Enigmes standards résolues (01-10)
Pour bien comprendre ce qui suit, il convient de prendre connaissance de l’apparition du facteur universel ξ qui apporte la finesse des paramètres de la Bulle-Univers observable.
Les prémisses que représentent les 5 premières lois physiques de l’univers ne se basent ni sur des principes ni sur des hypothèses, mais sur la déclinaison du paradoxe existentiel relatif à la notion d’inertie. On démontre que dans une fonction continue, toutes valeurs tirées par hasard dans moultes oscillations – valeurs aussi faibles que l’on veut – seront toujours éloignées du zéro absolu par une infinité d’intervalles réputés infiniment petits. Si le zéro absolu et l’infini sont bien interdits pour les paramètres physiques, ils sont cependant permis pour les nombres. On peut cependant adopter la forme : « qui tend vers l’infini » pour éviter toute ambiguïté. Ainsi les éléments de l’état univers stochastique permanent (ou omnivers) sont contraints d’osciller en permanence car chacun cherche l’impossible zéro absolu. Mais comme la présence magique de toute intensité d’inertie – même aussi faible que l’on veut – est injustifiable, alors l’omnivers est contraint de se conformer en oscillateurs dipolaires présentant chacun, un parfait zéro mais de nature symétrique. Mais même dans le confinement de chacun des deux pôles opposés, la recherche du zéro absolu, est contrainte de se poursuivre éternellement. Le zéro symétrique est un pis aller pour la nature. cela implique une dualité de référentiel entre le confinement des pôles et l’ensemble dipolaire oscillant. Ainsi la nature reste déterminée à chercher éternellement l’impossible zéro inertie absolue, y compris dans l’intimité de chaque pôle. Le nombre d’oscillateurs élémentaires – qui tend vers l’infini – produit un brassage sans énergie (au sens de Shannon) de type statistique. Ce brassage revient à un immense potentiel de tirages aléatoires de n inerties dans chaque point zéro. Par définition, le non écoulement du temps ouvre une probabilité unitaire de synchronisation (approchée) d’un certain nombre. Les 3 paramètres synchronisés sont : a) la fréquence ; b) la phase ; c) la superposition des points zéro. On notera que la fréquence dépend entièrement de la masse initiale. En effet, selon M.L = Cte, on a l’amplitude : L = f(M) ; t = f(L). Il y aura toujours un taux d’erreur minimale, car le zéro (absolu) en matière d’erreur, est également impossible.
Ce thème sera divisé en plusieurs chapitres et celui-ci en est le premier. Plusieurs physiciens comme MARCEAU FELDEN marquent leur préférence pour la démarche logico-déductive en physique, et se méfient des modèles mathématiques qui reviennent à éluder la physique. Comme déjà vu dans l’article précédent, le modèle standard – par l’itération des occurrences {modèle mathématique ↔ mesures locales} – ne peut prétendre à la rigueur scientifique. En effet, les dernières expériences (voir ASPECT) montrent clairement qu’il convient de prendre en compte la dualité de localité. Cela revêt une immense importance car la création de paires locales est très différente de celles d’origines dans le cadre de la non localité. C’est la raison pour laquelle les progrès techniques observationnelles, ne font que révéler de nouvelles énigmes, plutôt que de les résoudre.
La rigueur se mesure à l’aune du ratio : nombre de prémisses non hypothétiques / nombre d’énigmes résolues.
Ainsi la loi DUO5 démontre que toutes les lois physiques mesurées sont déclinées des 5 lois physiques premières. La clé est de comparer ce nombre limité de lois physiques premières (qui ne concerne ni principe ni hypothèse), au nombre d’énigmes résolues. Nous allons le faire par thèmes successifs et séparés, bien que la loi DUO5 démontre que tout est lié et ce, à toutes les échelles. D’emblée il faut garder en tête que c’est le concept de dualité qui sauve l’existence de la Nature. La dualité est partout et en premier lieu, dans les états d’univers.
