Enigmes standard résolues (suite 70-79)

Created with Sketch.

Enigmes standard résolues (suite 70-79)

70/ la cause physique du nombre d’Or

Le nombre d’Or n’est pas une curiosité mathématique magique. Il est un des facteurs de fécondité de la Bulle-Univers observable. Il est l’aboutissement de la suite de Fibonacci, qui gère le processus de la mitose fractale relative à l’expansion. Si la suite est infinie, il vaut 1,6180339887499. Cependant au rang 34, on atteint déjà cette valeur numérique avec un sigma > 7. Physiquement c’est amplement suffisant pour en tirer des conclusions.

Le Nombre d’Or est principalement composé de 2 et 5, à partir desquels sont construites les 5 phases de division par 2 fixant la mitose-expansion-fractale.

La fécondité du BEC-fossile pour produire notre Bulle-Univers en expansion dépend de ces rapprochements :

Dans laquelle 5 représente les phases de mitose, relatives à la suite de Fibonacci. Sont réunis, 2, 5, π, φ, en notant que 2 et 5 suffisent à construire les 5 phases de la mitose. Ci-après, la factorielle de 5 à partir du logarithme en base 5 du ratio ξ5 (longueur / épaisseur Bodys) :

avec :

Ce facteur d’erreur k5 est justifié par l’impossibilité d’un écart absolu nul entre le facteur de mitose ξ² et le facteur idéal 25. Ce même facteur rend statistiquement possible la fécondité à partir du hasard. ainsi sont réunies les 5 bases de fécondité, héritées du potentiel infini de brassage aléatoire et stochastique, soit :

Or la notion de fécondité se rattache à l’observation (directe et indirecte) de la Bulle-Univers dont nous faisons partie, et qui apparaît après une complexification croissante. La condition de fécondité est la suivante : la mitose fractale (en 5+1 phases) doit faire surgir la variable d’ajustement qui est la cause de l’existence du proton (base de toute la matière).

La première clé issue du hasard fixe le nombre de ξ11 Bodys synchronisés et tout ce qui en découle :

Tous ces facteurs fixent l nombre de paires électron-positrons composant la partie neutre et entière du proton (ou du neutron) :

Ces facteurs fixent également le ratio coulomb / gravitation pour une paire électron-positron :

La masse visible estimée à 1054 kg, correspond à 6.8% de la masse totale (noire et visible) :

71/ La mitose fractale continue sa course vers la complexité

Le tableau suivant montre les 5 premières phases de mitose-expansion cosmique. A chaque étape, les galaxie-noires se divisent jusqu’à développer les ξ étoiles qui les composent. Cela coïncide avec la constitution des protons et donc des noyaux d’hydrogène. Ce scénario est le contraire d’une accrétion, car les masses sont naturellement condensées sur l’aire du BEC-fossile. Cela est cohérent avec la précocité des galaxies. Mais la mitose fractale continue ensuite vers la complexité.

Le 8eme rang correspond à 34 de la suite de Fibonacci. Au 17eme rang, apparait une relation entre 1840 (le proton) (270 (un pion) et le neutrino muonique (204). Le nombre 23 du 23eme rang est central dans la loi KOIDE-Duo5. Enfin au 34eme rang de la complexité, correspond le nombre de molécules recensées sur terre. Le cerveau humain comporte environ 1011 neurones proche de ξ = 1.54×1011 qui correspond au 54eme rang de la suite de Fibonacci. Le potentiel de composés chimiques se situe également autour du 54eme rang de la site de Fibonacci. A ce stade le nombre d’Or est atteint avec une précision de sigma > 7.

72/ Cause de la rotation des galaxies

En première analyse, il n’y a pas de réduction du rayon qui provoquerait la rotation d’une galaxie typique. Mais la partie visible d’une galaxie n’est qu’un composant faible d’un ensemble qui comprend le halo (4 fois plus étendu). Ce halo contient une grande quantité de matière noire. Il est constitué d’un enchevêtrement élastique de BEC-étoiles.

