L’énigme des quarks

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L’énigme des quarks

Interprétation du modèle standard

Révision 18/03/2024

Historiquement les expérimentateurs, sachant que le proton est de nature composite, ont cherché à débusquer des éléments internes le composant. En sondant le proton, on s’est aperçu qu’il contenait des masses confinées et – dans un premier temps – on a cru que leurs masses étaient suffisantes pour expliquer la masse du proton. Puis l’estimation des quarks u, u et d, ne représentant qu’environ 1% de la masse du proton, on a cherché d’autres solutions. L’hypothèse de la composition en paires électron-positrons empilées, a été rejetée d’emblée sur la « croyance » de l’universalité de l’expérimentation locale. La dualité de localité a été éludée. On a pensé à tort que ces fermions (de création locale) – typiquement instables – ne pouvaient en aucun cas être les particules élémentaires du proton. Les fermions n’ayant pas l’aptitude des bosons pour s’agglutiner. Alors on a cherché désespérément un mécanisme qui pourrait donner de la masse à ces quarks. Higgs a imaginé que la masse pouvait être procurée par le « freinage » dans une sorte de mélasse et en fonction de leur couplage. Ainsi un boson de jauge un peu plus massique que le boson W, pouvait-être la solution de la médiation. Le couplage du modèle de YUKAWA pouvait même être décrit via l’échange de pions π. Cette idée d’introduire des particules comme vecteur médiateur des forces, vient de l’interprétation erronée de la médiation dans le « vide » par les photons. Là encore on a confondu les effets et les causes. En premier lieu, il s’agit de sortir de cette idée simpliste de « vide ». Selon la loi DUO5, l’espace-temps est formé d’un tissu d’oscillateurs Bodys chacun muni de deux pôles opposés, dont la neutralité dépend de sa symétrie interne. Il faut rappeler ici que le Déterminisme de l’Univers est de recouvrer totalement le zéro symétrique à défaut de l’impossible zéro absolu.

La masse inertielle des paires électron-positrons est héritée de la séparation causale des pôles de Bodys lors de la saturation-séparation du BEC-fossile. La masse des pôles est justifiée par le paradoxe existentiel. La loi KOIDE-DUO5 démontre que la masse des particules composites est celle des paires électron-positrons. Exit la spéculation de la « mélasse ».

Ci-après la cohérence entre le nombre de groupes et intervalles et le nombre des quarks.

Le taux d’habillage d’une particule, reflète le taux de son couplage avec les Bodys tissant l’espace-temps. Par exemple le proton doté de 1841 unités nues et entières d’électrons et de positrons, est mesuré à 1836.15 unités « électrons habillés ». Le taux est donc de 1841/1836.15 = 1,0026. Ainsi les forces internes de confinement des couches du proton, ne relèvent pas de mystérieux « gluons » mais juste de la force coulombienne qui s’exprime dans les 3 intervalles polarisés qui génèrent les 3 quarks uud. Leur charge partielle vient du positron célibataire qui interagit avec les intervalles polarisés. Les quarks ne sont que des inductions internes qui disparaissent hors confinement. Il faut sortir de l’ineptie qui consiste à croire que l’univers puisse sortir magiquement 6 quarks de son chapeau. Selon la loi M.L = Cte, la masse M de chaque groupe du proton (M = P/4), réduit son rayon en fonction de ratio de masse avec l’électron. Ce rayon (8.41235×10-16 m) est bien celui qui est mesuré :

Le lien √ξ entre bosons de jauge et les quarks

Le couplage aux Bodys, les perturbe en réduisant localement l’amplitude spatiale de ces derniers, d’un ΔL. Par symétrie, la particule reçoit un ΔM sous la forme d’un taux d’habillage. La somme des masses de quarks (u, u, d = 17,4 ue) du proton, est constituée de : ΔM = (1841 – mp), auquel s’ajoute π ue pour chacun des 4 groupes neutres, soit ≈17,4 ue.

Les bosons de jauge sont des apparitions furtives des Bodys subquantiques. L’habillage des particules est la trace permanente du couplage particule ↔ Bodys.

Conclusion

Les quarks ne sont pas des entités élémentaires mais des masses-énergies de liaisons relatives aux intervalles polarisés. Il existe une dualité entre le couplage permanent et le couplage furtif du boson de jauge W, faisant le lien entre Bodys et proton. Le couplage permanent se traduit par la dualité : a) partie massique pour l’habillage ; b) partie informationnelle de jauge (Bodys) qui interfère avec l’énergie de liaison de tous les intervalles polarisés du proton. Cette interférence est ce que le modèle standard identifie comme la mer de Fermi. En revanche, nul n’est besoin de mystérieux « gluons » pour réaliser la force forte qui est relative au démasquage des charges des couches neutres empilées.

3 réponses

  1. […] standard – indique que les quarks confinés dans certaines particules composites, ne sont que des inductions internes. La loi DUO5 démontre que les éléments constitutifs des particules composites sont des paires […]

  2. […] maillage subquantique de Bodys formant BEC et se transmet à la masse via le même ratio √ξ que les bosons de jauge. On a vu que la masse-énergie émise par un boson W ou de Higgs, répond à la loi : M.L = Cte. […]

  3. […] DUO5, cette perte de masse concerne à la fois les quarks et le taux d’habillage. Selon mon article sur l’origine des quarks, ces derniers sont des émanations permanentes des Bodys. Dans le proton, le total de masse (u u d) […]

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