La cause physique de la décohérence quantique
Ci-dessus une vue d’artiste relative au couplage de la dualité quantique ↔ subquantique qui est le vecteur de la dualité de localité . C’est la clé des phénomènes suivants : le lien fantôme relatif à l’intrication, l’habillage des particules, les états superposés, la dualité onde ↔ corpuscule, l’extraction furtive des bosons de jauge et des rayons cosmiques, le tout, issu de l’échelle subquantique, selon des modes différents.
Le modèle standard cherche à expliquer la transition du comportement physique entre l’échelle quantique et l’échelle macroscopique. C’est le dualisme {quantique ↔ classique}. Il s’agit de comprendre pourquoi les états superposés montrés par SCHRÖDINGER, disparaissent à l’échelle macroscopique. La théorie de la décohérence quantique a été introduite par DIETER ZEH en 1970. Il évoque le problème de la mesure qui provoque un effondrement de la fonction d’onde. Ce postulat n°5 est défini comme suit : « la mesure sélectionne instantanément un seul état parmi l’ensemble des états superposés possibles« . Ce postulat 5 est en contradiction avec le postulat 6 relatif à l’équation de SCHRÔDINGER . On note l’erreur classique standard dans la définition du postulat 5 qui fait état d’une valeur absolue telle que l’instantanéité. L’approche standard via la description mathématique des seuls effets, n’a aucune chance d’approcher l’explication des causes physiques. La physique ne tolère pas un temps infiniment nul comme le laisse entendre la notion d’instantanéité. Le problème de la non-localité et du déterminisme sont également évoqués au sujet de la décohérence classique. Il est utile de revoir l’article portant sur le BEC-fossile et celui portant sure les BEC-fils.
Le texte de Jean BRICMONT citant l’enquête de MERMIN, portant sur la non localité (EPR-BELL) relative à l’intrication des spins, met en exergue la gêne des inconditionnels du modèle standard.
Enquête de MERMIN (extraite du texte de BRICMONT)
MERMIN distingue différents types de physiciens [22] : ceux du premier type sont dérangés par EPR-Bell. La majorité (le type 2) ne le sont pas, mais il faut distinguer deux sous-variétés. Ceux de type 2a expliquent pourquoi cela ne les dérange pas mais leurs explications tendent à être entièrement à côté de la question ou
à contenir des assertions physiques dont on peut montrer qu’elles sont fausses. Ceux du type 2b ne sont pas dérangés et refusent de dire pourquoi. Leur position est inattaquable ; il existe encore une variante du type 2b qui disent que Bohr a tout expliqué mais refusent de dire comment.
Cette enquête montre combien la dualité {quantique ↔ subquantique} est rejetée sans argument, par les inconditionnels du modèle standard. Certains préfèrent évoquer une magique instantanéité à distance pour deux particules ne « formant qu’une entité ». Non il n’y a rien de magique, si l’on tient compte de l’échelle subquantique tissant l’espace-temps discrétisé. Les pôles de Bodys – de masse ξ² soit 1022 fois moins forte que celle de l’électron – oscillent avec une vitesse ξ² soit 1022 fois plus vite que celle de la lumière. Ils ont donc la même impulsion p = m.c (non relativiste) qu’un électron. Mais si les conditions sont réunies au sein d’une étoile pour une extraction maximale d’un pôle, alors apparait un électron (ou positron) relativiste qui explique les rayons cosmiques. La loi DUO5 montre que l’intensité et la constance de la vitesse quantique c, sont issues de la vitesse d’oscillation de l’échelle subquantique. est issue . Ainsi l’état de spin des particules intriquées concerne autant ces particules que les Bodys avec lesquelles il est couplé.
L’amalgame standard du principe cosmologique
Ce principe est basé sur l’hypothèse d’homogénéité et d’isotropie de l’univers. Il indique qu’il serait spatialement homogène et que son apparence générale ne dépend pas de la position de l’observateur. Dans une certaine limite cette hypothèse est conforme à la loi DUO5. On peut également l’exprimer comme suit : « toutes les localités se ressemblent« .
La définition standard est généralement exprimée comme suit :
Le principe (1) cosmologique d’homogénéité et d’isotropie est l’hypothèse aujourd’hui généralement considérée comme vérifiée (2) selon laquelle l’Univers est spatialement homogène c’est-à-dire que son apparence générale ne dépend pas de la position de l’observateur. Il a pour conséquence que l’Homme n’occupe pas de position privilégiée dans l’Univers, en opposition avec la théorie géocentrique (3). En pratique, le principe cosmologique présuppose que son taux d’expansion ne dépend pas de la direction.
