Les nombres magiques du modèle standard

Pour bien comprendre ce qui suit, il convient de prendre connaissance des conditions statistiques de l’apparition du facteur universel ξ qui apporte la finesse des paramètres qui ont rendu féconde la Bulle-Univers observable. IL faut également prendre connaissance des bosons universels primordiaux, soit les oscillateurs BODYS subquantiques, formant le BEC-fossile . La saturation a séparé les pôles de Bodys subquantiques (non locaux) et sont devenus – localement à l’échelle quantique – les paires électron-positrons qui selon la loi KOIDE-DUO5, sont les seuls éléments fondamentaux de la matière.
La dualité de localité implique la dualité de stabilité de la paire électron-positron. Contrairement à l’instabilité relative à sa création locale, la non localité de la mutation originelle : BODYS → électron-positron, leur confère le statut de stabilité. Cette symétrie s’exprime entre l’électron orbital et le positron toujours confiné dans le proton dont la charge est précisément celle du positron. Cette mutation BODYS → électron-positron, se reproduit par la surdensité saturant les centres galactiques ou les étoiles géantes.
Il convient également de prendre connaissance des :

Le modèle standard désigne par « nombre magique » un nombre de protons ou neutrons permettant la stabilité d’un noyau. Sept nombres magiques on été vérifié expérimentalement : 2, 8, 20, 28, 50, 82, 126. Le modèle standard suggère un 8eme nombre magique soit 184.
Le modèle standard imagine dans le modèle de la goutte d’eau, datant de près d’un siècle, les noyaux d’atomes comme des conglomérats de protons et neutrons structurés en sphères enchevêtrées.

Il n’explique pas pourquoi l’instabilité du neutron libre disparait lorsqu’il est aggloméré dans un noyau d’atome stable. En revanche, la loi DUO5 indique que tous les noyaux sont structurés principalement en couches concentriques neutralisées par le masquage par superposition. Pour réussir la fusion nucléaire, il faut une énergie supérieure à celle nécessaire pour démasquer les couches. En effet, ce démasquage révèle les charges opposées qui s’opposent au démasquage. La somme des taux d’habillage des noyaux avant fusion est supérieure à celle après fusion. Il y a donc une émission d’énergie. L’habillage étant la conséquence du couplage subquantique, ce sont les Bodys qui émettent l’énergie de fusion.
Le noyaux d’hélium 4 par la loi DUO5
La loi incontournable : M.L = Cte, (base de la longueur de Compton et qui régit toutes les structures quantiques et subquantiques) permet de calculer le rayon du proton en relation avec la masse d’un des 4 groupes de 460 unités nues, chacun. La loi DUO5 indique que tous les noyaux sont à l’image du proton. La masse Mg de chaque groupe empilé de couches de paires électron-positrons, détermine le rayon R qui est la longueur de Compton du noyau. Le rayon n’est pas déterminé par la somme en série des Mg mais la valeur de chacun disposé en parallèle. Ainsi plus Mg est grand, plus R est petit. Cela semble en contradiction avec la règle de calcul standard qui donne approximativement le rayon R, selon :

Avec R0 = 1,4×10–15 m. Ainsi la règle Mg × R = Cte, fixe le nombre d’unités Ng (électron ou positron) d’un groupe. Connaissant la longueur d’onde Compton de la masse d’un électron (ou positron), son ratio avec le rayon du noyau fixe le nombre d’un groupe, selon :

Avec Ng pair arrondi ∈ ℤ. Cette relation montre que le noyau d’hélium est un empilement de 51 groupes de 144 unités chacun ou 72 paires dont les charges sont neutralisées par masquage par superposition.
Le nombre de groupes est donné par :

Ci-dessous une image simplifiée du noyau d’hélium avec ces 50 groupes de chacun 74 paires neutres + ses 2 positrons célibataires et confinés.

Ainsi le noyaux d’hélium 4 n’est pas un empilement de neutrons (1844) et de protons (1841), mais un empilement de 50 groupes neutres ayant chacun 74 paires masquées.
L’énigme du double statut de stabilité du neutron est ainsi résolue cas sa forme réduite pronon dans le noyaux, n’a plus l’instabilité due à ses 2 paires supplémentaires.
Généralisation pour quelques atomes :
Les 8 nombres magiques 2, 8, 20, 28, 50, 82, 126, 184

Mais le nombre par groupe (par exemple 76 pour le calcium 48) déterminant le rayon du noyau selon M.L = Cte, (compatible avec le modèle standard) peut aussi se présenter comme une enveloppe externe avec des groupes internes plus petits car plus massiques selon le tableau qui suit :

Dans lequel tous les noyaux possèdent des groupes internes, tous calibrés comme le proton à 460 unités nues. Les résultats entiers et nus sont tributaires des taux de couplages qui affectent les valeurs mesurées en unités mesurées., comme par exemple le taux d’habillage du proton : 1841 / 1836.15 = 1,0026.