Les énigmes cosmologiques résolues
01 l’énigme de l’existence permanente de l’avant Big-Bang
Le paradoxe existentiel relatif à la loi n° 1, démontre pourquoi la matrice permanente d’univers ou omnivers, existe sous forme d’un nombre d’oscillateurs Bodys-zéro qui tend vers l’infini. Cet état « matrice » est typiquement sans énergie, car chaque oscillateur (stochastique, aléatoire, élémentaire, non connexe), annule les paramètres physiques opposés de ses pôles, par symétrie. Il y a dualité entre le confinement intérieur de chaque pôle de Bodys et son expression extérieure. C’est l’expression symétrique de la loi n° 2. Cette dualité {intérieur ↔ extérieur} est héritée par les êtres unicellulaires. Ces derniers se nourrissent de la dangereuse entropie de désordre régnant à l’extérieur, tout en luttant pour conserver sa basse entropie interne (ou organisation) .
02 l’énigme de la pré-émergence de l’univers observable
Le dual de l’entropie de désordre de l’omnivers qui tend vers infini, s’exprime par un état de basse entropie (de désordre) qui n’est autre que la synchronisation formant un Condensat de Bose Einstein (BEC) de taille cosmologique. Un flux de Bodys stochastiques, se synchronisent et partagent leurs points zéro dans un (ou plusieurs) BEC(s). Comme le temps ne s’écoule pas, l’intense brassage stochastique possède une probabilité unitaire de former un BEC. Ce BEC est formé de couches de pôles qui oscillent et continuent d’annuler tous paramètres physiques. Ces couches oscillantes sont donc synchronisées. Cette formation d’un BEC est à considérer comme une erreur statistique.
La dualité {interne ↔ externe} évoquée plus haut, joue également dans la variation du flux de synchronisation. Cette dualité implique une dualité d’influence entre l’extérieur stochastique (entropie haute) et l’intérieur du BEC en devenir (entropie basse). On retrouve cet aspect « peau » dans les êtres unicellulaires. Plus la densité de Bodys synchronisés augmente, plus le flux de synchronisation s’accélère pour arriver in fine, à saturation. Cette allure exponentielle crée une « distance statistique » entre le premier et les autres BECs en devenir.
03 l’énigme de l’émergence de l’univers observable (saturation-séparation-expansion)
Le calcul montre que le taux de saturation s’exprime par une réduction critique de l’intervalle tangentiel sur le point de rebroussement (rayon R du BEC). La loi n° 5 et le calcul, démontrent que la réduction du ratio ξ provoque la fusion locale (lors de l’arrêt au point de rebroussement) des paires voisines opposées via la force attractive coulombienne. Auparavant, la force de Lorentz tenait équidistants les pôles voisins grâce à la vitesse relative des pôles. Cette fusion en neutrons → protons, revient à masquer les charges de liaison interne au Bodys et donc à séparer radialement les pôles de Bodys situés sur l’aire du BEC-fossile. Cette séparation causale radiale révèle les paramètres physiques des pôles (qui ne s’annulent plus). Ils deviennent des paires électron-positrons selon les lois n° 4 et 5. La couche fusionnée conserve son impulsion finale à la vitesse c. C’est la cause de l’expansion de l’univers observable. Plusieurs observations telles que la masse de l’univers, le nombre d’étoiles, sont concordantes avec les 5 lois premières.
04 énigme de la cause de la gravitation
La relation de la loi n° 4 explique clairement que la séparation radiale coulombienne est compensée par le gradient tangentiel coulombien qui divise en 1 D, la force unitaire coulombienne par le ratio ξ4. Ce même facteur – élevé au carré – donne le nombre de paires électron-positrons ξ8 qui – connaissant la masse de l’électron – présente une occurrence avec la mesure de la masse de l’état : « univers en expansion ».
05 l’énigme de la dualité {matière ↔ espace-temps}
La loi n° 5 indique le rayon du BEC-fossile qui est en adéquation avec les intervalles élémentaires et le nombre initial de paires électron-positrons. Ce nombre est cohérent avec la masse de l’univers et le nombre d’étoiles. La surface du BEC contient l’équivalent de ξ8 pôles séparés et donc massiques, alors que le volume composé de ξ3 couches de pôles de Bodys non séparés, en contient donc ξ3 fois plus soit ξ11 en tout. C’est cela qui constitue le maillage élémentaire subquantique et dynamique de l’espace-temps formant le volume du BEC-fossile.
