Gamma-ray et matière noire
La NASA a observé les rayons cosmiques d’une supernova proche. Etonnamment, le télescope spatial Fermi Gamma-ray, n’a détecté aucun des rayons gamma à haute énergie que ces particules devraient produire.
Par ailleurs Une équipe internationale s’étonne de détecter des rayons gamma aussi puissants en provenance du soleil, soit environ 1012 eV. Voir Physical Review Letters.
Selon la loi DUO5, ces résultats ne sont pas étonnants, car il existe deux sortes de phénomènes qui peuvent se manifester ensemble ou séparément.
Le phénomène physique qui produit des rayons gamma, est intimement lié à deux échelles : a) les collisions de particules émises par le coeur subquantique de l’astre ; b) les collisions de galaxies, émises par le BEC-fossile lors de la mitose-expansion. Dans les deux cas, il s’agit d’un recouvrement de particules élémentaires préalablement séparées.
Le phénomène physique qui produit les rayons cosmiques, vient de l’extraction subquantique relativiste, suite à la séparation de pôles subquantiques provenant d’astres très denses.
Cause des rayons gamma
Tous les phénomènes observés sont des conséquences du paradoxe existentiel dont la solution naturelle réside dans la dualité et l’inséparabilité des pôles des Bodys. Quand une partie des Bodys stochastiques se synchronisent pour former un BEC à taille cosmologique, ils partagent le point zéro commun en son centre. Mais le flux de synchronisation finit par saturer les intervalles élémentaires tangentiels. Cette saturation rapproche tellement les pôles de Bodys voisins, présents au point de rebroussement, qu’ils fusionnent. La fusion masque les charges, ce qui sépare radialement les pôles « inséparables« . Cette séparation revient à donner un statut local et quantique aux pôles qui étaient auparavant de statut non-local et subquantique. La fusion se poursuit jusqu’à former des galaxies, séparées par un certain intervalle et donc un certain angle sur le BEC-fossile. L’impulsion subquantique finale à vitesse c, est conservée et c’est la cause de la mitose-expansion. La Nature ayant horreur de la séparation, a formé un gradient coulombien qui est à l’origine de la gravitation ! L’univers en expansion se comporte comme un Bodys dont la mission « d’inséparabilité » à terme, est confiée à la force gravitationnelle. Cela veut dire que chaque pôle séparé retrouvera son alter ego pour se conformer au zéro de nature symétrique.
Les galaxies voisines forment un angle faible sur le BEC-fossile. L’expansion ne les fait pas progresser tout à fait radialement, car elle sont influencées mutuellement par la gravitation. Ainsi lorsqu’elles entrent en collisions, il y a recouvrement des particules élémentaires, auparavant séparées. Elles perdent ainsi leur intégrité et donc leur taux d’altération est proportionnel à leur angle de séparation originelle. En moyenne, cet angle vaut : 1/137.03599, car issu de l‘annihilation primordiale.
L’annihilation non locale n’est pas binaire comme celle expérimentée localement. Elle est relative au faible angle formé entre les protagonistes entrés en collision. Ainsi chaque paire électron-positron (2 ex-pôles séparés) perd son intégrité et cette altération lui fait perdre son aptitude à former de la matière visible, via les protons. Cette annihilation partielle est la cause de la matière noire. Ce phénomène, typiquement non-local, n’est donc pas reproductible localement.
Séparation → collision → gamma → matière noire
1/ Echelle galactique : au cours de l’expansion, certaines galaxies voisines – attirées par la gravitation – forment des trajectoires courbes qui les rapprochent. La collision, revient à une relocalisation partielle des pôles élémentaires auparavant séparés par un angle faible. Ce recouvrement partiel revient à une perte de masse et d’intégrité de chaque paire électron-positron (2 ex-pôles). Elles sont dénaturées et leur perte de masse se manifeste sous forme de rayons gamma. L’énergie de ce rayonnement est proportionnelle à l’angle de séparation originel. Cette perte d’harmonie, ne leur permet plus de former les couches bien ordonnées structurant les protons et donc la matière visible ! C’est la cause de la matière noire qui n’est plus qu’un amalgame informe de paires électron-positrons dénaturées.
1/ Echelle étoile : la forte densité régnant au centre des étoiles revient à réduire l’intervalle tangentiel des pôles subquantiques du BEC dont l’étoile est l’hôte. C’est une reproduction (à plus faible intensité) du phénomène ayant conduit le BEC-fossile à l’expansion. Ainsi, certains pôles fusionnent, se séparent de leur alter ego et deviennent des paires électron-positrons émises radialement depuis le coeur de l’astre. Une partie, déviée par les champs magnétiques, entre en collision au niveau de la couronne solaire et s’annihile selon le taux relatif à l’angle de séparation. Or cet angle est celui que forme une spicule magnétique (dspicule = 500 km) relativement au diamètre de soleil soit : 1.4 × 109 m. Ainsi cet angle donne la température de la couronne qui un ratio de la température d’un électron : Te = 5.9 × 109 K, soit :
Ci-dessus les paires électron-positrons – ex-pôles séparées et arrachés du niveau subquantique – courbées par l’attraction électromagnétiques des spicules, s’annihilent partiellement et se dégradent en matière noire au niveau de la couronne solaire. Les particules qui échappent à l’attraction des spicules, sont les rayons cosmiques mesurés sur la Terre.
Cela est conforme à la mesure de la température de la couronne solaire qui est effectivement mesurée autour d’un million de kelvins.
3/ Rayons gamma du soleil : les paires qui échappent aux forces électromagnétiques des spicules, continuent leur voyage dans l’axe radial et sont mesurées sur Terre. L’origine de ces particules est l’échelle subquantique, comme le boson de Higgs à un coefficient près.
Soit en unité électron (ue) sans dimension transformée en unité eV. On retrouve également le boson W :
Dans lesquelles on retrouve le coefficient 5, relatif aux 5 phases de la mitose fractale primordiale. Ainsi le rayonnement gamma maximal est naturellement du même ordre :
Cause des rayons cosmiques à 1020 eV
La densité centrale des BECs empilés dans les grandes galaxies est telle que l’intervalle entre pôles du point zéro commun des BECs se réduit au même point critique que sur le BEC-fossile. Cet intervalle réduit provoque des fusions locales de pôles inter-bodys qui se séparent radialement de leur alter ego. Cette séparation est suivie d’une extraction à vitesse c qui est la vitesse minimale des pôles subquantiques, au point de rebroussement. Mais comme cette émission à vitesse c, se produit dans l’espace-temps statique formé par les BECs, cela sature l’effet relativiste au facteur ξ. en effet on a vu que le facteur de Lorentz ne saurait donner une valeur infinie.
Dans laquelle on retrouve le facteur 5 relatif au 5 phases de la mitose fractale originelle. Ce résultat est légèrement supérieur à la valeur maximale mesurée à ce jour soit : 3,2 × 1020 eV.
Conclusion
La suite logico-déductive du paradoxe existentiel se traduit en BEC-fossile saturé, forcé d’entrer en mode de mitose expansion. La clé principale réside dans la dualité de localité relative aux deux échelles de l’inséparabilité des pôles de Bodys. A l’échelle cosmique, c’est la gravitation qui assure collectivement l’incontournable retour à l’union individuelle des pôles, suite à la séparation provoquée par la fusion et masquage des charges lors de la saturation du BEC. Près de 80 énigmes du modèle standard, sont ainsi résolues.