Cas du lithium
Les mesures montrent que le noyau du lithium présente un centre entouré d’un halo neutre qui s’étend jusqu’au rayon du noyau du plomb. Or le mode en couches sphériques permet beaucoup de combinaisons (voir tableau ci-dessus) qui s’accordent avec un groupe externe de 46 unités neutres et donc à grand rayon. La couche 144 est celle qui déterminerait le rayon du noyau de lithium (sans le halo 46). On note que 46 = 2 Φ = 460 / 10 (voir ci-après).

Il est possible que tous les noyaux aient un coeur à 460 unités par groupe comme le proton (ou neutron). Ce coeur est alors entouré d’un halo dont le nombre n < 460, lui confère une enveloppe dont le rayon est plus grand.
Confirmation par le facteur universel ξ
On rappelle que ξ5 est le ratio nécessaire aux Bodys stochastiques pour se synchroniser. Ce ratio donne l’épaisseur de Planck en fonction de l’amplitude spatiale (ou rayon du BEC-fossile). Avec le facteur Φ = 23 et les 5 nombres de Fibonacci (1, 2, 3, 5, 8) propres à la mitose, on retrouve la base neutre commune au proton et neutron.

On confirme également le nombre de la masse neutre du méson π :

Ainsi le logarithme de ξn en base 5 donne une valeur approchée des 8 nombres magiques :

Avec :

On a vu que ce coefficient d’erreur ne peut être ramené au zéro absolu car même pour les grands nombres de tirages, il est statistiquement impossible de l’atteindre. Ci-après la suite des nombres magiques :

Et le nombre 23 et les mésons π avec une précision de plus sigma 6 :


Conclusion
Avec son approche « effective », le modèle standard ne s’intéresse qu’aux effets et non aux causes. Ainsi il a rejeté – à cause d’un raisonnement limité au local – la paire électron-positron comme éléments fondamentaux des atomes. Depuis l’école de Copenhague, la partie quantique du modèle standard se borne aux effets locaux. L’enquête de Jean BRICMONT a bien mis en exergue la gêne des chantres du modèle standard vis à vis des expériences portant sur la non localité de l’intrication des spins. La grande erreur des « maîtres » de Copenhague a été d’ignorer les travaux de BOHM sur la non localité. De ce fait ils ont considéré que l’instabilité d’une paire électron-positron créée localement était universelle. Ils n’ont pas voulu regarder que l’électron stable a forcément une symétrie positron stable, bien qu’il soit toujours confiné. Ils ont posé une dichotomie entre fermions et bosons sans prendre la précaution de vérifier sa validité non locale. Le positron est aussi élémentaire et stable que l’électron non produit localement.
En se bornant aux seuls effets et la seule localité quantique, le modèle standard a rejeté la paire électron-positron comme étant le seul et unique élément de toute la matière. En faisant le ratio de force {coulomb / gravitation} en comparant {proton/ électron}, il répète l’erreur flagrante de symétrie.
Les chantres du modèle standard, élude le fait que la charge du proton est strictement celle d’un positron. Ils ont religieusement résonné en terme d’absolu, qui amène à croire qu’il existerait une matière élue et donc une « méchante » antimatière. Non il n’y a pas de « méchante » antimatière mais juste une symétrie au niveau le plus élémentaire en tenant compte du confinement systématique des positrons. Encore que ce confinement a des exceptions, notamment dans les flux de rayons cosmiques qui présentent un excès de positrons dont on a vu ici la raison profonde . Le pire c’est que le modèle standard cherche à l’expliquer en évoquant la matière noire dont il ignore tout.
La « dureté » du noyau, détectée en réaction aux perturbations de la mesure, vient du brusque démasquage des charges élémentaires. La force coulombienne attractive relative aux charges séparées d’un intervalle ultra faible, est la cause de cette raideur. Les positrons confinés (en ondes plates) – qui cherchent à s’étendre vers leur propre longueur de Compton – provoque également des polarisations qui s’opposent à leur extension.