Enigmes standard résolues (suite 51-52)
Pour bien comprendre ce qui suit, il convient de prendre connaissance des conditions statistiques de l’apparition du facteur universel ξ qui apporte la finesse des paramètres qui ont rendu féconde la Bulle-Univers observable. IL faut également prendre connaissance des bosons universels primordiaux, soit les oscillateurs BODYS subquantiques, formant le BEC-fossile . La saturation a séparé les pôles de Bodys subquantiques (non locaux) et sont devenus – localement à l’échelle quantique – les paires électron-positrons qui selon la loi KOIDE-DUO5, sont les seuls éléments fondamentaux de la matière.
La dualité de localité implique la dualité de stabilité de la paire électron-positron. Contrairement à l’instabilité relative à sa création locale, la non localité de la mutation originelle : BODYS → électron-positron, leur confère le statut de stabilité. Cette symétrie s’exprime entre l’électron orbital et le positron toujours confiné dans le proton dont la charge est précisément celle du positron. Cette mutation BODYS → électron-positron, se reproduit par la surdensité saturant les centres galactiques ou les étoiles géantes.
51 l’énigme de l’impédance du vide
Le modèle standard a fixé arbitrairement à 4 π, la constante de perméabilité magnétique du vide µo. Elle est en mode tangentiel et donc perpendiculaire au mode radial du champ électrique (permissif) qui fixe la permittivité du vide. Puis en passant du système d’unités cgs à MKSA, la constante à été ajustée à : µo = 4 π × 10-7 de dimension [ M L I-2 T-2]. Connaissant la vitesse de la lumière, c, on a pu en déduire la permittivité du vide εo de dimension déduite soit [M-1 L-3 T4 I2] par cette relation :
Puisque c est mesuré et que µo est historiquement fixé arbitrairement à l’unité, cette relation est forcément exacte. Par le jeu des dimensions on peut déterminer l’impédance de « vide », soit environ 376,73 Ohms :
Cependant, ces relations ne disent rien sur le phénomène physique qui explique la médiation des ondes dans l’espace-temps, à cette vitesse constante. C’est une énigme du modèle standard.
La loi DUO5 indique clairement :
1/ que l’espace-temps n’est pas naïvement « vide » mais structuré en Bodys subquantiques oscillant et formant BEC-étoile et BECs intergalactiques.
2/ que l’intervalle (radial ou tangentiel) entre les pôles de Bodys oscillants, n’est franchissable qu’avec le concours du chemin subquantique qui fait un aller-retour au point zéro central.
3/ que la vitesse subquantique moyenne cs, ξ² fois supérieure à c, est l’onde pilote pressentie par BOHM.
4/ qu’en tout point x, le ratio Δx / Δℓ est constant.
5/ que le temps élémentaire du Bodys a été hérité par l’électron.
Ainsi L’espace-temps de l’univers – structuré par les BECs enchevêtrés – permet la circulation des photons et des neutrinos, d’un BEC à l’autre.
Le mode d’expansion par déchevêtrement des BECs intergalactiques, laisse constant les intervalles quantiques. C’est une seconde condition pour garantir la constance de la vitesse c.
52 l’énigme des nombres magiques physiques
Le modèle standard désigne par « nombre magique » un nombre de protons ou neutrons permettant la stabilité d’un noyau. Sept nombres magiques on été vérifié expérimentalement : 2, 8, 20, 28, 50, 82, 126. Le modèle standard suggère un 8eme nombre magique soit 184.
Le modèle standard imagine le noyau comme un agglomérat de protons et neutrons comme des sphères enchevêtrées.
La loi DUO5 est démontre par une cohérence apte à lever une centaine d’énigmes, que le proton est un empilement d’ondes sphériques (4 groupes de 460 électrondes) neutralisées par le masquage des charges par superposition des électrons et positrons. La charge du proton est strictement celle du positron célibataire et confiné. Les quarks sont induits le jeu des polarisations entre les 3 intervalles des couches neutres et le positron.
Ci-dessous une image simplifiée du noyau d’hélium avec ces 50 groupes de chacun 74 paires neutres et ses 2 positrons célibataires et confinés.
Ainsi le noyaux d’hélium 4 n’est pas un empilement de neutrons (1844) et de protons (1841), mais un empilement de 50 groupes neutres ayant chacun 74 paires masquées. Cette structure est généralisée dans cet article et dans le tableau suivant :
Les 8 nombres magiques 2, 8, 20, 28, 50, 82, 126, 184
Pour respecter la loi universelle : M.L = Cte, le proton possède 4 groupes de 460 unités (nues et entières). C’est la masse d’un groupe qui fixe le rayon en fonction de la longueur de Compton d’un seul électron ƛe. On peut vérifier que le rayon du proton est égal à : rp = ƛe / 460. Plus la masse du noyau de l’atome est élevée, plus la taille d’un de ses groupes est faible. Ces 4 groupes de 460 unités (électron et positron en parité) forment 3 intervalles polarisés qui induisent 3 quarks. Les quarks ne sont donc que des effets de la CAUSE relative aux interactions entre le positron célibataire et les intervalles. En effet, la longueur d’onde de ce positron – 460 fois plus vaste que le rayon du proton – en essayant de forcer le passage, démasque des charges auparavant neutres, ce qui génère une force électrique centripète qui s’oppose à celle centrifuge de sa longueur d’onde.