Enigmes standards résolues (11-20)

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Enigmes standards résolues (11-20)

Pour bien comprendre ce qui suit, il convient de prendre connaissance de l’apparition du facteur universel ξ qui apporte la finesse des paramètres de la Bulle-Univers observable.

Dans l’article précédent nous avons résolu 11 énigmes (1-1 à 1-11) relatives au fondement cosmologique et ce, par simple déclinaison des 5 lois premières de l’univers. La première loi d’où sont déclinées les suivantes, est fondamentale car elle répond à la question lancinante :

Pourquoi quelque chose plutôt que rien ?

sur la base du paradoxe existentiel qui est démontré comme n’étant ni une hypothèse, ni une spéculation, ni un principe, est déclinée la loi n°2 qui prouve que la symétrie est un des premiers fondements physiques et inévitables de la Nature. Les déclinaisons de la loi n°3 sont largement vérifiées expérimentalement. La loi n°4 révèle le ratio fondamental relatif à l’équilibre de la bulle-univers dont nous faisons partie. Enfin, la loi n°5 révèle la CAUSE de la gravitation tout en précisant la valeur de la constante G et ce, en accord avec les dernières estimations standards. Il convient de rappeler ici, que la théorie DUO5 n’est pas un « modèle mathématique » de plus mais basée sur une démarche logico-déductive purement physique et sur l’exigence de la résolution des dizaines d’énigmes du modèle standard, à partir de ces seules 5 premières lois de l’univers.

Tous les modèles mathématiques d’univers reviennent à spéculer sur des « principes » et des « hypothèses ». La notion d’absolu est tellement enracinée dans les esprits, qu’elle masque la clé de la Dualité qui fonde la Nature elle-même.

Les énigmes cosmologiques résolues (suite)

11 l’énigme de la cause de la matière noire originelle

Par des voies diverses, on mesure indirectement la présence de matière noire et notamment par la dynamique des galaxies qui laisse entrevoir une masse environ 10 fois supérieure à celle de la matière visible. En dehors des galaxies certains auteurs estiment que la matière noire est près de 100 fois supérieure à la matière visible. Pourquoi est-ce une énigme pour le modèle standard ? tout simplement par son approche de type « modèle mathématique » qui élude les CAUSES physiques.

Si la mathématique est apte à analyser les effets, l’approche physique éclaire le chemin par la quête des causes.

Il faut bien séparé la cause physique de l’émergence de la matière noire, de sa morphologie. Il suffit juste de décliner les 5 lois premières par un raisonnement logico-déductif, pour comprendre la cause de l’émergence de la matière noire. La loi n° 4 indique clairement que la séparation causale radial des pôles présents sur l’aire du BEC-fossile, est compensée par le gradient tangentiel. La relation de la loi n° 4 montre sans conteste la cause de la gravitation. La loi DUO5 est met en avant le fait que la symétrie élémentaire des Bodys, sauve l’impossible zéro absolu par l’entremise du zéro symétrique. Ce qui se passe au niveau élémentaire est valable au niveau global. Cela veut dire que chaque localité angulaire de matière naissante sur l’aire du BEC-fossile, possède un (faible) gradient d’annihilation. Ainsi si deux galaxies opposées (séparées d’un angle π) sur le BEC-fossile, se rencontraient, elles s’annihileraient totalement (à 100%). Mais si deux galaxies voisines sur l’aire du BEC-fossile (séparées par un petit angle φ), se rencontrent, elles s’annihileront partiellement, proportionnellement à leur angle relatif initial. Cela revient à dénaturer ou altérer les composants élémentaires que sont les paires électron-positrons. Ces paires – normalement couplées et synchronisées avec les Bodys subquantiques – verront s’altérer l’intensité du couplage et de la synchronisation. Leur taux d’habillage (virtuel) sera altéré également. Une telle altération revient à dénaturer les protons qui se transformeront en une « pâte informe » donc incapables d’émettre la raie caractéristique de 21 cm.

