont héritées du fonctionnement linéaire des pôles de Bodys subquantiques 1D, par la relation canonique :

Concernant la loi de Compton, on constate que le rayon du proton est relatif à celui de l’électron de masse M s’il est comparé à l’un des 4 groupe de 456 M chacun. Cette masse d’un groupe qui vaut : 1836,15/4 ~ 456 M donne son rayon qui est 456 fois plus petit que le rayon de Compton de l’électron. Concernant l’incertitude, on peut vérifier que l’expression linéaire M.L est en 1D, la réplique du moment d’inertie classique M.L², relatif à la rotation. Le « principe » d’incertitude est classiquement exprimé par le produit d’un écart type d’impulsion (σp) [M.L.T–1] par un écart type de position (σx) [L]. Ce produit représente la constante de Planck selon :

C’est M.L = Cte, auquel on rajoute la constante c, soit :

Ces étrangetés quantiques sont héritées des Bodys dans lesquels la notion d’inertie M est intimement liée à la notion d’amplitude L.

La nature continue d’espérer le zéro absolu dans les Bodys dipolaires

Ainsi, la loi DUO5 montre que l’univers est composé d’une matrice stochastique éternelle non connexe fait d’une infinité de Bodys-zéros 1D. Le continuum masse-espace-temps n’existe pas. Ainsi le non écoulement du temps ouvre la voie à une infinité de brassages aléatoires. L’entropie informationnelle tend vers l’infini. Cela débouche sur une probabilité non nulle d’avoir une émergence de lots de Bodys aptes à se synchroniser. Ces derniers, forment au moins un BEC qui s’enrichit de Bodys synchronisés. Cet enrichissement se termine par une saturation qui amène les pôles à se séparer de leur Bodys respectifs. Cette séparation causale (non causalité) leur permet de fusionner sans s’annihiler * ! C’est ce que ne montre pas l’expérience locale !

  • * avec le taux d’échec 1/α² appliqué au chapitres suivant.

Les deux ratios universels

La synchronisation se fait aléatoirement autour d’un ratio commun entre l’amplitude spatiale RBEC et le point zéro déterminant la longueur de Planck :

Ces deux termes sont vérifiables mais le second l’est directement par le ratio vérifiable entre la longueur de Compton de l’électron et la longueur de Planck = 2.38955×1022. Ce même ξ² est le facteur de mitose du BEC-fossile. La cause de la mitose est justifiée par l’anisotropie des intervalles élémentaires radiaux et tangentiels qui eux sont réduit du facteur ξ en 1D et ξ² en 2D. Le second ratio universel est la constante de structure fine α = 137,035999. C’est le facteur d’annihilation relatif à l’impossible parfaite synchronisation qui ne laissent rescapés que 1/α² des pôles séparés sur l’aire du BEC-fossile. Ce facteur fixe la première phase de la mitose. Ainsi la dualité de la mitose-expansion s’exprime par :

1/ l’expansion des pôles (devenus des paires électron-positrons) dont le facteur final en 5+1 phase, sera (α²)6 ;

2/ par le facteur de mitose des BECs fixé à ξ².

Contrairement à l’expérience locale, les paires électron-positrons – causalement séparées sur l’aire du BEC-fossile – se comportent localement comme des bosons. La généralisation à la non localité, de l’expérience locale de création de paires instables, est une grave erreur du modèle standard. Il n’y a pas d’antimatière mais juste des positrons stables toujours confinés.

Au terme de la mitose, ces deux facteurs doivent impérativement converger. Mais comme ils sont chacun de source aléatoire, alors c’est le proton qui sert de variable d’ajustement.

avec :

Le proton hérité du neutron

Les couches neutres du neutron, recèlent deux couches célibataires {électron-positron} avec l’électron positionné vers l’extérieur. Il a été clairement montré que les intervalles polarisés ne pouvait contenir très longtemps cette couche électron célibataire.

Le neutron en élément nus et entiers

Selon la loi KOIDE élargie DUO5, le neutron peut se voir comme un proton contenant 1840 unités entières (non habillées et neutres) + 1 positron + 1 paire électron-positron destinée à former le neutrino ν en permutant le mode « masquage des charges par superposition » en mode « masquage des masses et charges par opposition ». Cette permutation est générée par l’extraction subquantique d’un boson Bodys, sous forme du boson W.

Ci-dessus, le lien clair entre le neutron et les particules composites telles le tauon et le muon. Le tauon contient 3481 unités nues ou 3477,15 unités habillées mesurées. Le muon contient 207 unités nues ou 206,76 unités habillées mesurées. Ainsi le neutron (1844) devient proton (1841) en éjectant un électron + une paire (où les masses s’annulent en mode Bodys quantique), formant le neutrino. Le neutrino est forme quantique des bodys subquantiques.

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2 réponses

  1. […] d’un BEC-fils (ou son rayon) et son « point zéro commun ». Ce ratio vaut strictement ξ² qui est le facteur fondamental de la loi DUO5.. On vérifie […]

  2. […] La cause de la gravitation est relative à cette séparation non locale des pôles opposés. La loi DUO5 le prouve par une relation simple et incontestable relative à la saturation primordiale. La gravitation tend à relocaliser tous les pôles séparés (faisant matière) pour qu’il s’annulent à nouveau (chacun à chacun par symétrie) à défaut d’obtenir l’impossible zéro absolu. […]

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