06 l’énigme des multivers
En 1-3 a été abordé la dualité d’influence entre le « monde » extérieur à haute entropie de désordre et la basse entropie intérieure. Cette influence varie en fonction de la densité relative de surface. Celle extérieure varie d’une manière stochastique autour d’une moyenne, alors que celle interne est en progression. Mais plus la densité interne progresse plus celle externe diminue. Il vient que le flux de synchronisation progresse d’une manière exponentielle. Comme rien n’empêche la multiplicité des pré-BECs en devenir, on pourrait en premier abord, en déduire que la spéculation des multivers à un sens. Mais il faut ici préciser trois éléments :
a) sans écoulement du temps, on peut estimer l’équivalent temps pour avoir une idée de terme à saturation d’un BEC. En fixant arbitrairement à l’électron, le cycle moyen des Bodys stochastiques, on peut estimer l’équivalent temps pour arriver à saturation du BEC
b) la loi DUO5 montre (par plusieurs voies) que la durée de vie de l’univers en expansion est de 2483 milliards d’années.
c) le calcul statistique pour arriver à synchroniser ξ11 Bodys dépend de la phase, de la fréquence et de l’ajustement des ratios permettant la réussite d’un BEC saturé. L’estimation pour réunir aléatoirement tous ces paramètres, réclament un nombre de brassage qui est plus de 101000 fois plus grand que la durée de vie de l’univers observable.
Il vient que la probabilité d’avoir plusieurs BEC-fossiles actifs (des multivers) en même temps est quasi nulle. En effet la différence entre le premier et le second dépasse largement la durée de vie de l’univers observable en cours.
07 l’énigme de la cause de l’expansion
Pour sauver une certaine cohérence du modèle standard, on a posé l’hypothèse d’une phase d’inflation dont la cause est éludée. Selon DUO5, cette inflation n’est pas magique mais suis strictement la loi n° 3, (M.L = Cte). Ainsi les pôles quittent le point zéro avec une vitesse ξ2 fois supérieure à c. Au point de rebroussement elle est réduite à la vitesse c. Comme les charges des pôles de cette couche sont masquées, le rebroussement est annulé. L’expansion est justifiée par cette couche 2D devenue massique qui continue sur son impulsion à vitesse c. On verra que dans le même temps, le volume des Bodys non séparés entre en mitose pour générer ξ2 BECs-fils pour raison de rétablissement de l’isotropie des intervalles élémentaires. Il y a donc deux causes différentes d’expansion qui auront besoin d’une variable d’justement pour converger. Cette convergence mitose-expansion est nécessaire pour que la vitesse c des masses soit égale à la vitesse de mitose de l’espace-temps pour éviter le piège relativiste.
08 l’énigme de l’origine de la constante de structure fine
Lors de la fusion-séparation, l’annulation des charges radiales dans un temps extrêmement court, génère un tel di/dt qu’il provoque un sursaut de permissivité qui revient à une sorte de court-circuit radial. On retrouve cette « surtension » lors de l’enclenchement d’un transformateur alimentant un circuit Haute Tension . C’est le même phénomène qui permet d’alimenter les bougies des autos en haute tension à partir du 12 v continu. Dans le BEC-fossile, ce pic de réduction de localité, revient à annihiler une majorité des paires électron-positrons. Cette « erreur de séparation » ressemble à l’expérimentation locale dans laquelle la paire créée s’annihile car elle n’est plus séparée.
Au moment de la séparation non locale et radiale des pôles, une erreur survient et génère un pic de localité entre les pôles concernés, ce qui les annihile. C’est la cause de l’existence de la constante de structure fine.