12 l’énigme de la cause de la matière noire galactique

On verra en détail pourquoi chaque galaxie est entourée d’un halo qui n’est autre que l’enchevêtrement des BEC-étoiles. Le trou noir central revient à une superposition de BECs qui s’apparente à la saturation du BEC-fossile. Cela veut dire que le « point zéro commun » ou PZC, voit certains de ses intervalles élémentaires se réduire jusqu’à fusionner. La loi n° 5 indique que la vitesse subquantique (cs) des pôles à la sortie du PZC, vaut ξ² fois la vitesse c. Selon la loi n° 3 (M.L = Cte) la masse du pôle arrivé au point de rebroussement vaut celle de l’électron (ou du positron). Donc selon cette loi, la masse au PZC est ξ3 fois inférieure soit : mo = me / ξ3 . Ainsi l’énergie d’un pôle quittant le PZC est égale à : wo = mo cs² = meξ. On verra dans la cause de la force faible que le transfert subquantique 1D → 2D ne laisse apparaître que la racine carrée de l’énergie qui émerge dans les couches 2D d’un neutron ou proton. On verra que cette énergie est strictement égale aux mesures maximales des rayons cosmiques sous forme de protons relativistes. Mais il faut préciser deux choses : a) la saturation sur le BEC-fossile se fait au point de rebroussement où l’énergie est celle de l’électron ; b) une grande partie des rayons cosmiques est amenée à se rencontrer sous l’effet des champs magnétiques. On retrouve alors le même phénomène existant sur le BEC-fossile, à savoir des collisions élémentaires qui altèrent les protons et les transforment en matière noire.

13 l’énigme de la consistance de la matière noire

Elle découle directement de l’explication de l’énigme 1-12 soit : « si deux galaxies voisines (séparées par un petit angle), se rencontrent, elles vont s’annihiler partiellement, ce qui revient à dénaturer ou altérer les composants élémentaires que sont les paires électron-positrons. Ces paires – normalement couplées avec les Bodys subquantiques – verront s’altérer la synchronisation avec les pôles de Bodys de l’espace-temps. Leur taux d’habillage (virtuel) sera altéré également. Une telle altération revient à dénaturer les protons qui se transformeront en une « pâte informe » donc incapables d’émettre sa raie caractéristique de 21 cm. La matière noire est un des éléments de l’augmentation de l’entropie de désordre de la bulle-univers en expansion. Ces répétitions cumulatives d’annihilations partielles, vont dans le sens du cycle de la bulle-univers dont le terme est le retour dans la matrice (omnivers) dans laquelle l’entropie de désordre tend vers l’infini.

14 l’énigme de l’accélération de l’expansion

Comme vu en 1-8, l’origine de l’expansion est l’impulsion finale à vitesse c, de la fin d’amplitude des pôles de Bodys séparés du BEC-fossile. Mais dans le référentiel de chaque étape de la mitose fractale, la matière reprend une vitesse additionnelle c. Ainsi au terme de la mitose, l’expansion globale est structurée en couches de vitesses allant de 0 à 5 c. Comme l’espace-temps est structuré en BECs enchevêtrés maintenus par la composante constante de gravitation, les couches s’assimilent à des ressorts empilés. La vitesse moyenne radiale d’expansion est donc de 2,5 c qui ralentit sous l’effet de la gravitation classique. Cette couche moyenne est l’attracteur de toutes les autres couches, via la force mutuelle entre BECs . La loi DUO5 montre que :

a) cela se traduit par la quasi isotropie de l’expansion qui est observée ;

b) notre Galaxie est située dans les couches en retard (voir 1-16), soit 7 G.y.l pour 34 G.y.l pour la couche moyenne. De ce fait elle accélère pour rejoindre la vitesse moyenne (voir énigme 1-16). Là encore, la dualité de localité joue un rôle fondamental. Mais la symétrie exige que cette accélération soit strictement compensée par la décélération des couches en avance. Cela s’établit dans le référentiel de la couche moyenne, elle-même en décélération. Globalement, cet état provisoire d’univers en expansion a un bilan énergétique nul entre celle de la force inertielle de son impulsion et celle négative de la gravitation.

15 l’énigme du trou de l’Éridan

On mesure un unique et immense trou dans l’univers du côté de l’Éridan. Sa taille, de plus d’un milliard d’années-lumière, intrigue tellement les adeptes du modèle standard, qu’ils préfèrent l’appeler « point » froid. Appeler « point » un trou d’un milliard d’années-lumière est encore une façon d’éluder la réalité physique. Non ce n’est pas un « point » sans importance car il s’agit de la trace du BEC-fossile, vu après une certaine expansion.

