Antimatière et dualité de localité
Le modèle standard admet une symétrie originelle de type {matière-antimatière} mais pose la question sous cette forme : « où est passée l’antimatière » ? L’aspect binaire de cette question, détourne d’emblée toute chance de réponse adéquate.
Le terme « antimatière » sous-tend arbitrairement que nous serions fait de « vraie » matière. Non les occurrences multiples et exactes de la loi de KOIDE généralisée, montre clairement que la majorité de la matière est électriquement neutre par masquage des charges. Une minorité est représentée par l’électron périphérique et le positron toujours confiné dans le noyau. Cette asymétrie n’est qu’apparente car dans le neutron, la couche « positron célibataire » se trouve plus à l’intérieur que la couche « électron célibataire ». Cette disposition pour deux couches sphériques, est incontournable avec une probabilité 1/2. Les 3 intervalles polarisés, générés par les 4 groupes fusionnés forment une barrière radiale de potentiel qui s’oppose à la fusion des 2 couches célibataires.
L’étape du Big-Bang – soit la mitose du BEC-fossile – est caractérisé par deux sortes de dualité :
1/ la dualité de masquage des charges
2/ la dualité de localité
La dualité de masquage des charges
La saturation du BEC-fossile s’est traduite par la réduction de l’intervalle élémentaire tangentiel jusqu’à un point critique qui a provoqué la fusion par superposition des charges contraires devenues locales. Cette superposition a annulé les charges locales des pôles séparés des Bodys de la seule couche périphérique du BEC. Dans leur état précédent, ces charges élémentaires assuraient la force radiale coulombienne permettant le rebroussement des pôles de Bodys en direction du point zéro commun et central. Dans cette configuration de type « en opposition« , l’annulation concerne tous les paramètres physiques des pôles. C’est la clé du zéro-Bodys. L’apparition de la matière vient de cette permutation entre le mode « opposition » annulant tous paramètres physiques, en mode « superposition » annulant seulement les charges. Cette apparition :
1/ s’est produite sur la seule couche du point de rebroussement et ne concerne donc qu’un Bodys sur ξ3. C’est le ratio entre les pôles devenus « matière » et les pôles (non locaux) formant l’espace-temps.
2/ a révélé les paramètres [M,L,T] mais pas les [Q] qui sont majoritairement masqués par superposition.
3/ a supprimé l’option du rebroussement et donc l’impulsion restante a provoqué l’expansion-mitose.
4/ a provoqué la fusion en neutron-protons et a continué de masquer ses couches neutres majoritaires (1840 sur 1841).
La dualité de localité
Dans le BEC-fossile – juste avant l’intervalle élémentaire critique – la causalité était radiale via les Bodys à large localité . Au moment du masquage des charges, la force reliant les pôles opposés de chaque Bodys, s’est déconnectée, ce qui revient à une réduction de localité. Cette réduction de localité s’est traduite par le ratio entre la force coulombienne et la force gravitationnelle.
La force radiale initiale directe, s’est traduite par un gradient de force tangentielle, transitant par les ξ4 paires électron-positrons pavant une géodésique de l’aire du BEC-fossile. C’est la cause de la force gravitationnelle.
L’expérimentation locale est une fausse amie
L’expression « anti-matière » vient de l’expérience limité au « local » qui annihile une paire électron-positron. Les seuls positrons « visibles » sont instables car de création locale. Contrairement à l’émergence de paires via la mitose primordiale, la création locale n’est pas suivie d’une séparation causale. Ainsi l’énergie de la cause revient à son état premier par annihilation et rayonnement gamma. On en a naïvement conclu que les positrons étaient de l’anti-matière. C’est archi-faux ! Ceux d’origine (stables) sont simplement condamnés à rester confinés dans le noyau. Si la couche « électron » avait été à l’intérieur, alors on verrait des positrons orbitaux ! Cela ne changerait absolument rien puisque le choix du signe est purement arbitraire.
Probabilité 1/2 pour l’antineutron
En apportant suffisamment d’énergie, on peut créer localement une paire neutron et antineutron. Le préfixe « anti » est utilisé à mauvais escient car il ne s’agit que de l’application de la probabilité 1/2. On a vu que s’agissant des neutrons originels, la couche « électron célibataire » du neutron était plus externe que celle du positron. Globalement les deux charges s’annulent. Mais en créant localement une paire, cette asymétrie géométrique se corrige d’elle-même.
Ce que l’on appelle « anti » est en fait le résultat naturel de la probabilité 1/2. La couche « positron célibataire » se trouve alors plus à l’extérieur que celle de l’électron. Sa durée de vie est logiquement la même que celle originelle, soit environ 877 secondes. On a vu que cette durée de vie est en relation directe avec le temps élémentaire de l’électron te et le ratio α12 dont l’équivalence avec ξ3, qui fixe le ratio entre l’unité élémentaire « électron » et un pôle de Bodys de l’espace-temps.
