ÉLECTRON-POSITRON

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ÉLECTRON-POSITRON

Sans prendre en considération la dualité au sens large et particulièrement pour la localité, on ne peut admettre l’idée que des paires électron-positrons puissent fusionner sans s’annihiler, pour former les protons. Leur créations locale leur interdit de se comporter comme des bosons. Ainsi le modèle standard fait la distinction entre les leptons et les baryons. La création locale de paires électron-positrons ou proton-antiprotons (le tout instable) est généralisable dans toutes les localités mais ne s’applique pas à la séparation originelle. C’est le piège classique réservé à la méthode de classement descriptif, éludant les causes originelles. Pour compliquer le tout, la version locale de la dualité matière-antimatière, laisse entendre qu’il existe une généralisation au niveau du proton, ce qui n’est pas le cas. Enfin, il existe une dualité {confiné-apparent} que l’on retrouve à toutes les échelles. La séparation-fusion originelle (sur l’aire du BEC-fossile) avait une probabilité 1/2 de disposer l’électron plus à l’extérieur que le positron. Ainsi la seule particule composite stable – le proton – n’éjecte jamais son positron. On vérifie que la charge du proton est bien celle de son positron confiné. La loi KOIDE généralisée (par mes soins) montre sans ambiguïté que la masse de toutes les particules (stables ou non) est composée de couches de paires électron-positrons superposées (neutres) + une unité célibataire. On a vu que le muon est fait de 206 couches superposées (neutres) + 1 électron où un positron. Comme il est fait d’un seul groupe (pas d’intervalle polarisé) il n’a pas de barrière électrostatique pour sélectionner le genre de l’éjection . On montre par ailleurs que toutes les particules instables ont un régime différent du proton qui aune charge toujours positive. Tout comme à l’origine sur le BEC-fossile, la question du masquage par superposition, est cruciale.

Origine

La Bulle-Univers observable est issue de la fécondité du BEC-fossile, obtenue grâce à ces 5 clés :

qui amène les caractéristiques du BEC-fossile :

La séparation causale des pôles relative à la fusion généralisée a révélé leurs paramètres physiques sous la forme de paires électron-positrons.

la preuve par la loi KOIDE élargie

Toutes les particules composites ont comme unités élémentaires, les paires électron-positrons. Les liens ci-après apparaissent sous la forme des particules exprimées en unité « électron nu & entier ».

Dans la loi KOIDE élargie, de nombreuses autres relations viennent compléter celle-ci. Ci-après les relations avec les protons et muons exprimés en unité électron mesuré (habillé).

Et cette relation partant des 5 clés citées plus haut :

avec cette relation qui fixe le taux d’erreur relatif à la mitose idéale avec 5 phases de division par 2 :

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