Physical definition of nothingness
Définition physique du néant
Ci-dessus une image relative à la dualité de l’entropie informationnelle. L’image montre les cartes dans le désordre, ce qui représente un grand nombre d’informations. En effet, retenir le placement (les coordonnées) de chaque carte non classée et leur valeur, réclament un stockage d’information important. Le dual de cette image serait un ensemble bien classé par couleur et dans l’ordre des valeurs. Pour un nombre réduit de distributions (ou brassages) de cartes, la probabilité d’avoir une suite complète bien classée, est quasi nulle. Mais cette probabilité augmente avec le nombre de distributions. Nous allons voir qu’il existe un omnivers comme proposé par Alan Guth et Paul Steinhardt dont l’univers observable est issu. Cependant la loi DUO5 indique clairement qu’il s’agit d’une matrice permanente faite d’oscillateurs stochastiques (Bodys) dont la symétrie de chacun des pôles opposés (dualité) permet d’obtenir un zéro parfait relatif à défaut de l’impossible zéro parfait absolu. Cet état est indirectement mesurable par un raisonnement logico-déductif très rigoureux. La clé est la dualité relative à l’entropie informationnelle au sens de Shannon. Cet état permanent, sans masse-espace-temps, tend vers une entropie infinie, sans énergie aucune. Comme le temps ne s’écoule pas, le brassage intense des oscillateurs stochastiques, ouvre la probabilité unitaire de créer un domaine limité où l’information se réduit par synchronisation statistique sous forme de BEC. Cette matrice permanente n’est ni un modèle de plus, ni une spéculation car il n’y a pas d’autres options possibles à cause du paradoxe existentiel expliqué ci-après. De plus, tout ce qui en découle est indirectement mesurable dans de très nombreuses occurrences. C’est la définition physique du néant, bien au-delà de la naïveté de son ancienne expression.
Le modèle standard (MS) n’a pas de définition physique du néant (1) précédant le Big Bang . Conscient qu’il ne peut s’agir d’un zéro absolu parfait, le MS évoque une « fantastique fluctuation quantique« (2) dotée d’une énergie virtuelle (3) si proche du zéro (4) que sa durée de vie en devient « gigantesque ». Cela est possible parce qu’il y a des énergies positives et négatives, en raison de l’attraction gravitationnelle dans laquelle tout baigne (5).
De cet extrait, relevé dans Futura-sciences, je relève 5 erreurs notées (1) à (5) :
(1) le néant physique : devant une telle difficulté à l’expliquer, le MS évoque les fluctuations quantiques d’énergies virtuelles que l’on peut observer localement c’est à dire, hic et nunc. Comme le MS n’explique pas la cause de ces fluctuations, alors il suppose que ce phénomène est également applicable non localement c’est à dire « avant et loin ailleurs ». Bien que de nombreuses expériences attestent l’existence de la dualité de localité, de nombreux physiciens continuent de croire (il s’agit bien d’une croyance) au naïf « principe cosmologique ». Baser toute une théorie sur un « principe » c’est à dire un « arrangement de facilité », n’est pas sérieux. On a fait l’amalgame entre « cette localité n’est pas spéciale, elle est donc universelle » (ce qui est presque vrai) et « un état de non localité », mesuré entre autres dans diverses expériences et notamment celle relative à l’intrication des spins.
(2) Les fluctuations quantiques : ce n’est pas parce qu’on relève des fluctuations quantiques dans ce monde « déjà construit » que ces dernières existaient avant ! De plus le MS ne cherche pas la cause de ces fluctuations. En revanche, la théorie DUO5, renforcée de la loi KOIDE élargie, montre de multiples occurrences mesurées qui indiquent clairement que ces fluctuations sont causées par le couplage de la matière avec les oscillateurs Bodys-zéros tissant l’espace-temps. Donc ces fluctuations mesurées qui traduisent le couplage {matière quantique ↔ Bodys subquantique}, ne pouvaient exister avant la séparation originelle expliquée par la loi DUO5,
(3) L’énergie virtuelle : il ne suffit pas de décrire une « magique aptitude quantique » mais il faut fournir une explication physique claire. La théorie DUO5, indique clairement qu’il s’agit de la manifestation de l’habillage des particules causé par le couplage de la matière avec les Bodys subquantiques (dont elle est issue) tissant l’espace-temps. Ce qui régit ce taux d’habillage (qui rend l’électron plus massique) est la loi universelle M.L = Cte. Le couplage perturbe la symétrie des pôles opposés des oscillateurs Bodys subquantiques, ce qui crée une asymétrie réduisant leur amplitude non locale ΔL. Selon ML = Cte, ce ΔL se traduit par un transfert local de ΔM quantique permanent qui habille la particule. Un évènement comme l’émergence furtive d’un boson W (force faible) suit exactement ce même phénomène physique. C’est également la CAUSE de la relativité restreinte. Toutes les bizarreries de l’échelle quantique, s’expliquent par le couplage aux Bodys de l’échelle subquantique. La paire électron-positron est un ex Bodys dont les pôles sont séparés et donc révélés. La notion locale d’antimatière n’est pas extensible au non local.
