Enigmes standards résolues (suite 21-30)

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Enigmes standards résolues (suite 21-30)

Pour bien comprendre ce qui suit, il convient de prendre connaissance de l’apparition du facteur universel ξ qui apporte la finesse des paramètres de la Bulle-Univers observable.

Dans l’article précédent nous avons résolu 20 énigmes relatives au fondement cosmologique et ce, par simple déclinaison des 5 lois premières de l’univers. En voici 10 autres :

21 l’énigme de la décélération anormale de la sonde Pioneer

La déclinaison des lois premières (4-5) considèrent le BEC-fossile hérité de l’état permanent d’univers par synchronisation statistique des Bodys ayant auparavant un mode d’oscillation stochastique. Les relations mises en avant montrent que le flux de synchronisation formant le BEC-fossile, a fini par le saturer. Cette saturation de facteur ξ2 a provoqué sa mitose fractale en ξ2 BEC-fils ou BEC-étoiles. Chaque étoile est l’hôte d’un BEC se qui forme globalement un halo consolidé par des BECs enchevêtrés, autour des galaxies. Cet article montre que l’anomalie de décélération des sondes Pioneer (8.741×10-10 m /s²), révèle la 5eme force relative au fonctionnement des BECs. C’est une accélération centripète qui garantit le maintien de l’intégrité d’un BEC selon :

avec :

et k5, le coefficient d’erreur statistique & 4. Cette accélération est une composante constante de la gravitation classique qui elle, varie en 1/r². Cela révèle la force interne des Bodys subquantiques qui tissent l’espace-temps. Sa médiation est supraluminique, comme celle relative à l’intrication des spins maintenue à longue distance. Il n’y a rien d’instantané mais juste une localité élargie.

22 l’énigme du spin de l’électron

Ce sujet est traité dans cet article qui, sous la contrainte de la cohérence de la loi DUO5, indique clairement que le spin de l’électron est typiquement non local. En sa qualité d’ex-pôle de Bodys (séparé), Il est toujours couplé avec un des Bodys structurant l’espace-temps. Voici un extrait de cet article :

En 1928 Grégory BREIT découvre que l’électron est animé d’un « mouvement de tremblement » qu’il a nommé le « zitterbewegung ». Le modèle standard propose qu’il s’agit de l’interférence des « ondes de probabilité » décrivant des états d’énergie positives et négatives. Concernant de phénomène, Schrödinger avait prédit une fréquence de 1021 Hz soit un temps te = 10-21 s. Cette oscillation devant être localisée dans l’espace de Compton soit : ƛe = te c = 10-13 m. La loi DUO5 rejette cette notion purement mathématique et évasive « d’ondes de probabilité » pour la remplacer par le couplage effectif entre l’électron et un des Bodys tissant l’espace-temps. C’est ce couplage avec le niveau subquantique non local, qui rend la position floue avec les moyens de mesure dont on peut disposer avec les ingénieuses méthodes employées par les expérimentateurs. Cependant, il y a en effet des états virtuels d’énergies positives et négatives qui relèvent précisément des pôles opposés des oscillateurs Bodys à caractère non local. C’est une oscillation de type {quantique ↔ subquantique}. Les particules virtuelles sont des émergences fugaces des pôles de Bodys qui « habillent » l’électron. Selon DUO5, le spin est de statut non local puisqu’il interagit avec les Bodys. Cela est largement vérifié par le phénomène de « lien fantôme » à longue distance relatif à l’intrication des spins. Contrairement à la position floue du modèle standard, qui se borne à déclarer que c’est un phénomène « quantique » ou « magique », la loi DUO5 indique que l’intrication de spin revient à la synchronisation de l’oscillation avec le couplage avec les Bodys subquantiques. C’est la raison pour laquelle Alain ASPECT a largement vérifié via l’intrication des spins, que le spin est typiquement non local. C’est une des preuves de la dualité de localité.

A chaque fois que les adeptes du modèle standard découvre ce genre de bizarrerie non locale, ils se contentent de dire : « c’est quantique ». Ce blocage vient de cette « croyance' » relative au sacro saint « principe cosmologique » qui nie la dualité de localité sans laquelle on ne peut rien comprendre !

23 l’énigme de l’origine des quarks

Ce sujet est traité dans cet article qui, sous la contrainte de la cohérence globale de la loi DUO5, indique clairement que les quarks (effectivement mesurés) ne sont que des inductions secondaires. Là encore on retrouve des interactions relatives à la dualité de localité. Il y a d’une part, les effets de la structure interne des particules composites et d’autre part, le couplage avec les Bodys subquantique tissant l’espace-temps.