Avec σN = 1844/ N = 1.0028914, l’habillage du neutron et σP = 1841/ P = 1.0026399, le couplage du proton. Cette durée de vie est compatible avec la dernière mesure en 2021, précisée à : 877.75 s (+/- 0.39%). A la disposition interne près, la paire de neutrons, de création locale, est identique à l’originel. Chacun est formé de 4 groupes neutres de 460 unités, générant 3 intervalle polarisés, source des 3 quarks. Les signes de ces derniers sont donc logiquement inversés puisque l’un a la couche « positron célibataire » plutôt à l’intérieur et l’autre, la couche « positron célibataire » plutôt à l’extérieur. Les couches neutres et majoritaires restent inchangée. Seuls les intervalles polarisés, changent de signe.
Probabilité 1/2 pour l’antiproton
De la disposition des « couches célibataires » du neutron, découle la probabilité 1/2 pour la création locale d’une paire proton-antiproton. Cependant on voit ici que la durée de vie de cette paire est très courte car ses éléments constitutifs (électron-positrons) n’ont pas été séparés ou délocalisés. On retrouve les mêmes étrangetés que celles concernant la désintégration β+, développée ci-après. En effet, l’anti-proton se désintègre aussi bien avec son alter ego de création (instable) qu’avec un proton voisin réputé stable. Là encore l’explication passe par la dualité de localité de par son couplage subquantique.
La « bizarrerie quantique » disparaît quand on inclus le couplage avec les Bodys subquantiques de l’espace-temps. Les lois physiques classiques sont à nouveau applicables.
Désintégration β+
Un atome de fluor 18 comporte l’équivalent de 9 neutrons, 9 protons donc 9 positrons confinés et 9 électrons orbitaux. Lorsqu’il se transforme (à 97%) en oxygène 18, il a 10 équivalents neutrons et 8 équivalents protons. Selon la loi DUO√5, il ne s’agit pas d’un proton mutant en neutron par la création d’un électron venant compléter son positron célibataire. En effet, la création d’un électron seul ou d’un positron seul n’est pas possible. Seule une paire locale peut-être créée (e+ e–) à partir d’une énergie de mutation. Ainsi un positron instable est éjecté. Or ce positron – instable de son état – s’annihile avec un électron – réputé stable – rencontré. Cela pose donc un problème de parité. Cette annihilation s’opère via la formation d’un orthopositronium. Or une étude de D. Sillou montre qu’il y a effectivement une violation de parité. Il évoque l’existence d’un « univers miroir » avec « échange de spin » ou d’une annihilation avec le « mauvais électron ». C’est une énigme de plus pour le modèle standard.
Explication DUO√5 par la dualité de localité
Lors de cette transformation (fluor → oxygène), une paire électron-positron est créée localement dans le noyau. L’électron resté confiné doit absolument passer du statut « instable » au statut « stable ». Pour qu’une annihilation puisse avoir lieu à l’extérieur avec le premier électron rencontré, il faut impérativement que cet électron incident (stable) échange son statut de stabilité avec l’électron (instable) resté confiné. Le tableau suivant montre comment permute le statut de stabilité entre deux électrons, via le couplage subquantique. Cela correspond à ce que suppose D Sillou en l’appelant « l’univers miroir ».
L’énigme d’excès de positrons dans les rayons cosmiques
Dans les relevés détaillés des rayons cosmiques, le modèle standard standard considère qu’il y a un « excès de positrons« , constat totalement inexpliqué…. Selon la loi DUO√5, la création de matière stable, n’a pas comme seule source la mitose du BEC fossile. Les BEC-hôtes des étoiles serrées au centre des galaxies, sont quasiment superposés. Cela est encore plus vrai s’il s’agit d’un trou noir très massique. Cette surdensité de BECs revient à réduire les intervalles élémentaires subquantiques, tout comme lors de la mitose primordiale, avec cependant moins d’intensité. Ainsi chaque centre galactique relocalise (sépare) des pôles de Bodys, ce qui revient à créer des paires électron-positrons. Ces créations conservent l’impulsion subquantique et sont donc d’emblée, relativistes.
Une grande partie de ces paires créées, se rencontre au gré des forts champs magnétiques locaux et s’annihilent aussitôt. Les autres échappent à ces champs et arrivent jusque dans la stratosphère et sont analysées. On a vu que la probabilité (1/2) d’avoir des positrons célibataires confinés était généralisée lors de la mitose primordiale. Cette même probabilité (1/2) est la loi dans chaque galaxie. Ainsi il se produit autant de particules composites (avec positons orbitaux) qu’avec électrons orbitaux. Il ne s’agit pas d’un « excès » mais au contraire d’un rétablissement de parité apparente.