Durée de vie des neutrons

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Durée de vie des neutrons

La dernière mesure réalisée en 2021, précise la durée de vie du neutron à : 887.7 s (+/- 0.39%). En revanche, le modèle standard ignore les causes physiques de cette instabilité. Il ignore également la cause physique relative à la stabilité du proton.

L’effet quark cache la cause de la localité

En 1964 GELL-MANN, persuadé que les hadrons sont des particules composites, évoque des sous-particules appelées quarks. Il évoque une matrice de mélange calibrée en tiers de charge élémentaire, dont les combinaisons permettent mathématiquement de répondre aux observations relatives aux désintégrations. Ces quarks sont considérés comme « particules élémentaires » malgré l’ignorance des causes physiques de leur apparition.

Le couple {expérience ↔ analyse mathématique} est alors vu comme la seule méthode rigoureuse pour la recherche fondamentale. Si l’expérience (vérifiable) est certes indispensable, l’énorme erreur a été de ne pas spécifier sa localité. Une énorme confusion a été commise entre cette assertion peu trompeuse : « toutes les localités se ressemblent » et la différence fondamentale entre la localité et la non localité. Ainsi la mesure effective de « masse de quarks » a définitivement condamné la solution des paires électrons-positrons comme élément composite ultime. De plus l’expérience locale trahit complètement la symétrie de ce couple électron-positron. Enfin, la trompeuse expérience locale indique que les positrons sont toujours instables. On a juste oublié la possibilité de créations non locales de positrons condamnés à rester confinés dans les noyaux. Une chance sur deux pour l’un ou l’autre !

La symétrie – première clé de la physique – est trahie par l’expérience locale au sujet des paires électrons-positrons

La loi KOIDE-DUO5.1-5

La loi KOIDE-DUO5.1-5 prouve par de nombreuses occurrences de différents types, que les quarks ne sont que des effets relatifs aux intervalles polarisés générés par les couches d’électron-positrons composant les particules composites. Les positrons stables – de source non locale – sont toujours confinés dans les noyaux.

On a voulu croire alors que la question de la « cause » de la masse était « résolue ». En fait l’émergence d’un composant « ultime » ne dit rien sur la « cause ». De plus, le doute s’est installé quand on s’est aperçu que les quarks ne représentaient environ 1% de la masse. Alors Higgs a imaginé qu’un boson devait être la source de la masse. Mais si l’expérience a effectivement mis en avant ce boson, l’analyse causale qui a été faite comporte encore une double confusion. La première consiste à éluder la cause de l’émergence de l’inertie. La seconde est que si ce témoin (le boson de Higgs) montre avec raison qu’il existe un couplage avec l’échelle subquantique, il n’est pour rien dans la cause de la masse d’un hadron.

La cause originelle de la masse des particules composites

Malgré les confusions à répétition, le boson de Higgs est un témoin très important. Mais le témoin de quoi ? Il témoigne du couplage actuel relatif à la dualité {localité ↔ non localité}. Plus précisément, il indique qu’il existe une dualité {quantique↔subquantique} mais en aucun cas, il ne saurait être la cause de la masse d’un hadron. La cause de la masse des particules composites (muon compris mais de création locale) vient des paires électron-positrons constitutives comme en témoigne la loi de KOIDE élargie. Plus en amont, la cause de la masse de ces paires remonte à la séparation des pôles de Bodys lors de la saturation du BEC-fossile. Cette séparation (ou réduction de localité) a révélé les masses des pôles qui étaient annulées dans le cadre de la symétrie des Bodys entiers. Ces pôles séparés ou délocalisés, sont les paires électron-positrons stables.

Sur l’aire du BEC-fossile, il y avait une probabilité sur deux pour que le positron soit confiné dans le noyaux, plutôt que l’électron. La charge du proton est effectivement celle du positron

Typologie du neutron

La saturation du BEC-fossile a consisté localement à masquer les charges contraires des pôles séparés devenus électron-positrons. Le neutron est donc le premier agglomérat de charges neutralisées. Sa masse est mesurée à 1838,68 électrons habillés. Cela équivaut à 1844 électrons (ou positrons) nus et entiers. C’est la première particule composite résultant de la séparation (délocalisation) originelle sur l’aire du BEC-fossile. Sa partie neutre principale consiste en 921 paires soit 1842 unités (entières et nues) disposées en couches concentriques et parallèles où seules les charges s’annulent. Il possède en outre un électron très décentré et un positron qui oscille près du canal de couplage au centre.

Cause physique de la désintégration en proton

Cette asymétrie radiale ne peut contenir très longtemps la couche « électron célibataire » dont la longueur d’onde de Compton est 456 fois plus étendue que le rayon du noyaux. Cette couche – située entre 2 intervalles polarisés de même signe – trouve un équilibre instable car repoussée par les 2 intervalles. Mais d’un côté, cette couche a tendance à rejoindre sa longueur de Compton vers l’extérieur et du côté du centre, elle est attirée par le positron de signe contraire. Mais cette équilibre est perturbé par le besoin impérieux d’une subdivision en 4 groupes de couches strictement égaux.

La clé de la désintégration du neutron

le nombre de couches neutres du neutron est la somme de 2× 460 + 2 × 461 = 1842 couches d’unités neutralisées (hors la paire célibataire non liée). Le nombre de couches doit impérativement passer à 1840 soit 4 groupes égaux de 460 unités nues neutralisées. En effet cela est imposé par la variable d’ajustement des 2 facteurs de mitose. Cette variable d’ajustement est représentée par les 1836.15 unités habillées du proton ou 1840 + 1 unités nues. Pour cela il faut une force pour arracher la paire liée par superposition et la transformer en paire liée par opposition qui annule les masses comme le Bodys. Cette entité éjectée est le neutrino de MAJORANA. Cette perturbation brise l’équilibre fragile de la couche électron et ce dernier est éjecté.

La force nécessaire pour créer un neutrino vient de l’énergie d’extraction de l’électron. Il est lié au temps élémentaire de l’électron te.

Avec P = 1836.15 la masse du proton en unité électron habillé et σP = 1841/ P = 1.0026399, le couplage du proton . Cette durée de vie est compatible avec la mesure : 880,3 s . L’émergence du neutrino électronique est provoquée par l’extraction subquantique et furtive du boson W. C’est un Bodys qui passe à l’échelle quantique.

Ci-après le schéma montre que le positron est solidement confiné par le jeu des intervalles polarisés. C’est la cause physique de la stabilité du proton.

Ci-dessus le diagramme de Feynman modifié DUO5. Les quarks sont en réalité les intervalles polarisés des 4 groupes. La permutation des quarks est juste le reflet de la permutation des intervalles polarisés.

Cela est cohérent avec la mesure du rayon du proton qui est relatif aux 4 groupes de couches empilées :

dans laquelle le rayon de Compton de l’électron est divisée par 1/4 de la masse du proton selon ML=Cte. Cela confirme les 4 groupes superposés qui génèrent 3 intervalles polarisés dont sont témoins les quarks.

2 réponses

  1. […] du couple célibataire ne génère très peu de polarisation. C’est la cause de son instabilité d’une durée moyenne de 877 s. Ce qui caractérise la force forte est donc provoqué par le début de démasquage des charges […]

  2. […] contient en plus un électron célibataire. Ce dernier, situé en périphérie, est éjecté après 877 secondes. Mais le taux d’habillage du neutron est tel qu’il est capable d’extraire une […]

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