Annihilation primordiale & α (structure fine)

Created with Sketch.

Annihilation primordiale & α (structure fine)

Fidèle à sa démarche spécifiquement descriptive, le modèle standard constate ce ratio sans en chercher sa cause profonde. Ce ratio s’exprime classiquement par :

La loi Duo5, utilise l’inverse d’alpha pour une expression selon : α = 137,035999206. Sa cause est relative au taux d’élargissement de l’intervalle élémentaire sur l’aire du BEC-fossile, juste avant la mitose. Ce taux d’élargissement vient de l’annihilation primordiale provoquée par l’annulation brutale des charges élémentaires en mouvement.

L’ énigme du « rayon classique » de l’électron, est levée

Parmi la centaine d’énigmes du Modèle standard, il y a cette incohérence entre le rayon relatif à l’énergie électrique et le rayon relatif à l’énergie de masse de l’électron.

Dans laquelle l’égalité implique le rayon classique dans l’expression « électrique ».

Fusion → court-circuit → annihilation

Toutes les preuves incontestables de la loi DUO5, indiquent que l’annihilation sur l’aire du BEC-fossile (voir ci-après) a élargi les intervalles du facteur 137.035999. Tant que les charges des pôles subquantiques étaient en mouvement radial, ce sont les forces de Laplace qui écartaient mutuellement et tangentiellement les pôles contraires entre eux. (i = e/t). Mais si l’intervalle tangentiel (au point de rebroussement) est réduit, alors c’est la force attractive de Coulomb qui provoque la fusion généralisées des pôles contraires. La fusion provoque un masquage brutal des charges voisines soit un fort di/dt et donc une énorme surtension provoquant un court-circuit radial qui brise les liens entre pôles opposées sur le BEC-fossile..

Les ξ8 pôles de Bodys présents sur l’aire du BEC-fossile fusionnent et brise le lien radiale en masquant les charges voisines opposées.

La variation brutale de ces courants (de/dt²) a provoqué une énorme surtension V radiale. Ce phénomène est bien connu des électriciens des lignes inductives (L). Ce transfert d’énergie inductive (1/2 LI² → 1/2 CV²) avec V la tension maximale et C la capacité des Bodys.

Ce phénomène revient à un « court-circuit » radial qui remet en contact une majorité de pôles (de Bodys) opposés à peine séparés. Cela revient à la mise en contact d’un positron et d’un électron – créés localement donc instables – avec la conséquence de leur annihilation. Mais on a vu que l’erreur (salvatrice) de synchronisation amenait une minorité de pôles à être éloignés du rayon moyen du BEC.

Le régime oscillant normal du Bodys (subquantique et non-local) évite l’annihilation au point zéro pour deux raisons :

a) la masse au point zéro est ξ² fois plus faible qu’au point de rebroussement

b) la vitesse relative est ξ² fois plus forte qu’au point de rebroussement

Au point zéro, cela revient à deux courants parallèles qui génèrent une force positive (Laplace) qui éloigne brutalement les pôles opposés.

Selon la fameuse loi : m×ℓ = Cte, au point zéro central, la masse d’un pôle mo est faible pour un potentiel spatial ℓ1 maximum. Mais au point de rebroussement, la faiblesse du potentiel spatial (λe = ℓ1 – Δℓ) équivaut à une augmentation de masse atteignant celle de l’électron ! La phase « retour » du cycle d’oscillation des pôles de Bodys, revient à une sorte d’annihilation lente des masses optimales. Le di/dt relatif au brusque masquage des charges, revient à une annihilation rapide (donc réelle) des masses optimales. Mais ce phénomène dépend également du ratio ξ (mitose) et du ratio P (la masse du proton exprimée en unités électron). En effet ces ratios agissent tous sur l’extension de l’intervalle élémentaire. On obtient cette relation qui limite le taux d’annihilation (2D) à α².

Il y a auto-cohérence des ces 3 ratios, où ξ est le ratio maître. Ce taux d’annihilation α² (2D) fixe les 5 étapes supplémentaires d’élargissement au cours de la mitose dont le ratio final doit atteindre impérativement ξ (1D pour les intervalles et 2D pour les surfaces élémentaires) pour retrouver l’intervalle élémentaire nominal entre Bodys de l’espace-temps. Cet intervalle est la longueur de Compton de l’électron. Le ratio P joue le rôle de variable d’ajustement pour faire converger la relation suivante :

Dans laquelle le ratio d’élargissement d’intervalle α² relatif à l’annihilation, est renouvelé 5 fois. Le ratio k = 1.000484670, est relatif à la correction en 3D selon :

La cause des masses rescapées

Si la synchronisation des Bodys avait été parfaite, alors la surface du BEC-fossile aurait été lisse et tous les pôles (devenus paires électron-positrons) auraient été annihilés avant les 5 étapes e mitose.