Ce second article prouve sans conteste que la seule et unique origine de la matière, est la paire électron-positron, issue de la séparation des 2 pôles opposés, constitutifs des Bodys. La mitose des Bodys entiers du volume du BEC-fossile, a développé l’espace-temps, alors que les pôles séparés sur l’aire du BEC-fossile sont devenus des paires électron-positrons pour former la matière. Ce second article montre que c’est la saturation qui a fusionné (via les deux facteurs de mitose) les paires voisines pour former les protons, ci-après exprimé en unité électron habillé :

Selon la loi KOIDE élargie ce même proton vaut 1841 s’il est exprimé en unité électron nu. Ce second article montre la structure neutre du neutron et du proton, divisée en 4 groupes formant 3 intervalles polarisés en relation avec le positron célibataire qui est bien vérifié comme étant la charge du proton. Il montre notamment ce tableau qui généralise à 6 particules les occurrences relatives à cette structure.

Tableau 1

On note que le muon (sans quark) n’a qu’un seul groupe et donc pas d’intervalle. Ce second article montre également que l’induction des quarks est tributaire de l’incontournable dualité de localité. En effet, la cohérence DUO5 est contrainte par le facteur √ξ = 3.93169148 ×105 pour expliquer les bosons de jauge. Avec ce même facteur, le tableau suivant indique le lien entre le facteur de jauge et les quarks induits.

Tableau 2

24 l’énigme des particules virtuelles habillant l’électron

Le tableau 1, ci-dessus montre (entre autres) que le taux de couplage du proton est le ratio entre sa valeur nue (1841 électrons nus) et sa valeur mesurée habillée (1836.15 électrons habillés). Ce sujet – traité dans cet article – est relatif au couplage {quantique ↔ subquantique}. Ce couplage est comme une perturbation qui s’exprime par des harmoniques de la fréquence des Bodys. Ce « brouillard stochastique » n’a rien à voir avec celui régnant dans la matrice d’univers (ou omnivers). Dans le cas observé, il s’agit d’une perturbation relative au couplage {matière ↔ espace-temps}. Dans le second cas, il n’y a ni perturbation ni couplage mais juste un brassage de genre informationnel et statistique.

Le modèle standard croit pouvoir exporté ce phénomène stochastique mesuré, à un état « néant » qui aurait magiquement la possibilité de créer de la matière ! La règle t × E = Cte (plus le temps est court plus l’énergie masse est grande) n’est valable que dans cet état d’univers bien formé. Ce qui est mesuré n’a de sens que dans cet univers déjà existant. Il faut revoir la loi fondamentale n°1 qui traite du paradoxe existentiel sans faire appel à la magie.

La belle synchronisation des Bodys formant le BEC-fossile, a été légèrement altérée car l’apparition de la matière a perturbé la symétrie des Bodys de l’espace-temps. Selon la loi n°3, M.L = Cte, l’asymétrie de L (subquantique) est compensée par l’apport de M (quantique). C’est la CAUSE de l’habillage des particules qui est traitée dans le tableau 1 ci-dessus et plus en détail, dans la loi KOIDE élargie.

25 l’énigme de l’existence du muon

Le modèle standard est incapable d’expliquer la cause de l’existence des particules composites et encore moins celle du muon. Il considère qu’il s’agit d’un « gros électron » environ 207 fois plus massique. Aucun quark n’est détecté et pourtant il à le même comportement que le proton, relativement à la force faible avec le boson W. La loi DUO5 montre clairement que le muon est une particule composée par 103 couches neutres de paires électron-positrons (206 éléments) auquel s’ajoute un électron (ou un positron) célibataire, qui lui confère sa charge. Il n’induit aucun quark car 103 paires ne peuvent donner qu’un seul groupe et donc, pas d’intervalle polarisé.

Contrairement au proton – dont l’origine non locale lui confère sa stabilité – le muon est instable car de création locale. Sur l’aire du BEC-fossile les ξ8 paires de pôles séparées de leur Bodys, subissent l’annihilation primordiale tout en fusionnant en protons. Mais cette fusion en protons laisse une information (au sens de SHANNON) non locale mais potentiellement présente dans toutes les localités ! Pour une énergie adéquate fournie localement, le tissu d’espace-temps possède l’information pour disposer cette énergie-masse en un seul groupe de couches de paires électron-positrons dont la masse est mesurée à 206,76 électrons habillés. Ainsi le muon est formé de 206 couches neutre + 1 célibataire donnant sa charge (soit celle de l’électron soit celle du positron).

Ainsi la masse du muon est donné par le logarithme népérien des ξ8 paires de Bodys originels pour la matière :

Cette masse exprimée en unité électron sous-habillé ( 206.11 au lieu de 206 neutres) cherche à corriger l’habillage du proton, selon ces liens selon :

La nature compense la perturbation de symétrie relative la non neutralité électrique du proton, par des liens inter particules que révèlent la loi KOIDE élargie. Ci-après un lien proton ↔ muon :

Un autre lien entre pion et proton :

et :

Ci-après la masse mesurée du muon comparée à la masse nue et entière du neutron.

avec le ratio des taux d’habillages différents:

Dns laquelle on retrouve les coefficients (2, 3, 5) de Fibonacci relatifs à la mitose fractale. Enfin une relation exacte entre 8 particules différentes (électron, neutrino, muon neutre, pion zéro, proton neutre, particule tau, pion pi, et muon entier) le tout exprimé en unité électron nu :

26 l’énigme de la cause de la constante de Planck :

Il est facile de constater que la constante de Planck est dérivée de la loi n°3, soit M.L = Cte avec les seuls paramètres de l’électron et de la constante c.