Si la paire électron-positron (non séparée) créée localement s’annihile aussitôt, ce n’est pas le cas des paires séparées non localement lors du Big Bang (mitose) du BEC-fossile. Ces paires originelles se comportent comme des bosons et fusionnent en neutron-protons. La loi KOIDE élargie, la charge du proton égale à celle du positron et nombre d’autres occurrences précises montrent sans conteste la grande erreur du MS qui croit encore à l’universalité de l’expérience locale.
La réduction de localité primordiale a généralisé le confinement des positrons dans les noyaux. La symétrie qui est la clé de l’univers, est sauve. S’il y a des violations locales elles sont toujours compensées à l’échelle non locale par la voie subquantique. Il n’est pas impossible qu’il puisse exister un moyen pour exploiter ce dernier point, pour communiquer à la vitesse subquantique soit : cs = 1033 c.
(4) le zéro absolu : le modèle standard fait l’erreur cruciale de croire que le zéro absolu des mathématiques puisse être applicable en physique. Mais pour chercher à justifier le « fiat lux » où la « formidable fluctuation quantique primordiale », il admet que le zéro absolu parfait n’est pas possible. Il y a là une contradiction majeure qui bloque toute possibilité de compréhension. Pourtant cette seconde version est (presque) juste ! Non pas pour justifier « une magique fluctuation » mais pour comprendre le paradoxe existentiel qui est la clé de la loi DUO5. Le paradoxe existentiel s’appui sur la dualité relative au zéro inertie parfaite. Dans le cadre d’un pré-univers ou omnivers global et permanent, on démontre qu’il est impossible de ramener l’inertie de chaque oscillateur stochastique au zéro absolu. Mais une inertie > 0 est également injustifiable. C’est la raison pour laquelle l’omnivers est composé d’une infinité d’oscillateurs duaux et stochastiques présentant – par symétrie – un zéro relatif parfait. Cet état d’univers permanent a déjà été évoqué par Alan Guth et Paul Steinhardt. Ils ont proposé que l’univers ne soit qu’un domaine à l’intérieur d’un plus grand « omnivers ». Cet état (non connexe) est dépourvu d’espace-temps, d’inertie et de temps. A cela la loi DUO5 rajoute que Le temps ne s’écoulant pas , l’expression statistique de la dualité entropique informationnelle, ouvre une probabilité unitaire de synchroniser un Condensat de Bose Einstein (BEC-fossile) de taille cosmologique ou l’information est réduite au minimum. Les restes de ce BEC-fossile (après le BIG-BANG mitose) est observée (à la bonne distance et la bonne taille) dans la direction de l’Eridan.
(5) l’attraction gravitationnelle : le modèle standard n’explique pas la CAUSE de l’attraction gravitationnelle. On ne peut donc se servir de cela pour justifier la spéculation de la fluctuation quantique et celle relative à l’inflation. Plutôt que de proposer un « modèle » de plus, la théorie DUO5, renforcée de la loi KOIDE élargie, ne spécule pas et ne se contente pas de décrire mais explique la CAUSE des phénomènes en les recoupant toujours avec les mesures. Ainsi l’omnivers permanent dont la tendance est l’entropie informationnelle infinie, possède une probabilité unitaire d’appliquer la dualité entropique du désordre. Le zéro absolu et l’infini absolu, sont des notions interdites en physique, sauf s’il s’agit de numérisation. Ainsi le brassage stochastique intense possède une probabilité unitaire de provoquer une réduction d’information par le biais de flux de synchronisations créant ainsi un centre commun d’oscillation dans un (ou plusieurs) BEC. La loi DUO5 montre comment l’évolution exponentielle des flux, élit forcément un premier BEC arrivant à saturation. La probabilité des multivers est ainsi quasi nulle. En revanche, la saturation (réduction des intervalles élémentaires tangentiels) amène la fusion généralisée des pôles voisins en neutron-protons, sur l’aire du BEC. Cela amène la séparation radiale non locale des pôles de l’aire, ce qui provoque la mitose-expansion ou BIG BANG. Il n’y a pas d’inflation magique mais juste l’expression du ralentissement de la vitesse supraluminique des pôles subquantiques qui – séparés – continuent leur chemin après le point de rebroussement. La CAUSE de l’attraction gravitationnelle est strictement due à la séparation radiale compensée par le gradient coulombien relatif au nombre de pôles séparés sur la circonférence du BEC-fossile. Cette relation vérifiable par tous, le certifie sans conteste.
