Durée de vie des neutrons

Deux types d’expériences ont été réalisées pour mesurer la durée de vie des neutrons. La première – qui consiste à piéger des neutrons dans une enceinte magnétique – indique une durée de vie de ~ 877,8 secondes. La seconde méthode qui consiste à compter les neutrons dans un faisceau, indique que les neutrons se transforment en protons en 886 secondes. Cet écart est considéré par le modèle standard, comme une énigme relative au mélange des quarks. Pour chercher à expliquer cet écart, certains ont évoqué l’existence de neutrons oscillants dans des « neutrons miroirs de matière noire ». Ces neutrons dont les expérimentateurs espéraient voir traverser le « mur miroir », ont tous été arrêtés.
Outre le fait de spéculer sur un « univers gaucher », on évoque la fameuse matière noire à propos de laquelle le modèle standard ignore tout. Si de telles spéculations farfelues voient le jour, c’est à cause de la dérive endémique de certains chercheurs qui confondent les causes avec les effets et ce en ignorant la clé fondamentale relative à la dualité de localité.
L’effet quark cache la cause de la localité
Pour comprendre cette dérive, il faut remonter en 1964 où GELL-MANN, persuadé que les hadrons sont des particules composites, évoque des sous-particules appelées quarks. Il évoque une matrice de mélange calibrée en tiers de charge élémentaire, dont les combinaisons permettent mathématiquement de répondre aux observations relatives aux désintégrations. Ces quarks sont considérés comme « particules élémentaires » malgré l’ignorance des causes de leur apparition.
Le couple {expérience ↔ analyse mathématique} est alors vu comme la seule méthode rigoureuse pour la recherche fondamentale. Si l’expérience (vérifiable) est certes indispensable, l’énorme erreur a été de ne pas spécifier sa localité. Une énorme confusion a été commise entre cette assertion peu trompeuse : « toutes les localités se ressemblent » et la différence fondamentale entre la localité et la non localité. Ainsi la mesure effective de « masse de quarks » a définitivement condamné la solution des paires électrons-positrons comme élément composite ultime. De plus l’expérience locale trahit complètement la symétrie de ce couple électron-positron. Enfin, la trompeuse expérience locale indique que les positrons sont toujours instables. On a juste oublié la possibilité de créations non locales de positrons condamnés à rester confinés dans les noyaux. Une chance sur deux pour l’un ou l’autre !
La symétrie – première clé de la physique – est trahie par l’expérience locale au sujet des paires électrons-positrons.
La loi de koide généralisée montre de nombreuse occurrences qui prouvent que les quarks ne sont que des effets relatifs aux causes de la composition en couches d’électron-positrons. Les positrons stables – de source non locale – sont toujours confinés dans les noyaux.
On a voulu croire alors que la question de la « cause » de la masse était « résolue ». En fait l’émergence d’un composant « ultime » ne dit rien sur la « cause ». De plus, le doute s’est installé quand on s’est aperçu que les quarks ne représentaient environ 1% de la masse. Alors Higgs a imaginé qu’un boson devait être la source de la masse. Mais si l’expérience a effectivement mis en avant ce boson, l’analyse causale qui a été faite comporte encore une double confusion. La première consiste à éluder la cause de l’émergence de l’inertie. La seconde est que si ce témoin (le boson de Higgs) montre avec raison qu’il existe un couplage avec l’échelle subquantique, il n’est pour rien dans la cause de la masse d’un hadron.
La cause originelle de la masse des particules composites
Malgré les confusions à répétition, le boson de Higgs est un témoin très important. Mais le témoin de quoi ? Il témoigne du couplage actuel relatif à la dualité {localité ↔ non localité}. Plus précisément, il indique qu’il existe une dualité {quantique↔subquantique} mais en aucun cas, il ne saurait être la cause de la masse d’un hadron. La cause de la masse des particules composites (muon compris mais de création locale) vient des paires électron-positrons constitutives comme en témoigne la loi de KOIDE élargie. Plus en amont, la cause de la masse de ces paires remonte à la séparation des pôles de Bodys lors de la saturation du BEC-fossile. Cette séparation (ou réduction de localité) a révélé les masses des pôles qui étaient annulées dans le cadre de la symétrie des Bodys entiers. Ces pôles séparés ou délocalisés, sont les paires électron-positrons stables.
A l’origine il y avait une probabilité sur deux pour que le positron reste confiné dans le proton, plutôt que l’électron.
La charge du proton est précisément celle du positron
Typologie du neutron
La saturation du BEC-fossile a consisté localement à masquer les charges contraires des pôles séparés devenus électron-positrons. Le neutron est donc le premier agglomérat de charges neutralisées. Mesuré en unité « masses habillées » il vaut 1838,68 électrons. C’est la première particule composite résultant de la séparation (délocalisation) originelle la loi KOIDE généralisée. Sa partie neutre principale consiste en 920 paires soit 1840 unités (entières et nues) disposées en couches concentriques et parallèles où seules les charges s’annulent. Il possède en outre une paire neutre où les deux masses tendent à s’annuler via le couplage avec un Bodys. C’est le futur neutrino. Ensuite on trouve une couche « électron » qui oscille proche de la périphérie et une couche « positron » qui oscille près du canal de couplage au centre. Il n’y a pas de symétrie (locale) entre le centre (1D) et la couche extérieure (2D) d’une sphère. C’est cette asymétrie radiale qui rend le neutron instable. En effet, le canal de couplage est positif alors qu’il devrait être neutre. En libérant l’électron périphérique, le positron donnant la charge « + » au proton est compensé par la charge « – » de l’électron orbital. La symétrie (non locale) subquantique est ainsi rétablie.

