LES CONDENSATS-FILS

La mitose du BEC-fossile en ξ2 BEC-fils en expansion est concomitante avec la matière formée sur l’aire du BEC-fossile. Les BEC-fils – couplés avec la matière – sont de véritables matrices, qui calibrent le gaz d’hydrogène formant ξ2 étoiles géantes. Ils forment des enchevêtrements principalement groupés en ξ galaxies. L’intervalle élémentaire des Bodys subquantiques sur l’aire de ces BECs, est fixé à la longueur de Compton de l’électron.

Le ratio 1D de mitose (ξ), forme d’emblée une concentration d’hydrogène au rayon RE ~1010 m. La mitose est un accélérateur d’accrétion des gaz qui explique la formation rapide des étoiles de première génération.

La fin de l’expansion revient à une Bulle dont l’aire est tapissée de BEC-fils ce qui équivaut à un rayon Ru ξ fois plus grand que celui d’un BEC. Or cela se confirme très précisément avec l’équation d’Eddigton :

On verra que la causalité subquantique reste active pour que la somme vectorielle de tous les couples ML restent à zéro. Les mesures locales n’ont rien d’absolu et cette causalité supraluminique est vérifiée dans l’expérience relative à l’intrication des spins. La somme des aires de la Bulle-Univers augmente ce qui favorise l’influence stochastique qui l’entoure. Ainsi son cycle temporel se termine par sa dilution vers l’état stochastique dûment intemporel.
Expansion & condensation des BEC-fils
La division (mitose) du BEC-fossile se multipliant en ξ² BEC-fils de même taille (donc moins dense) s’opère dans des couches de vitesses de 0c à 5c. Chaque BEC-fils est l’hôte d’un étoile. Dès le départ, le nombre de galaxies est est fixé à ξ unités. C’est la raison pour laquelle les galaxies ne participent pas à l’expansion. Les BEC-fils sont fortement enchevêtrés dans les galaxies et faiblement enchevêtrés dans l’espace inter galactique. Ensemble ils forment l’espace-temps. L’expansion ne concerne pas les espaces-élémentaires car l’étirement se fait par décroisement ou déchevêtrement des BEC-fils de l’espace-temps à faible densité. A la distance de notre Galaxie au centre (d’environ 7 G,y,l) correspond une vitesse de 0.51 c, soit nettement moins que la vitesse moyenne de l’expansion (initialement fixée à 2.5 c). La loi DUO√5 montre pourquoi et comment les BECs-fils possèdent une gravitation dérivée de celle relative à la matière. Cela est d’ailleurs observé avec l’anomalie de décélération de la sonde Pionner 11. Cette gravitation dérivée ne varie pas en 1/r², car elle est constante. Au niveau de la Terre, son intensité est très faible mais en s’éloignant du centre, elle devient prépondérante puisqu’elle ne décline pas en 1/r². C’est le reflet subquantique (donc non local) de la force de gravitation relative aux masses.
La loi DUO√5 explique (versus décrit) pourquoi et comment les BECs-fils de l’espace-temps possède de faibles masses noires. Voir chapitre « Masses noires ». En première indication, ces masses noires sont les résidus des recouvrements de localité – relatifs aux croisements de galaxies – qui annihilent partiellement les particules élémentaires. L’intensité de l’annihilation est fonction de l’angle qui séparait les galaxies sur l’aire du BEC-fossile. Les masses noires sont des paires électron-positrons dénaturées un peut comme des gravats comparés aux briques entières. Comme leur taux de couplage avec le BEC-hôte est réduit, le lien inter-BECs l’est également. Ainsi seuls les BECs inter galactiques, subissent l’expansion.
Les BECs intergalactiques – reliés par la force gravitationnelle non locale propre au niveau subquantique – forment un ensemble qui permet d’accélérer l’expansion des couches en retard relativement aux couches en avance qui ralentissent.
Les couches en avance sont au-delà de l’horizon cosmologique
Ainsi, des questions posées comme la cause du calibrage des étoiles, de la durée très courte de formation des premières étoiles et galaxies, la cause de la masse noire, la cause de l’accélération de l’expansion , sont résolues sans autres hypothèse. A cela il faut rajouter l’explication de la constance de la vitesse de la lumière dans un cadre d’expansion où tout s’étire. La loi DUO√5 montre clairement comment et pourquoi il existe une médiation des forces via l’espace-temps. Pourtant, il n’y a pas de substrat entre les intervalles des Bodys qui tissent l’espace-temps. Le temps d’un cycle élémentaire quantique d’un électron, est strictement égal à celui d’un Bodys 1033 fois plus étendu ! Cela veut dire qu’un photon transite toujours par le point zéro commun du BEC ce qui revient exactement au temps de franchissement d’un intervalle de Compton (10–13 m). Maxwells décrit parfaitement les lois pratiques de l’électromagnétisme mais n’explique aucunement les lois physique de la médiation.

Si l’Univers global n’a pas de centre, la Bulle-Univers observable (en partie) est issue du « trou » de l’éridan étendu sur un milliard d’années-lumière.
Une réponse
[…] déterminée par les paramètres de l’électron, ex-pôle de Bodys évoluant dans un BEC-fils. Il s’agit du rayon de Compton ƛe et de la masse me de l’électron. Par ailleurs, le […]