Le trou de l’Éridan

Zone froide

La résolution d’énigme (1-9) de l’article précédant, indique une annihilation quasi-globale des paires électron-positrons sur l’aire du BEC-fossile. Leur température est connue soit : 5,932×109 K. Par ailleurs on mesure la température du fond diffus à 2,72 K. Selon la résolution de l’énigme 1-14, l’expansion en couches de vitesses est compatible avec un amortissement en 1/r² de la température initiale. On obtient la position actuelle de notre Galaxie par rapport au BEC-fossile :

Ce qui est cohérent avec l’accélération de l’expansion relatif aux couches en retard. Connaissant l’âge de ‘univers (13.8 G.y) on peut déterminer (en négligent la décélération due à la gravitation) la position de la couche moyenne (en expansion à 2,5 c) selon :

Le ratio indique que la vitesse moyenne de la couche locale d’expansion – v = 2,5 c × 7,05 / 34,5 = 0,51 c – est en pleine accélération, car tirée par les couplages en chaine entre BECs nous séparant de la couche moyenne. La vitesse moyenne de l’expansion du trou laissé par le BEC-fossile est donnée par :

16 l’énigme des halos galactiques

La résolutions des énigmes 1-9 et 1-10 – concernant la cause de la constance de structure fine – indique que la saturation du BEC-fossile se traduit par sa mitose fractale (en 5 étapes) en ξ2 BEC-fils. Ces BEC-fils entourent les 1022 étoiles observées. La mitose en BEC-fils passe par une étape préalable sous la forme concentrées de ξ BEC-galaxies. Chaque galaxie typique et originelle, est entourée d’un halo qui représente les ξ BEC-étoiles très enchevêtrés. Par exemple le halo de la Galaxie – mesuré à 200 000 années-lumière – est le cumul du rayon galactique (50 000 années-lumière) + le rayon d’un BEC contraint à 150 000 années-lumière. Donc l’espace-temps du halo est fibré par les oscillateurs Bodys le constituant. Au-delà de l’horizon du halo, l’enchevêtrement des BECs est largement moins serré car n’ayant comme centre que de la matière noire doté d’un couplage très atténué. Ainsi la matière noire (voir ci-dessus) émise par le centre galactique – ralentie (voir dualité gravitationnelle) par le halo – est subitement libérée aux limite du halo. C’est ce qui est effectivement observé sous le nom de « cisaillement gravitationnel de la matière noire ».

17 l’énigme de la structure de l’espace-temps

Le modèle standard est une théorie dite « effective ». ce terme est ambigüe car il ne s’agit non pas d’une théorie « effectivement réelle » mais d’une théorie basée uniquement sur les « EFFETS ». Les « CAUSES » physiques étant reléguées en second plan. Mais comme on l’a vu, même les EFFETS sont contestables s’ils sont basés sur des « principes » qui éludent notamment la très importante dualité de localité. Ainsi les effets de l’espace-temps bien que bien interprétés par Einstein, ne l’ont pas satisfait pour autant. Il a clairement posé l’énigme de la médiation d’un photon dans le « vide » ! Il a également posé l’énigme du « lien fantôme » entre des paires préalablement intriquées ! Ces deux énigmes ont ensuite été éludées pour ne garder que sa belle démonstration mathématique concernant la relativité. Cette démonstration, basée sur la constatation de la constance de la vitesse de la lumière dans le « vide« , n’explique pas la cause de cette constance. En résumé, les successeurs d’Einstein ont utilisé sa belle démonstration mathématique pour éluder les causes et la structure physique de l’espace-temps. La « dangereuse efficacité des mathématiques » est dangereuse car elle élude les causes de la physique de l’univers.

Les résolutions des énigmes 1-2, à 1-6 indiquent clairement que l’espace-temps est déjà constitué dans le volume du BEC-fossile, constitué d’oscillateurs Bodys synchronisés. Le point zéro commun se trouve au centre d’un BEC. Ainsi la vitesse supraluminique subquantique explique ;

a) la CAUSE de la vitesse quantique de la lumière dont elle est dérivée par le ratio entre intervalle local et amplitude non locale des Bodys.

b) la CAUSE de la vitesse « fantôme » des paires intriquées.

On verra que le couplage du spin {particule ↔ Bodys} ou {particule ↔ espace-temps} est la cause de la relativité, de la force faible, de l’habillage (virtuel) des particules, du ralentissement de Pioneer 11, etc.

18 L’énigme des « noyaux actif AGN » (trous noirs plus jeunes que prévu)

Le modèle standard pense que les AGN sont la conséquence d’accrétion de matière autour du trou noir central d’une galaxie. Cependant les dernières observations d’AGN – qui s’avèrent être beaucoup jeunes que prévu – ne sont pas compatibles avec une longue période d’accrétion. Tout indique que le trou noir existait avant la galaxie.

AGN vu par le modèle standard

La précocité des AGN est une confirmation supplémentaire de la loi DUO5 basée sur la saturation de matière sur l’aire du BEC-fossile. Cette saturation est telle que la densité surfacique est naturellement celle d’un trou noir en 2 dimensions. Or la mitose fractale en 5 phases, commence justement par 1/5 = l’annihilation qui creuse des trous encore bien observés.

