L’anomalie du moment magnétique de l’électron, trahit son taux d’habillage

Déterminisme de L'Univers d'Or

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L’anomalie du moment magnétique de l’électron, trahit son taux d’habillage

La dualité de localité

L’expérience d’ASPECT sur l’intrication a prouvé que le moment cinétique (le spin) communique à une distance au-delà de la causalité relative à la vitesse de la lumière. L’électron est la base élémentaire, universelle et empreinte d’une double localité. L’électron et le positron, sont orphelins de l’oscillateur Bodys dont ils sont issus et auquel ils restent faiblement couplés. C’est l’habillage, par le couplage au bodys, qui rend l’électron légèrement plus massique que s’il était nu comme le montre la loi KOIDE généralisée. Ainsi ce qui est valable pour le moment cinétique l’est également pour le moment magnétique. Le Bodys couplé cède une partie de sa masse à l’électron. La dualité de localité s’applique à la loi canonique : M.L = Cte. Ainsi l’amplitude spatiale du pôle de Bodys subquantique couplé, augmente du même facteur que la masse cédée par le pôle . Ainsi ML = Cte doit se conjuguer avec la dualité de localité.

Influence du pôle subquantique

La longueur de Compton de l’électron est classiquement donnée par :

avec c et me mesurés, on retrouve avec raison : M.L = Cte. Cependant cette longueur ƛe est réduite du même facteur (αe =  1,00115965218218.) qui amplifie (habille) la masse me . En revanche l’amplitude miroir subquantique et non locale R, est augmentée du même facteur puisqu’une partie de la masse d’un pôle est cédée à l’électron. Le ratio d’influence subquantique est toujours le même soit 1/ξ3. Ainsi la longueur de Compton de l’électron est sous double influence : a) l’influence de l’amplitude subquantique ; b) l’influence quantique (locale), témoin de l’habillage de la masse : +Δm → –Δƛ.

Ainsi l’influence subquantique génère une longueur de Compton augmentée ƛs selon :

Il en ressort une longueur de Compton résultante selon :

Ainsi il n’y a pas d’anomalie du moment magnétique mais juste une mauvaise utilisation de la constante de Planck, ħ. Cette constante – très pertinente pour l’énergie – ne permet pas de distinguer la longueur de Compton relative au calcul du moment magnétique. La constante ħ représente les paramètres universels de l’électron, selon :

Avec M.L = Cte et c = Cte

Dans laquelle on vérifie que le produit du couple {me ƛe} est constant selon la loi canonique : M.L = Cte. Et c’est justement là que réside l’erreur ! La longueur de Compton de l’électron – fonction de la mesure de sa masse – est sous évaluée par l’habillage de la masse. C’est la raison de la présence du ratio d’anomalie : αe = 1.00115965218 qui rétablit l’altération de ƛe présent dans ħ.

L’écriture pragmatique du moment magnétique montre – compte tenu que sont avérées les constantes : e = f(me ƛe) et c – que le seul paramètre qui est compensé par αe est ƛe :

En prenant la valeur résultante calculée plus haut, on obtient cette relation sans anomalie.

L’influence du couplage subquantique compense la réduction de la longueur de Compton relative à son habillage.

Tout comme le spin, le moment cinétique est concerné par la dualité de localité. Ainsi, la longueur de Compton adéquate est celle calculée avec la masse « nue » de l’électron

ce qui est nommé « anomalie » est en fait le facteur d’habillage

La dimension physique du moment magnétique [Q L² T–1] ne comporte pas de masse M. Elle ignore donc totalement la masse habillée de l’électron. Cela est cohérent avec le succès inédit de la loi KOIDE élargie.

La constante de Planck reste valable pour l’énergie

La dimension de l’énergie inclus la masse M et donc forcément son taux d’habillage. En effet, on a [M L] × c/t soit [ ML²/T²]. Le succès de la constante de Planck est ici bien justifié. Cependant cette constante simplificatrice ne concerne pas le moment magnétique dont la dimension ignore la masse M. Ci-après on retrouve le calcul du boson W qui s’exprime d’abord par le ratio entre l’impulsion du Bodys et celle de l’électron. Cette impulsion, ξ fois plus forte est filtrée à √ξ par la transition 1D/2D du canal du couplage. Le ratio concerne la masse mesurée de l’électron, donc « habillée » qui fixe la longueur réduite ƛe . Cela explique la présence du facteur αe .

Le calcul de l’impulsion du boson W passe par le ratio avec la masse mesurée de l’électron

Cette impulsion est extirpée des 2 pôles d’un Bodys subquantique pour extraire la paire électron-positron dans sa forme « neutrino » en mode « opposé » annulant ainsi sa masse.

La mesure locale de la masse (habillée) donne la valeur réduite de Compton. En incluant la dualité de localité, on obtient la longueur de Compton relative à la masse nue de l’électron.

Il n’y a pas d’anomalie du moment magnétique de l’électron si l’on tient compte de l’influence subquantique et non locale, relative à son couplage.

La dualité de localité – à la base de toutes choses – est éludée par le modèle standard

La cause : l’interprétation tronquée de la déclaration de Bell qui avait pourtant bien précisé le paramètre de localité au sujet des variables cachées.

Une simple analyse dimensionnelle [Q L² T–1] montre que la définition du moment magnétique n’est pas fonction de l’habillage de la masse.

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