Enigmes standards résolues (suite 53-60)

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Enigmes standards résolues (suite 53-60)

Pour bien comprendre ce qui suit, il convient de prendre connaissance des conditions statistiques de l’apparition du facteur universel ξ qui apporte la finesse des paramètres qui ont rendu féconde la Bulle-Univers observable. IL faut également prendre connaissance des bosons universels primordiaux, soit les oscillateurs BODYS subquantiques, formant le BEC-fossile . La saturation a séparé les pôles de Bodys subquantiques (non locaux) et sont devenus – localement à l’échelle quantique – les paires électron-positrons qui selon la loi KOIDE-DUO5, sont les seuls éléments fondamentaux de la matière.

La dualité de localité implique la dualité de stabilité de la paire électron-positron. Contrairement à l’instabilité relative à sa création locale, la non localité de la mutation originelle : BODYS → électron-positron, leur confère le statut de stabilité. Cette symétrie s’exprime entre l’électron orbital et le positron toujours confiné dans le proton dont la charge est précisément celle du positron. Cette mutation BODYS → électron-positron, se reproduit par la surdensité saturant les centres galactiques ou les étoiles géantes.

53 l’énigme du bosons X17

Cette publication fixe la masse de l’éventuelle boson X17 à 16,84 (16) MeV. Dans la même veine du boson de Higgs, ce boson X17 est une émanation des Bodys couplés.

Il pourrait correspondre à 34 unités nues soit le 8eme nombre de la suite de Fibonacci 1,2,3,5,8,13,21,34.

54 Neutrino

Les neutrinos (de Majorana) sont des émanations quantiques de Bodys subquantiques, via le boson W .

La loi M.L = Cte, génère une immense amplitude L =ξ² ƛe pour une masse M = me / ξ² pour le Bodys subquantique. Mais pour le neutrino électronique , l’amplitude est limitée à celle de Compton soit ƛe.

C’est la forme quantique la plus simple car elle annule la masse par symétrie (hors perturbation). C’est pour cela que les neutrinos peuvent atteindre la vitesse de la lumière, sans effet relativiste. Cependant, une perturbation peut altérer la symétrie et faire apparaître une partie de la masse. Le neutrino muonique reprend la masse neutre des 206 éléments mais avec une répartition différente. Son amplitude spatiale est limitée à celle de Compton soit ƛe . Il en est de même pour le neutrino tauique.

55 La famille de particules

Le modèle standard considère les familles de particules élémentaires selon :

Ce classement est arbitrairement basé sur les spins alors que la clé est de chercher les particules élémentaires et stables. La seule est unique paire élémentaire stable – la paire électron-positron – est non seulement classée avec des particules instables et composites, mais en plus est amputée de son positron. Ensuite, il est démontré que les quarks – instables hors de leur confinement – ne sont que des effets induits. On retrouve cette malheureuse habitude ancestrale de confondre les causes et les effets !

Le classement standard ignore les causes physiques car Il n’est basé que sur l’expérience locale. Il fait le très imprudent pari que l’observation locale possède un statut universel. C’est une très mauvaise interprétation du « principe cosmologique ». Si toutes localités peuvent se ressembler, il ne faut pas les confondre avec la très fondamentale dualité de localité dans laquelle par exemple, la paire électron-positron – causalement séparée – peut fusionner et échappe au principe de Pauli.

Le schéma ci-après n’est pas un modèle mathématique de plus, mais il découle de lois fondamentales comme le paradoxe existentiel et du comportement stochastique et statistique de l’Omnivers.

Tableau des 5 particules stables originelles

Soit 2 pôles de Bodys + la paire électron-positron + le proton. Toutes les autres particules sont des effets induits.

56 Problème des galaxies naines

Le modèle standard ne comprend pas pourquoi certaines galaxies naines sont constituées de 99% de matière noire. Il considère à tort, que les halos galactiques sont « faits de matière noire ». une autre énigme apparaît dans le cadre de la « concentration » de DM.

La loi DUO5 indique clairement que les halos de galaxies sont constitués par les BECs hôtes de chacune des étoiles de la galaxie. Ces BECs sont très enchevêtrés dans les galaxies et assez lâche dans le milieu intergalactique. La clé de l’expansion réside dans le déchevêtrement des BECs intergalactiques (peu soudés entre eux). Sans confondre le contenant du contenu, la loi DUO5 indique que la matière noire s’évade radialement à travers le halo. La matière noire à deux sources principales.

1/ DM produite par les collisions de galaxies qui reviennent à relocaliser de la matière qui était angulairement séparée sur le BEC-fossile. Si l’angle de recouvrement était de 180°, alors l’annihilation serait de 100%. Mais la plupart des collisions présentent des angles relatifs φ de l’ordre de quelques degrés. Cela amène une annihilation partielle qui altère les éléments ultimes de la matière. C’est la première cause de la DM. Les paires électron-positrons ne pouvant plus constituer des protons, elles s’accumulent en un agrégat faiblement couplé aux Bodys subquantiques.