Comme indiqué plus haut, la synchronisation n’est pas parfaite et recèle un taux d’erreur. Ainsi ce taux d’erreur se traduit par une légère différence d’amplitudes des pôles de la couche arrivant au point de rebroussement. Ainsi, une minorité de pôles, ayant une plus grande amplitude que la moyenne, échappe au pic de causalité et échappe donc à l’annihilation. Cette minorité rescapée ne représente que : 1/α² = 137,035999² de la totalité des pôles de la couche devenant matière. On verra que cette annihilation à laissé une trace (mesurée) à la température typique de l’électron. Cette annihilation crée des trous qui augmentent les intervalles élémentaires du facteur α = 137,035999. La conséquence directe explique l’énigme du rayon classique de l’électron qui est 137,035999 fois plus petit que le rayon de Compton. On retrouve également le ratio α dans la relation relative à la loi n° 4 :
qui amoindrit la constante gravitationnelle G, qui n’apparaît qu’après les trous laissés par l’annihilation. Chaque surface 2D élémentaire est ainsi agrandie du facteur α². En élargissant les intervalles, cette annihilation joue le même rôle que la mitose qui va suivre. Elle en est même le déclencheur.
09 l’énigme de l’émergence du couple neutron-proton
La mitose de l’espace-temps (volume du BEC-fossile) en BECs-étoiles plus légers met en avant le facteur ξ2 . On a vu que la CAUSE de la mitose est relative à l’équilibre du BEC qui présentait une anisotropie de facteur ξ (en 1D) des intervalles (radial/tangentiel). En 2D, le facteur ξ2 rétablit l’isotropie tout en allégeant la densité de l’espace-temps de chaque BEC-fils ou BEC-étoile. Mais on a vu que la mitose de la matière est déclenchée par les « trous » laissés par l’annihilation de facteur 2D α². Ces deux phénomènes (d’origines différentes) de mitose, sont contraints de converger en fin de mitose, pour raison d’intégrité des BEC-étoiles. La cohérence globale de la loi DUO5, implique une mitose fractale en 5 étapes qui suit la loi de Fibonacci avec sa relation au nombre d’or, qui sera développée plus tard :
La mitose fractale de l’espace-temps en 5 étapes, se traduit par 5+1 étapes α² pour la matière car elle inclut son déclenchement par annihilation. On obtient ainsi la variable d’ajustement qui fait converger la mitose de la matière et celle de l’espace-temps. Ce n’est autre que la masse du proton exprimée en unités électron (habillé).
La loi DUO5, montre que le facteur d’erreur (κ =1,00048473) est relatif à l’expression de la mitose en 3D. en effet, la mitose (ou expansion) démarre en 2D puis s’étend en 3D.
En groupant ces deux relations, le facteur d’erreur disparaît sous la forme simplifiée :
Cette relation découle directement des 5 lois premières de l’univers. La fusion en proton augmente encore les intervalles de la matière pour que les deux causes de mitose puissent converger. Cela indique que si le neutron est formé en premier, cela donne une raison physique à son instabilité mesurée qui l’amène à se conformer en proton. Toute la matière est réalisée à base de neutron-protons. Cela veut dire que toute la matière est réalisée par des paires électron-positrons (lois n° 4 et 5). La loi DUO5 montre que les quarks ne sont que des entités induites par les polarisations internes. Si la fusion stable de paires électron-positrons, semble impossible dans l’expérience locale, c’est à cause de la non séparation causale. La dualité de localité n’est pas prise en compte !
Les paires électron-positrons héritées des pôles séparées sur le BEC-fossile, ne sont pas des leptons comme mesurés lors de leur création locale, mais se comporte comme des bosons pour s’empiler en couches masquées dans les particules composites. Cela est cohérent avec la mesure cohérente avec la charge du positron célibataire confiné, affectée au proton. C’est la clé de la dualité de localité.
On verra que l’espace-temps forme un halo autour des étoiles. A l’échelle des galaxies, les BEC-halos sont enchevêtrés et forment un espace-temps global. Dans l’espace intergalactique en expansion, les BECs forment des halos autour de condensats de matière noire et forment l’espace-temps en expansion et donc en cours de déchevêtrement. Dans chaque BEC, la densité de Bodys reste constante et on verra comment la médiation à la vitesse constante c, en dépend. On note que les êtres unicellulaires entrent en mitose lorsqu’ils sont saturés. Il n’est pas étonnant que la mitose fractale soit généralisée notamment chez les plantes.
