Enigmes standard résolues (suite 41-50)

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Enigmes standard résolues (suite 41-50)

Pour bien comprendre ce qui suit, il convient de prendre connaissance des conditions statistiques de l’apparition du facteur universel ξ qui apporte la finesse des paramètres qui ont rendu féconde la Bulle-Univers observable.

Dans l’article précédent nous avons résolu 40 énigmes relatives au fondement cosmologique et ce, par simple déclinaison des :

5 lois premières de l’univers

41 l’énigme des 5 grandes structures de l’univers

A partir de l’aire du BEC fossile saturé de paires de pôles séparés – devenus électron-positrons – commence les 3 premières divisions de la mitose fractale en 5+1 phases :

Le taux de matière rescapée de l’annihilation de facteur : 1/ α² = 1/ 137,0359, laisse des trous qui apparaissent aux échelles quantiques et cosmiques. A l’échelle quantique, c’est la CAUSE du ratio : longueur de Compton de l’électron / rayon classique. A l’échelle cosmique ce sont les trous observables mais qui ont été déformés aux cours de l’expansion :

Mais α² est également le déclencheur de la mitose en 5-1 étapes qui avec le facteur ξ², doit converger grâce à la variable d’ajustement qui est la CAUSE de l’existence du proton selon :

Ces 3 premières phases de mitose, sont suivies par la 4eme phase « galaxie noire » ultra massive, dont la mitose se matérialise ensuite par l’éclosion d’étoiles, chacune entourée de son BEC–fils :

A l’origine, ce ne sont pas les étoiles qui forment les trous noirs des galaxies mais, les trous noirs qui forment les étoiles.

42 l’énigme des halos galactiques

Le modèle standard mesure les halos de galaxie par le biais du cisaillement de matière noire dont la densité chute brusquement après un rayon souvent situé vers 200 000 années-lumière soit 4 fois le rayon de notre Galaxie. Il considère qu’il s’agit d’un halo de matière noire qui explique la dynamique de la Galaxie visible.

La loi DUO5, indique clairement qu’il s’agit des ξ BEC-étoiles dont le taux d’enchevêtrement est fort car relatif au taux de couplage fonction de la masse de la galaxie. Le rayon d’un BEC-étoile est de 150 000 années-lumière. Ainsi on vérifie que la limite du halo est bien à 150 000 + 50 000 = 200 000 années-lumière.

Au delà des limites du halo, le taux d’enchevêtrement des BEC-fils est nettement plus faible car ils n’hébergent que des étoiles noir faiblement couplées. Ainsi l’expansion revient à désenchevêtrer les BECs de l’espace inter galactique. Dans la résolution de l’énigme 12, la loi DUO5 montre comment et pourquoi la matière noire est éjectée du trou noir central, à cause de sa haute densité subquantique. Ainsi la matière noire d’essence galactique, forme un flux dense qui progresse radialement vers l’extérieur du halo. La résolution de l’énigme 21, indique que c’est la faible composante gravitationnelle constante qui ralentit la sonde Pioneer. C’est cette composante qui lie fortement les BECs entre eux. Mais quand le flux dépasse la limite du halo, la densité du flux diminue radicalement car la composante gravitationnelle est fonction du faible couplage des masses noires intergalactiques.

43 l’énigme des relations inter-particules

Sur la seule base des expérimentations locales, le modèle standard construit une classification des particules, alors qu’elles dépendent autant des paramètres non locaux qui portent la clé des origines communes. En négligent cette voie, le modèle standard élude totalement les causes de l’émergence de la SEULE et unique particule composite qui soit stable et forme la matière, le proton. Il fait l’amalgame entre le proton et des particules dont la ressemblance est basée sur des critères aussi secondaires qu’arbitraires.

Le tropisme du modèle standard, va jusqu’à ignorer le flagrant double statut de stabilité de l’électron, selon s’il est créé localement ou pas. De ce fait, il fait la grave erreur de poser une dichotomie structurelle arbitraire entre lepton et boson. Si la paire électron-positron créée localement est instable et n’a effectivement pas le statut de boson, la paire d’origine non locale est l’élément « boson stable » composant le proton.