1/ DM produite par le cœur des galaxies : C’est la même production que celle des rayons cosmiques. Le trou noir central est un empilement de BECs. Par définition, l’empilement réduit les intervalles élémentaires. Cela revient à ce qui c’est passé sur le BEC-fossile avec éjection des pôles d’impulsion (m c) mais avec deux différences :

a) l’intensité globale est moins forte

b) L’expansion depuis le BEC-fossile se traduit par l’impulsion élémentaire (m c) dans le cadre de la mitose où l’espace-temps progresse à vitesse c. Il n’y a donc pas de vitesse relative entre l’impulsion de la matière (m c) et l’espace-temps. En revanche, dans le cadre de la galaxie, l’impulsion (m c) est relativiste puisqu’elle s’exprime dans l’espace-temps statique ! On a montré que le facteur relativiste n’a pas de valeur maximale infinie comme le prétend le modèle standard. Le facteur de Lorentz est limité à ξ. C’est ainsi que le trou noir central produit des rayons cosmiques relativistes dont certains – incurvés par des potentiels magnétiques – entrent en collisions.

Cette relocalisation (collision de galaxies ou source interne) altère leur intégrité et deviennent de la DM. Cette DM (informe) – très peu couplée avec les Bodys – progresse radialement en étant freinée par la composante constante de la gravitation.

3/ Cause des galaxies naines : Elles sont le résultat de collisions de grosses galaxies ayant produit une grande quantité de DM. Ainsi la partie visible est réduite alors que la partie DM est largement dominante. Souvent leur très grand halo trahit les anciennes très grandes galaxies devenues principalement de la DM.

57 Notion de « bord » de « l’univers »

le modèle standard pose ce type de question : L’Univers possède-t-il une limite ? Quelle que soit la réponse, elle donne le vertige. Si c’est oui alors c’est un paradoxe car si on trouve à la limite, qu’y a-t-il au-delà, si ce n’est encore l’Univers ? si c’est non alors cela signifie que l’Univers est infini. Or si ce concept est fondamental en mathématique, il résonne étrangement en physique.

En fait la question est mal posée car elle est de type moniste. Elle écarte d’emblée le dualisme qui est pourtant démontré ici comme étant consubstantiel à la Nature. Le seul zéro physique relève de la dualité symétrique. Le zéro absolu mathématique est inapte à la physique fondamentale. L’état Bulle-Univers-en expansion, évolue dans l’état Omnivers stochastique et non connexe. Il a bien un bord matérialisé par les BECs disposés en limite extérieur. Au-delà, il existe l’état stochastique qui est responsable de l’amplification de l’entropie de désordre.

Selon Jean Philippe UZAN : « La finitude de l’Univers repose notamment sur sa courbure. Si elle est positive, alors l’Univers est sphérique, et son volume est nécessairement fini. Si elle est négative, il est hyperbolique. Si elle est nulle, euclidien et donc plat. Ces deux derniers cas peuvent correspondre à un univers infini ». Cette approche mathématique est complètement erronée pour la physique de l’Univers dans sa dualité.

58 trous noirs primordiaux

Si les galaxies primordiales disposées sur l’aire du BEC fossile avaient de la place, la formule de Schwarzschild donnerait un rayon maximum de :

Mais les galaxies primordiales sur l’aire du BEC, sont contraintes par ce rayon :

qui est largement plus petit qu’un trou noir de Schwarzschild.

59 Super amas

L’annihilation primordiale a généré des intervalles α (1370.359) plus larges que les galaxies noires. Cela à créé des trous cosmiques qui sont encore visibles bien que déformés par les nombreuses collisions de galaxies.

Les filaments de galaxies aboutissent à des nœuds qui sont amplifiés par la matière noire issue des collisions. Cela forma des amas et des superamas.

La particule exotique ppk

Cette particule est composée d’un kaon et de deux protons P. La masse K , estimée à 493.7 MeV est donc de 966,146 unité « électron habillé ». Sa masse neutre en unité « électron nu entier » est de 972. Sa masse totale dans la même unité est donc de 973. Son taux d’habillage est donc de : 973 / 966.146 = 1,00709. Ce kaon est lié au méson πo (270) selon :

PPK (4655) est en relation avec le neutron (1842), le pion (270) et le muon (206) selon :

Ci-après les relations exactes entre muon (206) , neutron (1842), tauon (3480), pion (270) et neutrino électronique (2).

Dans laquelle on peut remplacer le pion (270) par le kaon neutre (972):

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