Zitterbewegung (tremblement électron)
L’animation ci-dessus montre l’oscillation de l’électron (selon ML = Cte) entre sa taille de Compton et sa taille de Planck, couplée à un Bodys subquantique. C’est la clé qui lève le mystère du lien causal persistant (au-delà de la causalité de la vitesse c), entre les états de spins préalablement intriqués. L’état de spin –partagé avec le Bodys subquantique couplé – possède une localité élargie à la taille du BEC (15000 années-lumière).
L’énigme du « lien fantôme » est entretenue à cause du monisme ambiant qui refuse d’admettre la dualité de localité. Cette dualité de localité implique une dualité de vitesses entre l’échelle subquantique et l’échelle quantique. Le blocage moniste s’exprime à tous les niveaux comme : un état d’univers ; une seule vitesse limite, un seul zéro absolu, etc..
Le texte de Jean BRICMONT portant sur la non localité (EPR-BELL) relative à l’intrication des spins, résume en page 6, l’enquête de MERMIN qui met en exergue la gêne des inconditionnels du modèle standard.
Enquête de MERMIN (extraite du texte de BRICMONT)
MERMIN distingue différents types de physiciens [22] : ceux du premier type sont dérangés par EPR-Bell. La majorité (le type 2) ne le sont pas, mais il faut distinguer deux sous-variétés. Ceux de type 2a expliquent pourquoi cela ne les dérange pas mais leurs explications tendent à être entièrement à côté de la question ou
à contenir des assertions physiques dont on peut montrer qu’elles sont fausses. Ceux du type 2b ne sont pas dérangés et refusent de dire pourquoi. Leur position est inattaquable ; il existe encore une variante du type 2b qui disent que Bohr a tout expliqué mais refusent de dire comment.
Cette enquête montre combien la dualité {quantique ↔ subquantique} est rejetée sans argument, par les inconditionnels du modèle standard. Certains préfèrent évoquer une magique instantanéité à distance pour deux particules ne « formant qu’une entité ».
Ci-après, selon ML = Cte, la masse de l’électron au niveau « Compton » est ξ² fois inférieure à sa masse au niveau « Planck ». On a vu dans cet article que le facteur de Lorentz n’est pas infini comme le laisse croire son équation. Il est limité au facteur ξ. Ainsi la vitesse tangentielle c due à sa rotation ne provoque qu’un effet relativiste négligeable, car de coefficient limité à 1/ ξ.
Selon DUO5 l’électron n’est pas tout à fait un soliton. C’est à la fois, un monopôle électrique et un dipôle magnétique, le tout couplé à un Bodys qui fausse légèrement son moment magnétique.
Il est couplé en oscillant ave un Bodys avec lequel il partage son spin. C’est la clé de son « tremblement » ou Zitterbewegung. Contrairement à certains avis, l’électron incident n’est pas « ponctuel ». L’infiniment petit n’a pas de validité physique.
Albert Einstein lui-même refusait de croire à l’existence de l’intrication quantique, qu’il qualifiait « d’action fantôme à distance ». Il faut dire que ce phénomène défie l’entendement des monistes. Ils le décrivent comme suit :
« l’intrication quantique réfère à l’existence d’un lien inextricable entre deux particules, quelle que soit la distance qui les sépare. De la sorte, si l’état de l’une d’elles se modifie, celui de sa « jumelle » change de façon instantanée, comme s’il s’agissait d’un seul et même système. « Quand on “touche” un objet d’une paire d’objets intriqués, le deuxième tressaille, malgré la distance ».
Cette description comporte deux erreurs : a) la distance n’est pas infinie comme sous entendue mais limitée au rayon du BEC (15000 années-lumière) ; b) La notion absolue d’instantanéité est incompatible avec la physique. La vitesse des pôles subquantiques est limitée à :
L’électron, ex-pôle de Bodys
Son rayon de Compton est juste celui de l’épaisseur du Bodys (longueur de Planck) multiplié par le ratio entre le rayon du BEC et le rayon du point zéro commun :
Le couplage quantique ↔ subquantique est largement prouvé dans l’article « les preuves« .