Cause de la médiation d’un photon

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Cause de la médiation d’un photon

Si Maxwells a parfaitement décrit l’électromagnétisme, il ne l’a jamais expliqué. L’espace-temps n’est pas le concept mathématique du modèle standard malgré sa cohérence descriptive. Il est de nature physique et il a une « explication » versus « description« . Selon la loi Duo√5, le BEC-fossile saturé possède un intervalle élémentaire radial optimal qui est celui de la longueur de Compton de l’électron, ƛe . En revanche la saturation a réduit cet intervalle tangentiel élémentaire du facteur ξ. Sa surface élémentaire est donc réduite du facteur ξ². Cela justifie la mitose en ξ² BEC-fils qui rétablit l’isotropie des intervalles élémentaires. Ainsi un BEC-fils est formé de couches oscillantes de pôles de Bodys. L’intervalle optimal entre 2 couches vaut ƛe tout comme l’intervalle tangentiel au point de rebroussement. Au point zéro commun – ξ² fois plus petit que le rayon du BEC-fils – l’intervalle vaut la longueur de Planck. L’espace-temps est donc composé de points oscillants sous la forme de pôles dont l’intervalle varie de la longueur de Planck à la longueur de Compton, en fonction du rayon.

Médiation d’un photon d’un pôle à l’autre

Entre deux pôles il n’y a rien de conducteur. Le seul moyen de passer d’un pôle à l’autre (donc un déplacement isotrope et local), est de transiter par le canal d’un Bodys via le « point zéro commun » ou PZC. L’intervalle du photon testé est proportionnel à sa distance du centre du BEC (Thalès). Selon la loi Duo√5, la fréquence d’un électron 1/te (ex-pôle de Bodys) est la même que celle d’un Bodys de l’espace-temps. Cependant l’amplitude des pôles de Bodys (constitutive du rayon du BEC) est ξ3 fois plus grande que la longueur de Compton de l’électron ƛe. Ainsi un photon situé en périphérie du BEC-hôte (rayon R), mettra exactement le temps de l’électron te pour parcourir l’intervalle local ƛe. C’est ainsi que l’on trouve la CAUSE de la constance de la vitesse de la lumière par :

Ainsi pour tout rayon R(x), l’intervalle est réduit du facteur x. Cela explique la constance et l’isotropie de la vitesse de la lumière pour toute position dans le BEC, selon :

La trajectoire apparaît comme locale mais en réalité le photon transite par le point zéro commun. La dualité de localité joue son plein rôle.

Médiation d’un électron (massique)

Le photon possède la masse de deux pôles contraires mais les annule quasiment parfaitement. Cette masse – ξ2 fois inférieure à celle de l’électron – est indétectable mais non nulle. Un électron (massique) possède un canal 1D de couplage avec un Bodys. Cela est observé à travers son « habillage » au repos qui selon la loi Duo√5, possède un taux égal à celui de son anomalie magnétique (1.001159652). Mais dès qu’il possède une vitesse v, son énergie augmente selon la formule relativiste du facteur de Lorentz.

Son taux de couplage augmente car le surplus d’énergie cinétique se traduit par une asymétrie Δℓ du Bodys concerné qui lui rend le Δm correspondant selon ML = Cte. Plus le flux massique transitant dans le Bodys, est grand, plus la masse de l’électron croît. Il n’y a rien entre deux pôles voisins qui tissent l’espace-temps car le seul chemin physique est celui des Bodys subquantiques. Ainsi Einstein a formidablement exploité la constance de c pour bâtir sa théorie qui décrit parfaitement la réalité. Cependant la « cause » de la constance de c et celle relative au processus de prise de masse relativiste avec la vitesse, n’ont pas été physiquement « expliquées« . Encore et toujours cet amalgame entre décrire et expliquer.

Le couplage {électron↔pôle} ou {local↔non local} se mesure dans l’expérience d’Aspect concernant la conservation non locale de l’intrication de spins.

C’est la clé de la médiation dans le tissu de l’espace-temps

Médiation inter-BEC d’un photon

Les BECs d’espace-temps sont enchevêtrés avec un taux important dans les galaxies et un taux plus faible dans le milieu inter-galactique. C’est la force gravitationnelle des masses visibles qui optimise le couplage inter-BECs. Dans le milieu inter-galactique, les BECs sont les hôtes de masses noires plus rares et dont le couplage est faible. C’est ainsi que l’expansion n’est effective que dans le milieu inter-galactique. Il n’y a pas « étirement » des intervalles élémentaires de l’espace-temps mais déchevêtrement des BECs. Ainsi, les caractéristiques quantiques des BECs restent inchangées tout comme la vitesse des photons.

Lorsqu’un photon – transitant radialement dans un BEC – arrive à sa limite, il « saute » automatiquement dans le BEC voisin sans rien changer à sa vitesse c. En effet, le taux d’enchevêtrement fait que le centre du BEC à suivre est plus proche que celui du BEC précédent. Son changement de « point zéro commun » s’exécute donc dans un temps inférieur au cycle, soit moins de 10– 21 secondes. Cette correction qui apparaît comme négligeable, n’affecte guère la vitesse des photons inter-galactiques.

Il n’y a pas de variables « cachées » « non locales »

Cette phrase de BELL est souvent reprise pour rejeter l’idée qu’il puisse exister une échelle subquantique. Mais ces « reprises » souffrent de deux énormes erreurs : On élude le terme le plus important : « non local ». De plus, ces « variables » ne sont pas si « cachées » que cela car elles apparaissent dans de nombreuses expériences…

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