Ensuite l’expansion ouvre la voie à la 3eme dimension dimension et la phase 2/5 est sous la forme de noyaux de superamas en mode trou noir. La phase 3/5 consiste à les diviser en amas (organisés en « murs »). L’étape 4/5 consiste en des noyaux (trous noirs) de galaxie qui à la phase 5/5, se divisent en étoiles. Les AGN observés montre des trous noirs centraux en cours de division en étoiles.

Un AGN type n’est pas une accrétion de matière, alimentant le trou noir du centre galactique dont on ne connait pas l’origine, mais un trou noir originel en cours de division en étoiles. Cette dernière phase de mitose concerne autant les BEC-étoiles que les étoiles hôtes. Les trous noirs galactiques sont les vestiges du noyau noir hyper condensé, où les BECS superposés reproduisent (à plus faible échelle) les jets de particules du Big Bang.

19 L’énigme des monopôles magnétiques

Le modèle standard dépense des sommes importantes pour essayer de trouver des monopôles magnétiques à l’échelle quantique. C’est un échec flagrant. Paradoxalement c’est en ignorant la dualité de localité (matérialisée par la dipolarité des Bodys subquantiques) que l’on ne parvient pas à définir exactement les monopôles magnétiques. C’est la dipolarité structurelle des Bodys qui annule tous les paramètres physiques et donc également le magnétisme. Les monopôles sont les Bodys de l’échelle subquantique. Mais son intensité magnétique est réduite à zéro (relatif et non absolu). Ce sont eux qui fibrent l’espace-temps. Ils sont à l’origine de l’espace-temps dont une faible partie a vu ses pôles contraires se séparer sur l’aire du BEC-fossile, pour devenir la matière.

La matière a le statut de monopôle inertiel et donc de dipôle magnétique. Le Bodys a le statut de dipôle inertiel (non scalaire) donc de monopôle magnétique d’intensité aussi nulle que son inertie résultante.

Il faut cependant bien distinguer les Bodys stochastiques mais chacun très symétrique et tissant la matrice éternelle, des Bodys subquantiques et synchronisés qui sont couplés avec la matière. Or intervient ici la résolution d’une autre énigme appelée « anomalie du moment magnétique de l’électron« . Il sera montré plus tard, la CAUSE de cette anomalie qui est directement liée à l’habillage virtuel relatif à ce couplage. Ainsi les Bodys structurant l’espace-temps ne sont pas tout à fait des monopôles magnétiques à cause de la perturbation de symétrie relative au couplage avec la matière.

20 L’énigme de la cause de l’anomalie du moment magnétique

L’expérience d’ASPECT sur l’intrication a prouvé que le moment cinétique (le spin) communique à une distance au-delà de la causalité relative à la vitesse de la lumière. L’électron est la base élémentaire, universelle et empreinte d’une double localité. L’électron et le positron, sont orphelins de l’oscillateur Bodys dont ils sont issus et auquel ils restent faiblement couplés. C’est l’habillage, par le couplage au bodys, qui rend l’électron légèrement plus massique que s’il était nu comme le montre la loi KOIDE généralisée. Ainsi ce qui est valable pour le moment cinétique l’est également pour le moment magnétique. Le Bodys couplé cède une partie de sa masse à l’électron. La dualité de localité s’applique à la loi canonique : M.L = Cte. Ainsi l’amplitude spatiale du pôle de Bodys subquantique couplé, augmente du même facteur que la masse cédée par le pôle . Ainsi ML = Cte doit se conjuguer avec la dualité de localité. Classiquement on pose :

avec c et me mesurés, on retrouve M.L = Cte. Cependant la mesure de cette longueur ƛe est réduite du même facteur (αe =  1,00115965218218.) qui amplifie (habille) la masse me . La longueur de Compton à prendre en compte est celle relative au non habillage de l’électron car elle est plus grande soit : ƛo > ƛe . L’article sur l’anomalie du moment magnétique de l’électron démontre que la constante de Planck n’est pas adaptée pour déterminer le moment magnétique de l’électron. Car selon la loi n°3 (ML = Cte) l’habillage de l’électron Δm donne une valeur mesurée de la longueur de Compton, légèrement inférieur à sa réalité relative à l’expression de son moment magnétique. On a donc l’expression suivante :

qui explique la cause de l’anomalie du moment magnétique de l’électron. Par définition et selon la loi KOIDE élargie, cela se répercute logiquement sur les particules composites.

Récapitulatif des énigmes résolues

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