Il y a un équilibre entre la force centripète relative à la gravitation qui tend à resserrer l’enchevêtrement et donc ramener la matière noire vers le centre et la force centrifuge de la rotation qui tend à écarter le halo en desserrant le taux d’enchevêtrement.

73/ Trou de ver

Le concept de trou de ver est vu comme un hypothèse par le modèle standard. Dans la loi DUO5 le concept de trou de ver peut-être rapproché de la structure même de l’espace-temps. Cette structure subquantique est le miroir de l’échelle quantique. Relativement à la dualité quantique – subquantique, il y a trois types de particules :

a) les particules quantiques composites ou pas ;

b) les Bodys subquantiques tissant l’espace-temps discrétisé ;

c) les neutrinos et les photons qui présentent une symétrie transverse entre l’échelle quantique et l’échelle subquantique.

Les neutrinos sont des oscillateurs dont les pôles opposés sont constitués d’un nombre entier d’électrons et de positrons qui s’annulent*. Les photons sont des oscillateurs dont les pôles opposés sont sous forme d’ondes de fréquences diverses qui s’annulent*.

(*) toute perturbation (comme un récepteur), perturbe leur symétrie et révèle une partie de l’énergie. Voir la réduction du paquet d’ondes de Schrödinger et la dualité onde ↔ corpuscule d’Einstein et De Broglie .

74/ Anyon

La clé de la loi DUO5 est justement de faire sauter la dichotomie entre boson et fermion en fonction du critère de localité. Un paire électron-positrons créée localement est un fermion. Mais dans le cadre d’une création suivie d’une délocalisation avec séparation causale, cette même paire se comporte comme un boson. C’est le cas lors de la séparation causale des pôles de Bodys sur le BEC-fossile, qui deviennent ainsi les paires électron-positrons qui fusionnent comme des bosons. Cette séparation causale se produit également au centre des galaxies sous la forme de rayons cosmiques.

75/ Charge fractionnaire 1/3 des électrons

Les électrons deviennent des fractions d’eux-mêmes dans le graphène, selon une étude par le Massachusetts Institute of Technology. Cela n’est pas étonnant car c’est déjà le cas dans certains noyaux dont les couches neutres sont divisées en groupes. Par exemple le proton – divisé en 4 groupes – possède donc 3 intervalles polarisés par son positron célibataire. Cela apparaît comme des quarks dont l’existence est conditionnée à leur confinement En revanche, le muon – qui ne possède qu’une seule couche neutre de 206 unités, n’a pas d’intervalles et donc pas de quarks.

La polarisation des intervalles (quarks) est également influencée par le taux d’habillage relatif au couplage subquantique :

76/ Cycle de l’entropie informationnelle des 2 états d’univers

On a vu que l’état Omnivers – formé d’une infinité de Bodys-zéros stochastiques – présente une entropie informationnelle qui tend vers l’infini. La probabilité pour qu’une partie se synchronise pour former le BEC-fossile dont la fécondité débouche sur l’univers observable est forcément unitaire :

Il se dégage à la fois un cycle et donc une constante de type informationnelle :

A un nombre n de Bodys-zéros – doté d’une entropie informationnelle qui tend vers l’infini – correspond un nombre limité ns dont l’entropie tend vers le zéro absolu.

77/ Origine des fluctuations quantiques

Il s’agit de l’ensemble des couplages particules ↔ Bodys ou matière ↔ espace-temps. Par définition, on ne peut pas exporter ce phénomène à une époque où n’existe pas encore le continuum masse-espace-temps. A travers tous ces couplages, se forment les liens entres particules, comme :

Ces liens indiquent clairement que globalement, tous les couplages et autres perturbations s’équilibre parfaitement vi le réseau subquantique.

