Mitose du BEC-fossile en 5 étapes
L’entropie maximale de l’état stochastique d’Univers (non connexe et sans centre), génère une probabilité non nulle de synchronisation d’une partie de ses Bodys-zéros.
L’état stochastique et permanent d’Univers
Chaque Bodys possède des caractéristiques aléatoires et propres. Comme le temps ne s’écoule pas, la probabilité (ultra-faible) que des Bodys se synchronisent devient unitaire après un nombre phénoménal de brassages.
Vue de l’état stochastique
ETAPE 0 : synchronisation et saturation du BEC-fossile
Les conditions de synchronisation relèvent d’un très faible écart entre les paramètres aléatoires des Bodys stochastiques « candidats » à la synchronisation. La probabilité est très faible d’avoir toutes les conditions réunies (fréquence + phase + superposition des point zéros) pour synchroniser, mais elle n’est pas nulle. Cela forme graduellement un BEC-fossile dans lequel les points zéros sont communs au centre. Les pôles de Bodys forment des couches synchronisées qui oscillent radialement. La saturation génère une accélération de la superposition des charges voisines contraires e → de/dt² et donc une variation de courant di/dt qui produit un pic de surtension qui revient à relocaliser radialement (réduction causale). C’est la cause de l’annihilation primordiale. En effet, l’annihilation – locale – au point zéro, est typiquement imparfaite (impossibilité du zéro absolu). Donc ce pic très court de surtension revient à rapprocher les pôles arrivés à leur extrema et donc ayant la masse d’un électron (me). La règle M.L = Cte implique que le reste du potentiel spatial au point de rebroussement soit réduit à la longueur de Compton de l’électron. Cela veut dire qu’au centre (ξ3 fois plus petit), la masse du pôle vaut me / ξ3 .
Le flux de Bodys en cours de synchronisation arrive à saturation. L’intervalle élémentaire tangentiel devient si faible que lors du court arrêt au rebroussement, la force coulombienne entre pôles voisins et de charges contraires, provoque la superposition des charges. Le dq/dt est si important qu’il provoque l’annihilation (en 1D) de 137.0035 (en moyenne) pôles pour un rescapé. Les rescapés deviennent des paires électron-positrons STABLES qui fusionnent en protons. Cette annihilation de la matière sur l’aire du BEC crée des trous et déclenche la mitose en 5 étapes, des bodys majoritaires du volume du BEC. La mitose en 5 étapes divise le BEC-fossile en ξ² BEC-fils (ou BEC-étoiles).
ETAPE 1 :
les BECs-fils (ou BEC-étoiles) acquièrent une vitesse radiale c
25 = 32
L’aléa a permis une bonne approximation (1.0005) avec la base 5 du logarithme ξ2) et 32. La probabilité d’une occurrence exacte est nulle car ξ est issu d’une approximation statistique. L’impulsion d’un pôle est constante car v.m = Cte. Cela veut dire que la vitesse varie du point-zéro à (c ξ3) à c, au point de rebroussement. Mais si les pôles rescapés son désolidarisés, alors cette vitesse est la première impulsion de la mitose du BEC-fossile.
ETAPE 2 :
les BECs-étoiles acquièrent une vitesse isotrope c et radiale 2c
ETAPE 3 :
les BECs-étoiles acquièrent une vitesse isotrope c et radiale 3c
ETAPE 4 :
les BECs-étoiles acquièrent une vitesse isotrope c et radiale 4c
ETAPE 5 :
les BECs-étoiles acquièrent une vitesse isotrope c et radiale 5c
C’est ainsi que l’expansion – réalisée en couches de vitesses – confère à tout observateur à chaque coordonnée, l’illusion d’être au centre. Ainsi la Bulle-Univers en expansion comporte initialement ξ² BEC-étoiles, réunis en ξ galaxies. Au fur et à mesure des collision, les générations d’étoiles diminues en masse au bénéfice de la matière noire issues des collisions.
