Origine du temps
Plusieurs philosophes occidentaux comme Étienne KLEIN, posent un certains nombre de questions sur l’origine du temps. Étienne KLEIN évoque les différents mythes dans lesquels le temps est souvent vu comme une chose existant déjà dans un univers préalable. Il explique ensuite qu’en physique, la flèche de temps est irréversible (!). Les lois fondamentales des autres paramètres physiques seraient réversibles mais le temps serait exclus de cette symétrie ! L’origine ne doit pas être confondue avec l’écoulement du temps. Étienne KLEIN cite les chinois pour qui la notion d’origine n’a pas de sens puisqu’ils raisonnent en terme de dualité ou de polarités opposées et contraires. Le terme d’origine est avantageusement remplacé par la notion de transformation. Le langage occidental est basé sur le concept matériel de « création » alors qu’il ne s’agit que d’évolution. Avec Christian Magnan nous dénonçons depuis longtemps l’aporie de ces notions d’absolu s’agissant de « création » de zéro ou d’infini, en physique. Par ailleurs, si l’idée d’un « univers préalable » est intéressante, cet état ne peut avoir d’écoulement de temps car il est sous forme d’une infinité d’oscillateurs sans paramètre physique apparent.
On ne peut poser la question de l’origine du temps sans l’associer à l’inséparable couple inertie-espace qui est la source de la constante de Planck
La vitesse varie à l’inverse de l’inertie m
Dans le Bodys, la loi ML = Cte se décline comme suit :
Dans le Bodys, plus la masse est petite, plus la vitesse est grande. Cela revient à la loi d’indétermination de Heisenberg.
Le temps du Bodys est une composante de l’inertie
La dilatation du temps suit la dilatation de la masse. Cela a pour conséquence paradoxale que le temps du cycle complet est le même que le temps de l’espace de rebroussement (longueur de Compton de l’électron : ƛe). Dans un BEC-étoile, le temps d’un cycle de Bodys est : te = RBEC / cs = ƛe / c. On obtient ainsi le temps de l’électron hérité du Bodys :
Mais pour bien comprendre, il faut déjà prendre conscience de la dualité intrinsèque de l’univers. L’univers observable dont l’expansion est limitée, est juste la conséquence naturelle de l’univers stochastique éternel. La matrice ou la cause de l’univers provisoire en expansion est l’univers stochastique permanent. Alors avant toute chose, il convient de justifier l’existence de la matrice stochastique.
Parler de l’univers observable comme étant une entité unique et absolue, est le piège dans lequel tombent la plupart des physiciens occidentaux. Cette notion d’absolu – compatible avec les mathématiques et la religion – fausse tous les raisonnement physiques.
Le paradoxe existentiel du néant
Débarrassé de la naïve notion d’absolu, il ne reste que le principe fort de dualité et de son corolaire, la symétrie. Le paradoxe de la nature physique est le suivant : il est impossible d’obtenir un zéro absolu en matière inertielle et il est injustifiable d’envisager la présence magique d’une inertie plus grande que zéro. La seule et unique réponse à ce paradoxe est l’obtention d’un zéro parfait symétrique dans le cadre d’oscillateurs dipolaires.
La notion d’absolu (zéro et infini) propre à la mathématique, ne concerne que les nombres dépourvus de paramètre physique.
Ainsi la matrice stochastique « existe » sous la forme d’une infinité d’oscillateur-zéros appelé Bodys stochastique (Boson Oscillateur Dipolaire Yin yang Stochastique). L’infinité est rendue possible car il ne s’agit que de dénombrer des entités à zéro paramètre physique. Cette infinité n’implique aucunement un espace puisque chaque Bodys 1D est indépendant. En revanche si le hard est absent, l’information potentielle (le soft), tend vers l’infini puisque chaque Bodys possède un régime particulier et aléatoire. C’est la symétrie individuelle qui permet cet état à fort potentiel. Cet état n’a ni début ni de fin. En revanche, il possède un potentiel évolutif relatif à la probabilité de faire baisser son niveau d’information en synchronisant une partie des Bodys.