La loi DUO5-KOIDE.1 montre clairement le lien entre le proton et le muon. Alors que le modèle standard considère le muon comme un électron (ou un positron) géant sous prétexte qu’il n’a pas de quarks, la loi DUO5-KOIDE.1 montre que les quarks ne sont que les effets des CAUSES relatives aux intervalles polarisés des couches électron-positrons.

Ci-après, on constate que le muon n’a pas de quarks car il est constitué d’un seul groupe de 103 paires indivisibles ou 206 éléments. Il n’a pas d’intervalle polarisé et donc pas de quark. En revanche, son instabilité vient de sa création locale.

avec :

La loi DUO5-KOIDE.2 donne la masse neutre (en unité nue et entière) du méson π+/- est donnée par :

La loi DUO5-KOIDE.3 confirme par le tableau suivant, le lien inter-particules pour 18 baryons :

La loi DUO5-KOIDE.4 apporte encore des occurrences qui lèvent définitivement tous les doutes s’agissant de l’universalité de la paire électron-positron, comme composant ultime de toutes particules.

44 l’énigme de l’exclusion de Pauli

Le modèle standard considère la classe de particules appelée « fermion » selon le critère du spin 1/2 entier. Il mélange des particules telles que les protons, les quarks, les électrons, les muons, les neutrinos, etc… On vérifie selon cette loi, que les électrons orbitaux ne peuvent se trouver dans le même état quantique.

Le tableau naïf du modèle standard

Première erreur : ce tableau traite l’électron (en oubliant le positron) comme des neutrinos ou des quarks alors qu’il est la seule et unique particule élémentaire stable à l’état libre.

Seconde erreur : plutôt que de s’appuyer sur les causes physiques, il classe les particules en fonction du critère du spin, choisi arbitrairement. La cause du fondement physique du spin, (moment cinétique), lui est totalement inconnue, d’autant que l’on découvre que le spin a un caractère non local. A force d’éluder les causes physiques, l’erreur dans l’erreur l’amène à considérer naïvement que l’effet « fantôme » de l’intrication est …. instantanée ! Encore et toujours les valeurs absolues.

Troisième erreur : il considère à tort que les quarks (u, d) sont « stables » alors qu’en dehors de leur confinement ils sont vérifiés comme étant instables. La loi DUO5, montre clairement qu’ils sont induits dans le confinement du proton.

Quatrième erreur : il considère à tort que les neutrinos sont des fermions alors que la loi DUO5 démontre par moultes occurrences précises qu’il sont de type MAJORANA. Ils ne sont non pas des « fermions de MAJORANA » mais des bosons qui se comportent à l’échelle quantique, comme les Bodys de l’échelle subquantique . C’est l’effet du fondement physique de la Nature qui ne cherche qu’a annuler la masse inertielle.

Cinquième erreur : il considère à tort que les neutrinos sont stables alors que l’on sait maintenant qu’ils peuvent – selon les termes choisis du MS – changer de « saveur ». Il n’y a ni « saveur » ni changement mais tout simplement le comportement grégaire des bosons. Selon la loi DUO5 le neutrino électronique est une sorte de positronium pseudo stable. Selon le niveau de perturbation rencontré, chaque pôle électron ou positron peut s’enrichir pour devenir un neutrino plus imposant.

Sixième erreur : parler de la masse en terme d’absolu du neutrino est un non sens. Le neutrino est un Bodys qui annule les masses opposées de ses pôles contraires par symétrie. Si la symétrie est perturbée, alors une partie des masses peut apparaître en fonction du taux d’asymétrie.