Conclusion
Les modèles physiques construit à base de la dangereuse efficacité des mathématiques, ont tous une part spéculative. Il y a notamment le caractère absolu du zéro qui n’existe pas en physique fondamentale. Les lois physiques résolvent l’inévitable paradoxe existentiel par la dualité des oscillateurs Bodys « cherchant » l’impossible zéro inertie absolue. De plus le principe cosmologique ignore la subtile (mais fondamentale) différence entre l’universalité d’une localité et la non localité. Le MS considère l’expérimentation locale, comme rigoureuse alors qu’il ne la paramètre pas en tenant compte de la dualité de localité. Ce faisant, les progrès observationnelles des très habiles expérimentateurs, ne font que révéler des énigmes.
Les modèles mathématiques appliqués à la physique, ont montré leur limite. Il doivent être remplacés par un enchainement logico-déductif de lois physiques incontournables sans hypothèse donc sans spéculation. Non seulement chaque étape doit être confirmée directement ou indirectement par la mesure, mais doit impérativement lever des énigmes. Le problème est de bien cibler la hiérarchie des lois physiques. La première d’entre elles est l’incontournable symétrie. Il en découle la loi M.L = Cte dans les oscillateurs fondamentaux. La loi DUO5 montre qu’elle est la source de la constante de Planck. Elle indique également que la notion d’inertie M présente une symétrie avec l’amplitude L, ce qui rend cette dualité inséparable. La troisième est l’impossibilité physique d’une inertie fixée au zéro absolu. Ainsi nait le paradoxe existentiel dans lequel chaque pôle d’oscillateur stochastique (dont l’inertie M serait nulle) ne pourrait exister puisque qu’il devrait avoir une amplitude d’oscillation infinie, c’est à dire, ne plus osciller. Une seconde approche est relative à la fonction continue « cherchant » statistiquement le zéro absolu. Comme l’intervalle élémentaire est infiniment petit, toute valeur aussi petite que l’on veut, sera toujours éloignée du zéro absolu par une infinité d’intervalles.
La multiplication des énigmes par le MS, renforce l’idée que la physique à un côté magique, poussant la tendance populaire au simplisme et au complotisme. Le modèle standard qui prend ses racines à l’ancienne école de Copenhague, doit évoluer non pas « au delà du modèle standard » mais en révisant ses bases. Pour cela il faut lutter contre les travers humains notamment ceux voués au fétichisme des anciens de Copenhague. Le fameux « calcule et tais toi » de Feynman, visant à éluder les difficultés en se bornant à dire « c’est quantique », doit être clairement condamné même si par ailleurs ce mathématicien était brillant.
32 réponses
What’s up to every body, it’s my first ggo too see off tuis blog;
this weblog carries remarkable and actually excellent material
inn support oof visitors.
Nice post.I waas checking constantly this blpog aand I’m impressed!
Very useful information specially the last part 🙂 I cre
foor suchh innformation much. I was looking for thyis particular informaton ffor a lonng
time. Thank you and best of luck.
Write more, thats alll I ave to say. Literally, iit seems aas though you relied oon tthe vidseo to
makee yoiur point. Youu definitely kbow wwhat
youre talking about, whhy wasye ypur intelliigence on just posting videos tto your weblo when you could bbe givinmg uss sokmething informmative tto read?
Heya i’m forr thhe first time here. I came
acxross this board and I too find It truly useful & it helprd mee out
much. I hope to present somethying back annd hedlp others
such ass you aided me.
Tuly whern someone doesn’t understand afterward itts
up to other people that hey will help, soo hedre iit ttakes place.
Howdy! This bkog poost could noot bbe written much better!
Lookibg through thi article remionds mee of mmy previous
roommate! He constantly keplt preaching about this.
I am going to sendd this information to him.
Preetty sure he’ll habe a great read. Many thankis for sharing!
I visit everyday somme web pages and websites to read posts,
except this blog givss feature based posts.
Hello i am kavin, its my first occasion to commenting anyplace,
when i read this paragraph i thought i could also make comment
due to this good piece of writing.