Les BEC-fils issus de la mitose du BEC-fossile
La mitose du BEC-fossile en ξ2 BEC-fils en expansion, accompagne la division de la matière hyper dense, formée sur l’aire du BEC-fossile. Les BEC-fils – couplés avec la matière – sont de véritables matrices, qui calibrent les ξ= 1,5 ×1011 galaxies noires hyper denses. La mitose des BEC-fils accompagne la division de chaque galaxie, en ξ étoiles. Ces galaxies de première génération, conservent le vestige de leur état primordial, sous la forme de leur trou noir central. Cette formation dense primordiale ne vient pas d’un long processus d’accrétion d’un gaz d’hydrogène, mais résulte de la densité naturelle régnant sur l’aire du BEC-fossile saturé. Cela est largement prouvé par les dernières observations qui montrent une très forte précocité des galaxies.
Les 5 clés aléatoires menant à la fécondité du BEC-fossile
La probabilité pour que l’omnivers stochastique (à très haute entropie informationnelle), mène au BEC-fossile synchronisé (qui se décline en Bulle-univers observable) est donnée par :
Avec nΩ le nombre d’essais aléatoires issus du brassage des Bodys stochastiques et n le nombre (quasi infini) de Bodys-zéros stochastiques. Le paradoxe lié à une grande entropie informationnelle, vient du fait qu’il génère un grand brassage statistique. Ce brassage intense ouvre une probabilité non nulle de se traduire par une synchronisation féconde, formant le BEC-fossile. En effet, l’omnivers n’ayant pas de continuum masse-espace-temps, la synchronisation n’est pas limitée dans le temps. Ci-après les ratios caractéristiques issus du hasard, formant une des conditions pour obtenir un BEC-fossile fécond :
Ces données, largement recoupées avec les observations, génèrent les paramètres du BEC-fossile, selon :
Fonctionnement des BEC-fils
La division (mitose) du BEC-fossile se multipliant en ξ² BEC-fils de même taille (donc moins dense) s’opère dans des couches de vitesses de 0c à 5c. Chaque BEC-fils est l’hôte d’un étoile. Dès le départ, le nombre de galaxies est fixé à ξ unités.
Ci-dessus une galaxie dans laquelle les BEC-fils sont fortement enchevêtrés pour former le halo. Autour on trouve les BEC-noirs, faiblement enchevêtrés, formant l’espace inter galactique. Ensemble ils forment l’espace-temps.
Ci-dessous, la courbe de masse et vitesse des pôles de Bodys formant un BEC-fils. L’oscillation suit strictement la loi M.L = Cte. Au point zéro, la faible masse est compensée par un fort potentiel spatial (le rayon du BEC). Au fur et à mesure que le potentiel spatial diminue, la masse augmente, ce qui freine l’expansion des pôles. Au point de rebroussement, c’est la force coulombienne qui attire les deux pôles opposés et le cycle continu.
Ci-après est représenté un photon situé en A et se déplaçant à vitesse c vers le point B. Physiquement, il n’y a rien qui puisse permettre de passer d’une ligne de Bodys à une autre. Le trajet physique est donc : A → 0 → B mais à la vitesse subquantique. en tout point, on : A-0 / A-B = Cte. Ainsi en tout point la vitesse c reste constante. il e va de même entre deux couches voisines sur l’axe radiale. Le seul moyen pour passer d’une couche à l’autre consiste à utiliser également le point zéro commun. La vitesse subquantique est d’ailleurs bien observé dans le cadre des paires de spins intriquées.
2 réponses
[…] déterminée par les paramètres de l’électron, ex-pôle de Bodys évoluant dans un BEC-fils. Il s’agit du rayon de Compton ƛe et de la masse me de l’électron. Par ailleurs, le […]
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