La non recherche des causes physiques, a amené le modèle standard à reporter l’échelle orbitale qui était alors accessible à PAULI en 1925, au coeur des noyaux. il a fallu que des sondages du noyau à coups d’impulsion d’électrons, révèlent des « points durs » que l’on a nommé quarks. A aucun moment, on a pensé que ces « points durs » étaient induits. Non on a décrété qu’il s’agissait de la découverte du « graal » des particules élémentaires. Le Big Bang les aurait fabriqué magiquement.

45 l’énigme de l’anisotropie de l’expansion de l’univers :

Toujours à défaut de chercher les causes physiques, le modèle standard à inventé un modèle mathématique qui validerait une expansion en évitant l’hypothèse d’un centre. S’il est effectivement sage de chercher à éviter la notion d’absolu que sous-tend un centre, il ne faut pas tomber dans le piège d’un univers « absolu ».

Selon cette fausse approche, il est alors naturel de chercher un moyen mathématique d’éviter à ce que l’univers soit pourvu d’un centre. Ainsi, l’expansion serait strictement isotrope. Chaque point apparaissant comme étant le centre. Tout cela était parfait dans le meilleur des mondes, jusqu’à ce que l’on mesure une anisotropie de l’expansion.

La loi DUO5, indique qu’il existe deux état d’univers. Elle explique pourquoi et comment cet état « matrice’ d’univers est forcé d’exister sous la forme d’oscillateurs stochastiques formant un amalgame sans le continuum masse-espace-temps que nous « connaissons ». Cet état d’univers n’a évidemment pas de centre.

La loi DUO5, démontre que le non écoulement de temps offre un potentiel infini de brassages (ou tirages statistiques). Cela amène forcément l’émergence d’un BEC cosmique qui – après saturation-fusion-expansion – sera le centre de la Bulle-Univers en expansion. L’expansion en couches de vitesses n’est pas une hypothèse mais la finalité d’un inévitable processus physique. Ainsi l’expansion en couches de vitesses, donne à première vue l’impression d’une expansion isotrope. Mais en détail, il porte naturellement une anisotropie entre l’axe radial et l’axe tangentiel. Cela correspond au BEC-fossile visible comme un unique grand trou de l’univers observé en direction de l’Éridan.

46 l’énigme du préon

Le modèle standard a envisagé que les quarks et leptons pouvaient être composés de sous-particules « ponctuelles » appelées préons. Avec cette dénomination « ponctuelle », il y a encore et encore cette croyance aux valeurs absolues. A part les nombres, la physique fondamentale n’admet ni le zéro absolu (ici longueur) ni l’infini. Ensuite les quarks sont des inductions internes relatives aux 3 intervalles polarisés entre les 4 groupes neutres.

Selon la loi DUO5, les paire électrons-positrons héritées des pôles séparés des Bodys subquantiques sont les seules et uniques particules élémentaires. Leur quasi ponctualité vient de leur couplage aux Bodys dont l’épaisseur est celle de Planck. La masse de l’électron est héritée de celle des pôle séparés. Il est donc inutile de spéculer sur des préon. Il est vrai que la constance de la loi M.L = Cte, revient à obtenir un grand M pour un petit L. Mais cela n’est valable que pour un oscillateur dont la faiblesse de la masse du point zéro, ouvre un grand potentiel d’amplitude L car inversement proportionnel à ce petit M du point zéro. En ignorant le facteur universel ξ Planck a proposé une masse ξ² fois supérieure à celle de l’électron; alors qu’elle lui est ξ² fois inférieure. C’est la masse du point zéro qui amène la masse de l’électron après réduction du reste à parcourir (au point de rebroussement ) strictement fixée à sa longueur de Compton.

47 l’énigme du boson de Higgs et la cause de l’inertie

Le modèle standard recherche depuis des années, la cause de l’existence du paramètre masse élémentaire. Pour le cas particulier du proton, il a fallu se résoudre à admettre que la masse des quarks ne peuvent expliquer la masse du proton. Comme l’expérimentation locale ne produit que des paires électron-positrons instables, le modèle standard à rejeté la possibilité d’avoir cette paire comme masse élémentaires composant le proton. Cette dualité de localité à été rejetée à cause du naïf « principe » cosmologique ! Outre le fait que la physique ne suit pas des « principes », cette réflexion est simpliste car si on peut (presque) admettre que toutes les localités se ressemblent, on ne doit pas faire l’amalgame avec la dualité de localité . Et donc le modèle standard n’a pas voulu voir que la paire électron-positron de création non locale est la candidate naturelle pour être la « particule élémentaire » car elle est hyper stable !