Les trous laissés par l’annihilation primordiale sont encore visibles
L’échelle quantique indique que le rayon de l’électron s’est agrandi de α (137.0035999). Cela vient de l’agrandissement de l’intervalle élémentaire par l’annihilation. Ces trous ont changé d’échelle, au fur et à mesure des étapes de fusions, (proton → hydrogène moléculaire → étoiles → galaxies).
le BEC-fossile est visible en direction de l’Eridan
Cet immense trou unique dans la Bulle-Univers est une énigme de plus pour le modèle standard. Certains spéculent sur la possibilité d’un autre univers. On a vu plus avant que cette possibilité est hautement improbable. Sa distance estimée est compatible avec celle démontrée par la loi DUO5, soit 7 Gyl. Comme on l’a vu plus haut, l’expansion en couches de vitesses, donne l’illusion d’une Bulle-Univers sans centre.
L’intervalle radial (rayon) entre deux couches, croît moins vite que l’intervalle tangentiel (circonférence).
Mitose et Dualité
La cause
c’est la saturation des intervalles élémentaires tangentiels qui sont réduits à ƛo = ƛe / ξ sur l’aire du BEC-fossile. Il y a un déséquilibre avec l’intervalle élémentaire radial qui est maintenu à ƛe , soit la longueur de Compton de l’électron. On a vu ici que lors de l’arrêt relatif au rebroussement, c’est la force attractive coulombienne qui l’emporte sur la force répulsive de Lorentz. Ainsi c’est le facteur de réduction de la surface élémentaire ξ² qui fixe le taux de la mitose. La mitose revient donc à multiplier les BEC-fils pour élargir les intervalles élémentaires.
Le déclencheur
La saturation provoque la fusion et donc le brusque masquage des charges e voisines. Ce très fort de/dt² ou di/dt revient à brève réduction de localité qui aboutit à une annihilation majoritaire de facteur α = 137.035999. Cela crée des trous de ratio 2D = α², ce qui revient à élargir les intervalles élémentaires, tout comme le fait la mitose. C’est l’annihilation qui impose le taux de la première des 5+1 étapes de mitose α².
La variable d’ajustement : P
Pour que coïncide le facteur final de la cause ξ² en 5 étapes supplémentaires imposées (donc 5+1) par le déclencheur α², il faut absolument une variable d’ajustement. En effet, ces deux facteurs ont des sources aléatoires indépendantes. Ainsi on a :
Avec le proton P = 1836,15264 unités électrons habillés (mesurés) et τo = 1,00048467002, déterminé ci-après. La mitose commence sur l’aire 2D du BEC-fossile et se poursuit en 3D pour matérialiser l’espace-temps. Le coefficient τo est donné par le passage en 3D selon 5 étapes en 3D + l’étape 1D relative à l’annihilation.
avec la confirmation précise (sigma 6) de τo = 1,00048467002. De ces deux relations on tire la valeur précise de la masse du proton, exprimée dans l’unité universelle représenté par l’électron habillé.
Confirmation par le ratio de gravitation
L’intervalle saturé a donc enrichi le nombre de paires électron-positrons sur la circonférence (1D) du BEC-fossile, du facteur ξ. Ainsi ce nombre passe de ξ3 à ξ4 . Cela veut dire clairement que la séparation causale radiale de chaque pôle de Bodys a trouvé un chemin tangentiel par le gradient (1/ ξ4) de charge de chaque pôle. Ainsi la force coulombien relative à une paire électron-positron, divisée par le nombre de paires présentes sur la demi circonférence du BEC-fossile, est la cause de la gravitation.
On note que la gravitation nait en 1D après le taux d’annihilation α (en 1D). Cette relation est factuelle et chacun peut contrôler son occurrence précise (à sigma 6) avec les relations précédentes. De ces multiples occurrences, il sort une nette amélioration de la valeur numérique de la constante G soit : 6.674×10-11 m3 kg-1 s-1.
Conclusion
Cela vient confirmer que cette approche par le chemin des causes physiques, se détache nettement d’un statut de modèle, entaché de spéculations et autres paramètres libres, pour acquérir le statut de loi physique.
9 réponses
[…] Cette relation découle d’une démarche précise détaillée dans l’article Mitose. […]
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[…] furtivement le lien radial – et donc annihile – une grande partie des pôles de Bodys. Cette annihilation créé des trous sur l’aire du BEC-fossile. Les trous correspondent à la première phase […]
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