L’oscillateur zéro paramètre physique, le Bodys
Il est paradoxal (et même impossible) d’osciller sans paramètre physique. C’est la qu’intervient la dualité profonde relative à la « peau ». Cet oscillateur primitif possède intrinsèquement la dualité {intérieur ↔ extérieur}. Dans le référentiel intérieur, les deux pôles oscillants, causalement liés, masquent tous leurs paramètres physiques par opposition. Dans le référentiel extérieur (ou apparent), tous les paramètres physiques sont strictement annulés par masquage par opposition. Il faut préciser qu’à ce niveau fondamental, le couple {masse inertielle × amplitude spatiale} forme un couple inséparable. Ce phénomène, ne régnant qu’au niveau quantique, est à l’origine de la définition de la longueur de Compton. Cette entité {M.L} n’est donc pas un scalaire, grâce à L, sensible à l’orientation. Donc la somme algébrique des pôles opposés est égale à zéro. La loi DUO5 montre que l’espace-temps est un maillage de Bodys dans lesquels les deux pôles subquantiques contraires, s’annulent parfaitement :
Au point zéro, comme le potentiel spatial est maximum, la masse originelle de chaque pôle, a un potentiel infini d’états très proches du zéro. Selon l’aléa du choix, une amplitude spatiale sera donc définie à l’inverse de l’intensité inertielle . Cela lui confère une dynamique d’extension spatiale jusqu’à son point de rebroussement. Au fur et à mesure de son extension, chaque pôle épuise son potentiel spatial. Sa masse augmente donc proportionnellement. Forcé par la condition stricte du zéro symétrique, une composante « maintient du lien causal » émane du couple {m. ℓ}. Cela est vérifiable dans la définition de la charge électrique élémentaire :
Ainsi fonctionne le Bodys stochastique pour qui le hasard lui donne une infinité de « presque zéro absolu » pour ses 2 pôles, à chaque passage au point zéro. Dans le cadre d’une fonction continue, on démontre qu’il faudrait une infinité d’oscillations pour trouver l’impossible zéro absolu parfait. Si cela était possible, alors l’amplitude spatiale serait infinie et il n’y aurait plus d’évolution possible. La Nature a contourné le mythe du zéro physique absolu par la dualité symétrique !
Paradoxalement, c’est le puissant attracteur du « zéro inertie absolue » qui est la source de l’évolution sans laquelle rien n’existerait. L’univers est condamné à exister.
Le mythe du temps non réversible
La composante « charge électrique élémentaire » du produit élémentaire de l’électron {me ƛe}, garantit le zéro symétrique en maintenant la relation causale entre les 2 pôles opposés, par la force coulombienne. Comme la charge élémentaire, cette force est issue des 3 paramètres de l’électron {me ƛe te}.
Par définition, l’oscillation générée par le couple fondamental {me ƛe}, possède une fréquence propre relative à l’origine inertielle au point-zéro renouvelée à chaque cycle. Ainsi, le temps est non seulement réversible mais également évolutif dans ces Bodys stochastiques. La loi DUO5 montre que chaque « point-zéro » de la Matrice-Univers est l’objet d’un duel entre l’attracteur du zéro inertie M = 0 et la probabilité infinie de ne pas l’atteindre (M > 0). Chaque « point » est contraint d’osciller entre ces 2 états impossibles. Ces oscillateurs se présentent sous la forme de « corps » ou Bodys (Boson Oscillateur Dipolaire Yin yang Stochastique) muni d’un zéro physique relatif à la parfaite symétrie. A défaut d’obtenir un M = 0, la Nature a inventé le zéro physique issu de la symétrie offerte par l’aspect dipolaire de l’oscillateur fondamental. De la notion d’inertie M oscillante, est dérivée celle de l’espace L, de la charge électrique Q et du temps T. Le couple M.L = Cte, se comporte comme le couple (x, y) décrit par l’impulsion de Dirac. C’est l’attracteur de l’impossible zéro absolu qui génère l’exigence de symétrie masquant les pôles, dans le brouillard stochastique, fait d’une infinité de Bodys-zéros.
La dualité stochastique-synchronisé
La matrice univers est paradoxale puisque d’un côté elle est faite d’une infinité de zéros symétriques parfaits et non connexes, et d’un autre côté d’un entropie informationnelle quasi-infinie. Il n’y a ni espace, ni temps ni masse car tout est strictement masqué par opposition symétrique individuelle. Chaque Bodys oscille en 1D, avec ses propres données aléatoires et « ignore » ses voisins. C’est cette non connexité qui ruine la possibilité d’un espace consolidé. Mais cela se traduit par un intense brassage stochastique dont la probabilité de fusion est extrêmement improbable mais pas nulle.
Comme temps ne s’écoule pas, la probabilité de fusion-synchronisation devient unitaire car cela offre une infinité de brassages ouvrant la probabilité de se « superposer ».