Alors devant ce questionnement lancinant, Higgs a proposé que la source de la masse du proton est le boson de jauge H qui porte son nom. En alternance avec la connaissance du Boson W (vecteur de la force faible), et les expérimentations en cours Higgs a pu prévoir une fourchette (assez large) de sa valeur finalement mesurée avec un assez grande précision.

On trouve ici le processus physique du boson de Higgs. avec cette relation :

avec τP = 1841/ 1836.15 le taux de couplage du proton. Dans laquelle on retrouve les paramètres 5 et 8 relatifs la mitose originelle selon la suite de Fibonacci.

48 l’énigme du spin du proton

Le modèle standard classe les particules en deux grandes familles : a) celles qui possèdent un spin dont les valeurs sont demi-entières (demi constante de Planck réduite) et b) celles de spin entier comme les bosons. Les premières sont des fermions comme le proton, les neutrinos, les quarks et l’électron. Les chantres du modèle standard qui confondent allègrement « effets et causes », considèrent comme un fait établi que les protons sont « composés » de trois quarks.

Les expérimentations de la collaboration EMC, ont permis d’indiquer que les quarks ne pouvaient au mieux, expliquer le quart du spin du proton.

Ils ne se posent pas la question de savoir si les quarks ne sont que les effets d’une cause physique bien plus universelle. La loi DUO5, démontre que les quarks ne sont que les effets mesurables des intervalles polarisés entre les groupes de couches {électron-positrons} qui composent toutes les particules composites. Par définition, les empilements de couches, masquent les charges voisines opposées. Leur démasquage déclenche tout simplement la force coulombienne et DUO5 montre clairement que le démasquage des charges, explique l’allure asymptotique de la force forte. Voir le paragraphe 37.

Mais le modèle standard – rejetant cette architecture (pourtant d’une fécondité extraordinaire dans ses occurrences multiples) – préfère spéculer sur une « colle » où « glue » providentielle qu’il appelle « gluon ». N’étant plus à une spéculation près, il considère que ces gluons participent au spin du proton.

Le modèle standard ignore totalement à quoi correspond physiquement le spin d’une particule. Malgré les expériences d’ASPECT qui indiquent clairement que le spin a un caractère non local, il s’entête à le considérer comme un être mathématique purement local. La loi DUO5 indique que le spin a bien la dimension d’un moment cinétique mais qu’il découle directement de la loi n°3 : M.L = Cte. Il est le produit de deux constantes soit M.L et c et donc : M L² / T. La dimension du moment cinétique à deux solutions : a) la rotation tangentielle ; b) l’oscillation radiale. Cette oscillation radiale est mesurée via le zitterbewegung ou tremblement de l’électron. Elle est le vecteur du couplage avec le Bodys.

La cause du spin du proton : elle est liée à la cause de la charge du proton qui est très précisément la charge du positron célibataire ! Ce même positron oscille radialement comme l’électron qui oscille avec le facteur ξ² existant sa longueur de Compton et l’épaisseur de Planck du Bodys couplé.

Mais on mesure le ratio effectif de 459, entre la longueur de Compton de l’électron ƛe et le rayon de la charge du proton rp = ƛe / 459. Selon DUO5, le rayon de la charge du proton est la longueur de Compton du proton qui est donc 4 fois supérieure à celle calculée via le ratio des masses (1836.15). C’est la conséquence de l’empilement des couches des 4 groupes, empilement qui masque les charges neutres.