Critiques :
(1) Ce principe, est surtout motivé par la croyance que l’expérience locale possède le même statut que celui relatif à l’émergence non-locale. C’est une manière d’éluder la dualité de localité, comme le montre l’enquête de MERMIN, citée plus haut, concernant la non localité .
(2) La « vérification » est battue en brèche par les dernières mesures qui montrent une légère anisotropie de l’expansion. La loi DUO5 montre que la courbure de l’espace-temps ne découle pas d’un « modèle mathématique » mais de paramètres purement physiques relatifs à l’expansion-mitose dont l’aspect fractal génère des couches de vitesses qui matchent parfaitement avec toutes observations.
(3) il y a ici une première ambiguïté entre « la non position privilégiée de la Terre » (à laquelle on peut souscrire) et le concept général d’isotropie. Une seconde ambiguïté laisse entrevoir que la seule alternative réside dans le très naïf géocentrisme. Non la mitose-fractale du BEC fossile est bien le centre de l’expansion mais les gradients de vitesses se traduisent effectivement par la vision que tout s’éloigne autour de nous. En considérant l’état superposé d’univers, il est évident que l’Omnivers (matrice permanente), n’a ni de centre, ni de continuum masse-espace-temps.
Le modèle standard confond : « toutes les localités se ressemblent », avec la « non localité de l’origine empreinte de séparation causale ». A cause de cela, il rejette la dualité de localité, matérialisée par la dualité « quantique ↔ subquantique ». Il manque de prudence en considérant l’expérimentation locale comme étant universelle. Ainsi il généralise l’annihilation d’une paire électron-positron créée localement (donc sans séparation causale) à la non-localité originelle liée au concept de séparation causale qui rend ces paires fusionnables et stables. Le principe cosmologique est une spéculation simpliste.
La décohérence et la loi ML = Cte
La loi DUO5, montre que l’origine du paradoxe existentiel, dépend de la loi universelle ML = Cte. Cette loi originelle (à l’origine entre autres, de la constante de Planck et de la longueur d’onde de Compton) explique également la dualité onde-particule et plus précisément, le phénomène de décohérence.
La loi DUO5 ne se contente pas de la dualité onde ↔ corpuscule, mais la généralise à toutes choses et toutes les échelles. C’est ainsi que l’origine des particules quantiques est issue de la séparation originelle d’une partie des pôles de Bodys subquantiques de nature non-locale. Ces derniers sont majoritairement les éléments de l’espace-temps qui est donc discrétisé. La loi DUO5 renforcée par la loi KOIDE élargie, a largement prouvé que toutes les particules quantiques sont couplées avec les Bodys subquantiques formant BEC.
Particules éloignées dont les états de spin sont intriqués
Par exemple, un électron non perturbé (par la mesure ou autre) s’étend librement dans le réseau subquantique de l’espace-temps, sous forme d’ondes. Les pôles opposés des Bodys subquantiques – élément de l’espace-temps – oscillent en moyenne ξ² soit 1022 fois plus vite que la lumière. Ainsi, la forme ondulatoire de l’électron se trouve partout à la fois dans le BEC et ce avec la même constante de temps (te = 10–21 s) que l’électron à l’état corpusculaire. Quand il est perturbé (ou mesuré) il réintègre sa forme initiale non pas instantanément, mais avec ce temps (te = 10–21 s) . A la grande amplitude subquantique ƛe‘ = ξ² ƛe (longueur de Compton quantique), la loi ML =Cte, affecte à l’état « onde », une masse moyenne discrétisée mpo‘ = me / ξ² . C’est l’image inverse de la masse de Planck : me ξ². L’amplitude subquantique est égale à : ƛe‘ = ξ² ƛe = 9.27×109 m. C’est l’état des spins superposés de l’échelle subquantique à grande distance.
La loi universelle ML = Cte, est la clé de la décohérence quantique. A partir d’une certaine intensité de masse M, son amplitude oscillatoire L, reste confinée dans son propre volume. A l’échelle macroscopique, la masse M apparait comme étant indépendante de L.
A l’échelle macroscopique, une goutte d’eau de M = 1.4×10-14 kg (14 pg), d’un rayon de 6×10-7 m (0.6 microns) possède une contrepartie d’onde subquantique égale à son rayon, alors que pour un électron, elle représente 1022 fois son rayon. La réplique à la longueur d’onde de Compton (quantique) est la longueur d’onde subquantique 1022 fois plus étendue pour l’électron. Cette longueur d’onde est discrétisée par une masse élémentaire 1022 fois plus faible.