10 l’énigme de l’ajustement fin des paramètres de l’univers observable
On s’étonne que les paramètres physiques de l’univers observable, soit aussi bien ajustés. En 1-7, on a vu que le non écoulement du temps permet d’ajuster tout ce que l’on veut mais toujours avec une certaine marge d’erreur très fine. Par exemple, un BEC en avance qui n’aurait pas les bons ratios serait amené à avorter rapidement. Le cycle d’un univers en expansion « autorisé » doit répondre à certains ratios et notamment le nombre d’or relatif au couple 2 et 5. Le premier ratio de synchronisation concerne l’amplitude et la taille du point zéro des Bodys « candidats ».
Au fil d’un nombre incalculable d’essais stériles, l’aléa possède une probabilité non nulle de s’approcher suffisamment du facteur de mitose ξ² en 5 phases assez porche de l’idéal 25 !
L’existence de ce coefficient k5 est justifiée car il est impossible que l’erreur puisse atteindre le zéro absolu ! Ainsi il se retrouve partout en tant : « qu’erreur admissible permettant la fécondité d’un BEC entrant en mitose ». Tout cela se fait en relation étroite avec la loi KOIDE élargie directement reliée aux paires électron-positrons composant les atomes de matière. En cohérence avec les énigmes résolues plus haut, les paires électron-positrons sont couplées avec les Bodys de l’espace-temps dont elles sont issues. Ce couplage via les « particules virtuelles » observées, rend l’électron mesuré plus massique que l’électron nu. Ainsi en mesurant le proton à 1836.15 unités « lourde », cela correspond à 1841 unités nues. Comme vu dans l’article précédent, le proton (seule particule composite stable) est constitué de 1840 unités dont les charges sont masquée (920 paires auto-masquées) et d’un positron célibataire qui lui donne sa charge.
3 réponses
« probabilité d’avoir plusieurs BEC-fossiles actifs (des multivers) en même temps est quasi nulle » Cela ouvre quand même la porte à un pourcentage pour qu’il en exite en simultané,c’est le « quasi » qui est important à retenir,héhéhé🤏 🤭
Cependant, je me demande s’il pourrait y avoir des facteurs non pris en compte qui pourraient influencer cette probabilité quasi nulle ?non?👽
Aussi ce non écoulement du temps rend il l’omnivers et notre univers déterministe c’est à dire où le passé,présent et futur existent depuis toujours et sont gravé dans l’omnivers ?
Qu’en est il de notre libre arbitre,dois je plus m’en soucier puisque les univers parallèles ne peuvent exister simultanément…?
ps: Avez vous vu cet article, intriguant non ?! ça m’a fait pensé à votre théorie…🧐🤭
: https://www.techno-science.net/actualite/intrication-quantique-deux-photons-apparait-image-surprenante-forme-yin-yang-N23622.html
Cette fausse perception d’instantanéité est relié à notre conscience, je reprend un extrait du livre :
» Pour notre cerveau, notre conscience, il faut 250 millisecondes pour qu’un objet soit perçu « en conscience ». Cette durée est une éternité si on la compare à la vitesse de lecture de la matrice qui est celle de la lumière. « Ce » qui lit la matrice le fait toutes les 10-44 seconde (temps de Planck). La lecture de la matrice est donc 2,5 × 1043 (soit 2 millions et demi de milliards de milliards de milliards) fois plus rapide que les processus de conscience. Autant dire que l’on n’est pas près de « percevoir » l’écoulement du temps quantique ! »….
Le fléau qui hante les physiciens c’est la « dangereuse efficacité des mathématiques » …. à éluder la physique. Si la Nature ou la physique, connaissait le zéro inertie, nous ne serions pas là pour en parler. Seuls les nombres sont aptes à prétendre au zéro et à l’infini. Mais surtout pas les paramètres physiques.