Donc le maintient de la constante M.L soit me × ƛe , reste vrai si le paramètre ƛe du positron prisonnier est réduit du facteur 456, tout comme la masse d’un seul groupe du proton qui vaut 456 masse me de l’électron. Comme le modèle standard considère que la longueur de Compton du proton est inversement à sa masse totale, cela explique le facteur 1/4 relatif à l’expérience EMC.

La constante de Planck est basée sur l’électron

Dans le cadre du moment magnétique de l’électron, l’absence de me lui fait perdre son statut de constante qui se traduit par une diminution de la longueur de Compton (non compensée par la masse) et donc la cause de l’anomalie standard.

49 l’énigme de la désintégration du muon

Le modèle standard considère à tort le muon comme un « gros » électron qui ne serait pas composite car il n’a pas de quark. De plus il n’explique pas la quasi disparition de sa masse, lors de sa désintégration. La loi DUO5 montre clairement que le muon n’a pas de quarks car son groupe de 103 paires neutres (206 éléments) étant indivisible, n’a pas d’intervalle polarisés. Le tableau suivant montre la cohésion du raisonnement intervalle-quark.

Ensuite sa désintégration est donnée par :

Dans laquelle les neutrinos sont de type Majorana. Le neutrino électronique annule ses deux masses par masquage par opposition comme un Bodys. Le neutrino muonique se comporte comme un BEC quantique où les 6 couches oscillantes de 34 unités chacune, s’annulent autour du point zéro, par opposition selon :

Le courant i généré par le déplacement radial des charges élémentaires e dans le temps te , produit une force de Laplace qui repousse – sur l’axe tangentiel – les charges de signes opposés.

En revanche – sur l’axe radial – c’est la force de Coulomb qui repousse les charges de même signe entre elles. Ainsi l’équilibre du neutrino-BEC est garanti y compris au point de rebroussement car le temps ultra court court d’inversion ne permet pas la fusion tangentielle entre pôles. L’oscillation de « saveur » des neutrinos est une énorme énigme pour le modèle standard. Car elle réclame de la masse alors que l’on sait que les neutrinos se déplacent à la vitesse de la lumière

50 l’énigme de l’origine de la charge élémentaire

Le modèle standard utilise cette égalité pour fixer la charge élémentaire en regard de la constante M.L de l’électron et la dimension de µo : M L T–2 I –2 = M L / Q², représenté par 10–7. On rappelle que 10–7 équivaut à l’unité dans le système cgs. On a 10–4 pour la conversion en mètre des cm élevés au carré et 10–3 pour la conversion en kg des grammes.

Le succès du système MKSA vient du lien fondamental entre la charge élémentaire au carré et la loi DUO5 n°3 : M.L = Cte. D’où vient ce lien : Q² = f( M.L) ? Tout d’abord il faut réaliser que le modèle standard n’explique pas que le module de cette charge élémentaire est valable pour le proton et l’électron (sans oublier le positron). On a vu que c’est le positron célibataire qui donne la charge du proton. Mais la clé de ce lien réside dans le fonctionnement du Bodys. Les 5 lois fondamentales relatives au paradoxe existentiel, exigent que les deux pôles en oscillation opposée, puissent annuler leur masse par leur lien causal indéfectible, représenté par les charges.

Le zéro symétrique est la seule issue du paradoxe existentiel face à l’impossibilité du zéro absolu.

On vérifie que cette charge dite « élémentaire » n’est pas pour tous, mais la charge particulière pour les électrons et positrons. Comme le positron célibataire (donnant la charge au proton), est prisonnier dans le rayon du proton (459 fois plus petit que son rayon de Compton), il viole la loi M.L = Cte. C’est sa propension à s’élargir à son rayon de Compton 459 fois grand) qui induit la polarisation des intervalles des couches neutres du proton, qui s’oppose à sa liberté. En revanche, le positron (ou l’électron) célibataire confiné dans le muon, arrive à s’échapper rapidement car le muon est constitué d’un seul groupe et donc sans intervalle polarisable.

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