Si le proton est la seule et unique particule composite stable, c’est parce l’électron libéré rétablit parfaitement la symétrie non locale bafouée par le neutron. C’est également parce que sa masse P = 1836.15 électrons habillés est la variable d’ajustement entre les deux grands ratios.

Pour que l’harmonie suivante se réalise, il faut que la masse sortante du neutrino soit nulle selon :

La durée de vie du neutron dépend strictement du flux de masse transitant par un pôle de Bodys via le canal subquantique. Selon la loi ML = Cte, comme l’amplitude est ξ3 fois plus grande, la masse transitant durant un cycle est donc ξ3 fois plus faible. Ainsi le produit du temps d’un cycle de l’électron te et le ratio α12 (dont l’équivalence avec ξ3 a été montrée), fixe le ratio entre l’unité élémentaire « électron » et un pôle de Bodys de l’espace-temps.

Avec σN = 1844/ N = 1.0028914, l’habillage du neutron et σP = 1841/ P = 1.0026399, le couplage du proton. Cette durée de vie est compatible avec la dernière mesure en 2021, précisée à : 877.75 s (+/- 0.39%). L’émergence du neutrino électronique est accompagné par l’extraction subquantique du boson W. Celui-ci se mesure dans la masse des couches neutres, sphériques, 2D. L’extraction passe par le canal 1D de couplage. La diffusion en 2 D de l’énergie d’un pôle, ξ fois plus forte que celle de masse d’un électron, est réduite de sa racine carrée soit :
, le couplage du proton. Cette durée de vie est compatible avec la dernière mesure en 2021, précisée à : 877.75 s (+/- 0.39%). L’émergence du neutrino électronique est accompagné par l’extraction subquantique du boson W. Celui-ci se mesure dans la masse des couches neutres, sphériques, 2D. L’extraction passe par le canal 1D de couplage. La diffusion en 2 D de l’énergie d’un pôle, ξ fois plus forte que celle de masse d’un électron, est réduite de sa racine carrée soit :

Cohérence avec l’anomalie du moment magnétique
Le modèle standard mesure ce moment à μn = – 0,96623641×10-26 J T-1. Cette mesure présente une anomalie inexpliquée dont le taux est énorme : 1,913042 soit la moitié du facteur de Landé. Cette énigme est carrément éludée par le modèle standard ! En revanche on comprend d’emblée pourquoi le moment est négatif car le rayon r de la couche « électron » est plus grand que celui de la couche « positron ». Or le moment magnétique dépend du produit constant e c multipliée par le rayon r. Comme on constate que le moment de l’électron est 959 fois supérieur, on en déduit le rayon actif moyen de la charge négative de la couche « électron célibataire » situé à 0,48 rayon physique du neutron. En fait cela fixe le rayon de la charge du neutron qui est environ 2 fois inférieur à celui du proton. On retrouve une cohérence globale en vérifiant que le rayon du proton vaut effectivement :

Le mystère relatif à la cause profonde de la durée de vie du neutron est résolu dans la même veine que celui relatif à son anomalie de son moment magnétique. En fait, il n’y a pas d’anomalie autre que celle relative au taux d’habillage (couplage) qui est de l’ordre de 1.00289. L’anomalie réside dans le mode de calcul du modèle standard qui emploie la constante ħ à mauvais escient comme vu dans le chapitre « anomalie du moment de l’électron« .
Cumul significatif des occurrences
S’agissant du proton, on a vu que : a) sa charge est strictement mesurée à celle du positron ; b) son rayon mesuré suit la loi ML=Cte relativement à M et L de l’électron ; c) cette loi inclut les 4 groupes de couches neutres ; d) son ratio d’anomalie (5.86/2 = 2.93) – 1.46 fois supérieur à celui du neutron – ramène son rayon d’action à environ 1/3 du rayon d’action du neutron qui lui-même se trouve à 0.48 de son rayon; d) sa stabilité est parfaite car son couplage positif est compensé par le couplage négatif d’un électron (orbital ou libre) ; e) son existence est justifiée par la nécessité d’avoir une variable d’ajustement pour faire converger strictement, les deux paramètres de la mitose.
S’agissant du neutron on a vu : a) son moment magnétique est négatif car son électron célibataire possède un rayon bien plus grand que son positron très centré; b) la négativité des deux quarks d, tendent à éloigner la couche électron vers la périphérie ; c) la cause du masquage des charges est la même que celle relative à la séparation ou délocalisation des pôles du BEC-fossile ; d) sa durée de vie est également relative au flux de pompage subquantique pour que le mode parallèle de pré-neutrino, passe en mode opposé pour annuler ses masses opposées tout comme les pôles de Bodys ; e) le neutrino est une sorte de Bodys quantique versus subquantique ; f) le lien en unités nues et entières avec les muons, tauon, proton, électrons et positrons montre l’unité de la Bulle Univers. g) le boson W est le témoin du basculement brutal de l’énergie du neutrino dans l’échelle subquantique. h) l’expérience de non localité des spins intriqués apporte encore un fort indice du couplage {quantique↔subquantique} ou {local ↔ non local}.
Le boson de Higgs
En 2012, mon livre « l’univers miroir » donnait la valeur du boson de Higgs selon :

Là encore un choc brutal arrive à extraire l’énergie d’un pôle de Bodys 1D dont le ratio ξ avec l’électron – diffusée dans les couches 2D – ne laisse apparaître que sa racine √ξ .
2 réponses
[…] du couple célibataire ne génère très peu de polarisation. C’est la cause de son instabilité d’une durée moyenne de 877 s. Ce qui caractérise la force forte est donc provoqué par le début de démasquage des charges […]
[…] contient en plus un électron célibataire. Ce dernier, situé en périphérie, est éjecté après 877 secondes. Mais le taux d’habillage du neutron est tel qu’il est capable d’extraire une […]