78/ Grand attracteur

Le modèle standard interprète la quasi isotropie de l’expansion comme si chaque localité en était réellement le centre, ce qui permet d’éviter la notion de centre global. La loi DUO5 montre que si l’état Omnivers n’a évidemment ni centre, ni bord, l’état Bulle en expansion a pour origine le BEC-fossile. L’expansion en couche de vitesses qui en découle, amène les mêmes conclusions observationnelles mais avec un centre représenté par le BEC-fossile. Lui même n’étant pas au centre de l’Omnivers car il en est dépourvu. Ainsi le Grand attracteur s’éloigne de nous, tout comme le centre du BEC-fossile.

Ci-après, on peut voir que le Grand attracteur est quasi à l’opposé du BEC-fossile visible du côté de l’Eridan.

Ci-après, on peut comprendre pourquoi la mesure du « grand trou froid » manque de précision (6 à 10 Gyl). Selon la loi DUO5, la mesure du décalage indiquant 6 Gyl est le bord proche qui correspond à un Δv = 0.3 c. La mesure indiquant 10 Gyl, correspond au bord opposé présentant un Δv = 0,7 c . Mais la référence originelle du BEC-fossile se situe à 7 Gyl de notre position. Si le centre du Grand Attracteur est situé à 025 Gyl, alors il s’éloigne de nous avec un Δv < 0,01 c, alors qu’il s’éloigne de la référence 0 à une vitesse de 0,52 c. Les galaxies sont sensées s’éloigner au fur et à mesure de l’expansion. Cependant l’aspect fractal de la mitose a généré des concentrations qui favorisent l’effet de la gravitation. Si pour le moment, le Grand Attracteur s’éloigne de nous, dans l’avenir, les couches de vitesses se rapprocheront autour de la couche moyenne dont la vitesse d’expansion d’origine est fixée à 2,5 c. Cette couche moyenne ralentit sous l’effet de la gravitation mais accélère les couches de vitesse inférieure. C’est bien ce qui est observé.

Ainsi on observe :

1/ le BEC-fossile sous la forme du grand trou de l’Eridan à la distance prévue (7Gyl) par DUO5 en corrigeant les artefacts de la mesure.

2/ l’allongement axial du BEC-fossile (entre 6 et 10 Gyl).

3/ l’accélération de l’expansion avec une légère anisotropie due à l’effet de tassement des couches de vitesses.

79/ médiation des photons

On dit que la théorie de Maxwells à « expliqué » l’électromagnétisme. C’est faux car il l’a suffisamment bien « décrite » pour en décliner toutes les applications. Cette théorie ne dit rien sur les causes physiques de la médiation des photons, ni sur la cause physique de la constance de la vitesse c. La cause physique de la vitesse de la lumière c, dans l’espace-temps reste aujourd’hui, une énigme pour le modèle standard. Cette constante – certes utilisée à bon escient – n’est pas expliquée. Cette énigme durera tant que l’on considérera l’espace-temps comme un être mathématique (avec l’appellation archaïque de vide) continu qui s’avère d’ailleurs, incompatible avec la théorie quantique. Pour la loi DUO5, l’espace-temps physique, est structuré et discrétisé par le tissu de Bodys oscillant depuis le point zéro commun de chaque BEC. La continuité à l’échelle cosmique, se fait par l’enchevêtrement des BEC-fils.

Ci-après est représenté un photon situé en A et se déplaçant à vitesse c vers le point B. Physiquement, il n’y a rien qui puisse permettre de passer d’une ligne de Bodys à une autre. Le trajet physique est donc : A → 0 → B mais à la vitesse subquantique. en tout point, on : A-0 / A-B = Cte. Ainsi en tout point la vitesse c reste constante. il e va de même entre deux couches voisines sur l’axe radiale. Le seul moyen pour passer d’une couche à l’autre consiste à utiliser également le point zéro commun. La vitesse subquantique est d’ailleurs bien observé dans le cadre des paires de spins intriquées.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.