Seules les pointes au-delà de R1 sont épargnées car elles échappent à l’annihilation survenue sur la valeur moyenne du rayon soit Ro. Cette erreur de synchronisation est de type salvatrice. La présence de la constante de structure fine révèle l’erreur de synchronisation qui – partant de valeurs aléatoires – ne serait être exacte en prenant la valeur du zéro absolu.

Ratios d’annihilation, de mitose et de fusion en proton, participent au ratio d’élargissement de l’intervalle élémentaire critique du BEC-fossile. Cet élargissement à ƛe permet l’isotropie de densité permettant l’équilibre des BEC-fils et celui de l’électron couplé avec les Bodys de l’espace-temps.

Le rayon du proton – déterminé par la loi m×ℓ = Cte – est donné en fonction du rayon de Compton de l’électron ƛe selon :

D’où l’on déduit que le proton est un empilage neutre de 4 groupes de couches d’électron-positrons masquées. Ces 4 groupes impliquent, 3 intervalles polarisés qui induisent 3 quarks en interaction avec le positron célibataire qui donne précisément la charge du proton. Voir le chapitre « loi de KOIDE« .

L’expansion en couches de vitesses

Lors du masquage des charges, les paires ont conservé leur impulsion c. C’est la cause du début de l’expansion.

L’équilibre d’un Condensat de Bose Einstein

Comme leur nom l’indique, les Bodys formant les BECs, sont des bosons. L’équilibre de ce type de BEC cosmique, est comme tous les BECs, relatif à sa densité.

Dans laquelle η représente la densité (nombre de pôles de Bodys par m3 et ζ la fonction zêta de Riemann. La loi Duo√5 interprète cette relation selon :

Dans laquelle ƛe est l’intervalle élémentaire et isotrope entre deux Bodys. Or toutes les relations sont cohérentes avec une isotropie de cet intervalle dans le BEC-fossile. L’intervalle tangentiel optimal est radiale est ξ fois plus faible que l’intervalle radial. Ainsi la « crise de l’intervalle » est elle aussi, emprunte d’une dualité. Elle concerne à la fois les Bodys (volumiques) de l’espace-temps et les pôles surfaciques par leur superposition de charges.

Le masquage par superposition surfacique des pôles séparés, prolonge l’impulsion, source de l’expansion. Via le couplage généralisé, cette impulsion est transmise aux BEC-fils volumiques, en cours de mitose.

Il y a concomitance entre le masquage-impulsion des masses surfaciques et le besoin d’équilibre volumique du BEC-fossile.

L’aire du BEC-fossile, se divise en BEC-fils, véritable matrices 2D calibrées des galaxies super condensées. Après avoir quitté l’aire du BEC-fossile, à la faveur de l’espace 3D, elles se divisent ensuite en BEC-étoiles.

Conclusion

La vision du modèle standard imaginant un gaz primitif d’hydrogène (de source inconnue) se contractant lentement en étoiles sous l’effet de la gravitation (de source inconnue) est complètement démentie par les récentes observations. En effet, elles montrent des galaxies lointaines formées dès les premiers instants. La loi DUO5 indique qu’il n’y a pas accrétion d’un « hypothétique gaz » mais que la mitose originelle sur l’aire du BEC-fossile, calibrait déjà des galettes 2D hyper condensée qui préformait déjà les galaxies elliptiques. Voir les preuves .

4 réponses

  1. […] α = 137,035999206 dont la cause est liée à ξ […]

  2. […] L’annihilation : on a montré ici que grâce à l’erreur de taux k5, l’annihilation a épargné 1/α² des ξ8 paires […]

  3. […] de leur Bodys originel. La cause physique de la constante de structure fine α = 137.03599, représente la première étape d’élargissement d’intervalle suivie par la mitose-expansion. Les électrons et positrons […]

  4. […] reste une énigme pur le modèle standard. Pour la loi DUO5, le facteur α est la trace attendue de l’annihilation primordiale (en 1D). Cette annihilation a écarté l’intervalle élémentaire du rayon classique vers la […]

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.