Naissance du BEC-fossile
On a vu que le flux de synchronisation, formant le BEC-fossile, est géré par la dualité d’influence entre la densité stochastique (aléatoire) et la densité (croissante) des bodys synchronisés. Cela veut dire que le début de synchronisation est très hésitant et parsemé d’échecs. Mais après un certain seuil critique (où la densité synchronisés est plus forte que la densité stochastique), le flux synchronisant s’accélère exponentiellement. On démontre que si plusieurs BECs sont en formation, seul le premier formera une bulle univers en expansion. Statistiquement la probabilité d’avoir plusieurs bulle-univers contemporaines est quasi nulle. Jusqu’à la saturation, le BEC-fossile reste invisible tout en ayant une connexité qui lui confère un contour sphérique, dessiné par l’aire de rebroussement relative à l’oscillation des couches de pôles de Bodys.
Analogie de la dualité de masquage
La masse des 2 pôles d’un oscillateur Bodys est annulée par masquage par opposition. Par analogie, le fléau représente ci-après, le lien causal, non local et radial, qui annule les deux pôles contraires. Le lien causal est généré par l’attirance des pôles contraires. Dans l’analogie il s’agit de l’équilibre gauche-droite. La couleur est assimilée à la position gauche-droite.
C’est bien la raideur du fléau qui maintient le « zéro mouvement » car la continuité suspentes-fléau représente le lien causal.
La fusion locale des pôles avec leurs voisins est ci-après représentée par des boules neutres, sans couleur qui élimine la symétrie gauche droite du fléau. L’analogie le représente par la rupture des suspentes. Cela représente la conséquence de l’annulation des charges qui brise le lien causal. Le mouvement des masses neutres n’est plus équilibré (annulé) et il devient indépendant. C’est la révélation de la masse des pôles ayant brisés leur lien causal qui garantissait la nullité. Le masquage par opposition est devenu un masquage par superposition qui n’annule que les charges.
le lien radial individuel entre charges contraires, devient un ensemble collectif où les charges sont annulées par masquage. Cependant les fusions en neutrons deviennent des protons avec leur électron orbital.
Conclusion
L’origine du temps, vient de l’inverse de la fréquence moyenne des Bodys stochastiques devenus synchronisés. Par définition, la fréquence d’un oscillateur classique de type masse-ressort, est fonction de sa masse et de sa raideur K.
Comme K est une force par mètre, on a :
Mais ce modèle macroscopique fonctionne avec la dichotomie masse-espace-temps, ce qui n’est pas le cas du Bodys subquantique où la masse varie avec l’espace selon M.L = Cte. Par ailleurs, la notion de temps individuel est différente car à cette échelle oscillante, il est bidirectionnel. Il ne respecte pas l’ordre macroscopique {cause → effet} car ces deux notions sont confondues comme le sont M et L. Expérimentalement le continuum masse-espace-temps, à l’échelle quantique, est un tout indissociable. Par ailleurs, l’échelle quantique de la matière est intimement liée à l’échelle subquantique des Bodys tissant l’espace-temps. En montant vers l’échelle macro, la multiplicité des fréquences perturbatrices propres aux atomes (le couplage-habillage) provoque la dichotomie des paramètres masse-espace-temps.
Ensuite, sur le BEC-fossile, lorsque la causalité individuelle radiale est devenue une causalité collective tangentielle, le continuum {masse-espace-temps} s’est révélé et consolidé pour devenir la masse de l’oscillateur univers. Le temps cosmique est donc celui relatif à la fréquence (ultra basse) de l’oscillateur-univers en expansion sur un demi cycle . En se limitant à cette phase expansive, le temps macro est effectivement unidirectionnel. La dépendance du temps local à l’inertie locale, est observée quand celle-ci devient relativiste. Einstein avait raison d’envisager le continuum masse-espace-temps. Se poser la question du temps en dehors du contexte de son origine en tant qu’oscillateur subquantique, est une erreur bien trop courante.
L’oscillateur-univers n’est pas de type énantiomère dans lequel deux parties macroscopiques s’opposent symétriquement. Il est en mode « opposition individuelle » où chaque « pôle opposé » est à l’échelle quantique. C’est un type globalement monopolaire dans lequel le recouvrement (dipolaire quantique) commence en cours d’expansion via les collisions de galaxies (voir cause de la DM) et se termine par le retour par « évaporation » dans l’état stochastique. Il y a bien une flèche du temps qui croît avec l’entropie, mais avec son inexorablement effacement par son retour à l’état quantique. C’est un épiphénomène dans le cadre de l’éternel état stochastique.
2 réponses
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