Mais cette constante employée pour fixer le moment magnétique de l’électron, perd de sa constance car seule la partie longueur est affectée. Cela est expliqué dans la résolution de l’énigme 20 relative à l’anomalie du moment magnétique. Cette anomalie vient d’une mauvaise utilisation de la constante de Planck. Là encore, il s’agit du couplage {électron ↔ Bodys} ou {quantique ↔ subquantique}.

27 l’énigme de l’existence de la longueur de Planck

Le modèle standard applique classiquement cette relation sans savoir à quoi correspond physiquement cette longueur :

qui est très petite en regard de la longueur de Compton de l’électron, selon :

La loi DUO5 indique clairement qu’il s’agit de l’intervalle tangentiel entre les pôles sortant du point zéro commun (PZC) d’un BEC-étoile ou BEC-fils. En effet on voit ici que l’aire du PZC (de rayon ξ ƛe ) peut émettre une couche de ξ6 pôles d’intervalle ℓp.

Ainsi l’intervalle des Bodys tissant l’espace-temps d’un BEC varie de la longueur de Planck (au PZC ~5 cm) à la longueur de Compton au point de rebroussement ou rayon du BEC qui est ξ² fois plus grand que le PZC.

28 l’énigme de l’existence de la masse de Planck

Le modèle standard applique classiquement cette relation sans savoir à quoi correspond physiquement cette masse. Elle est classiquement donnée comme étant ξ² fois plus grande que la masse de l’électron, selon :

La loi DUO5 donne la signification de cette masse, comme étant la masse du proton P / 1836.15 si la mitose de facteur ξ² n’avait pas eut lieu. C’est donc une masse qui n’existe pas réellement. Cependant elle suit la loi n°3 soit M.L = Cte, dans laquelle la petite longueur de Planck est compensée par la grande masse de Planck, pour donner la constante relative à l’électron. En réalité, la masse mPo = me / ξ² sortant du PZC, implique de facto, une longueur d’oscillation ξ² fois plus grande. Ainsi, la concordance de la loi DUO5 exige une symétrie à la masse de Planck qui est ξ4 fois plus petite que la classique, selon :

Ainsi un pôle de masse mPo sortant du PZC avec un potentiel d’amplitude ξ² fois plus grand, se voit croitre (selon ML=Cte) au fur et à mesure que s’épuise le potentiel d’amplitude. Quand il ne reste plus que la longueur de Compton (en fait son rayon), alors il atteint la masse de l’électron.

La loi ML = Cte ne s’applique pas en regard des intervalles élémentaires mais fondamentalement en regard de l’amplitude restant à parcourir.

29 l’énigme du temps de Planck

Le modèle standard applique classiquement cette relation sans savoir à quoi correspond physiquement ce temps. Il est classiquement donné comme étant ξ² fois plus court que le temps de l’électron, selon :

Ce temps de Planck est la clé de la cause de la vitesse la lumière dans le fibré de l’espace-temps. En effet quand un photon se trouve à une distance x du PZC, l’intervalle entre pôles voisins est donné par xp . Ainsi le photon – incapable de sauter un intervalle (il n’y a rien) – passe par le circuit subquantique via le PZC qui est le point commun de tous les pôles. Comme la vitesse subquantique est : cs = ξ² c, alors tout se passe comme si le photon franchissait l’intervalle local à la vitesse c.

Le temps de Planck est le témoin de la vitesse supraluminique subquantique : cs = ξ² c.

30 l’énigme du rayon classique de l’électron

Pour faire correspondre les énergies de types : électrique et de masse, il apparaît un rayon classique pour l’électron qui est α fois plus petit que sa longueur de Compton. Or ce rayon classique demeure une énigme pour le modèle standard car il n’est pas mesuré.

Pour la loi DUO5, c’est la trace logique de l’annihilation primordiale de facteur 1D α. Sur l’aire du BEC-fossile, les intervalles élémentaires avant annihilation, étaient fixés au rayon classique soit 2,817×10–15 m. Puis l’annihilation à fixé l’intervalle élémentaire au rayon de Compton.

Tableau de 10 énigmes sur 30, déjà résolues

2 réponses

  1. Geat article! Thiis iss thhe type of informatin that shouldd bee sharred acrdoss thhe web.
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  2. […] l’article précédent nous avons résolu 30 énigmes relatives au fondement cosmologique et ce, par simple déclinaison des 5 lois premières de […]

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