Hélium

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Hélium

Selon le modèle standard, l’hélium (4He) possède la masse atomique selon : 4.00260325 unités atomiques ou 6.64647908×10-27 kg ou 3728,401 MeV. Dans la loi DUO5, l’expression avec ces 3 unités à caractère arbitraire, sont remplacées par des unités universelles, soit : 7296,2995 ue (unités électrons habillés) ou 7298 en (unités entières d’électrons nus). L’hélium 4 est constitué de 2 protons et 2 neutrons mais affaiblis par la perte de masse. La fusion classique en hélium suit le cycle proton-proton, en passant par l’étape deutérium selon :

un des protons, perd un un positron et le deutérium est constitué de p = 1841 et n = 1841 – 1 = 1840 unités neutres. neutron f(p) = 1840 < 1844.

On voit bien que le proton (1841) perdant un positron (1) ne peut que donner qu’un neutron de 1840 < 1844 et donc plus léger que le neutron libre (1844). Ensuite, la réaction se poursuit par l’intermédiaire du tritium ou hélium 3 pour donner l’hélium 4 et un neutron. La perte de masse est donnée à : 4,6212×10-29 kg ou 50,03196 unités ue. Selon la loi DUO5, cette perte de masse concerne à la fois les quarks et le taux d’habillage. Selon mon article sur l’origine des quarks, ces derniers sont des émanations permanentes des Bodys. Dans le proton, le total de masse (u u d) donne 3.9+3.9 +9.3 = 17,11 ue, que la cohérence multiple du tableau suivant, fixe à l’équivalent de 24 unités nues et entières. Dans le neutron, le total de masse (u d d) donne 22.53 e ou 30 unités nues et entières. Ainsi les quarks participent à la perte de masse pour 54 unités sur 64 unités entières. Le taux d’habillage participe pour 10 unités entières à la perte de masse.

Tableau 1

Seul le nombre d’unités nues 7 298 pour l’hélium, permet d’obtenir les occurrences croisées avec l’habillage 17.00485 qui conditionne Q = 39.69 qui se trouve être exactement la moitié du total : 2(p + n). En enlevant les 2 positrons (+, +), le nombre neutre (7296) possède l’aptitude de donner un nombre pair par une division par 64.

Les données du tableau 1 sont contraintes par le niveau de la perte de masse et par la conservation du nombre de nucléons, du nombre de quarks et des 2 charges positives (donc 2 positrons). Le tableau 2 montre que : a) le nombre neutre est ramené à 7296 = 7298–2 ; b) ce nombre est divisible par 16 donnant ainsi 4× 4 groupes de couches neutres de 456 unités chacune ; c) la masse des quarks est divisée également par 2 ; d) les 4 nucléons possèdent 3 intervalles chacun et donc conservent les 12 quarks hérités ; e) la charge des quarks est conservée ; f) le nombre nue entier du neutron, perd 2 unités (neutrino)

Tableau 2

seule la division par 16 donne des groupes compatibles avec les mesures.

Atome hélium

En ajustant le ratio entre le rayon de l’atome de l’hélium 128×10-12 m (31) à 126,08 ×10-12 m et le rayon de la charge du noyau à (1,67824×10-15 m) alors cela correspond à 4 α². Le taux d’enchevêtrement des nucléons est proche de k = 2 (soit 4 rayons enchevêtrés pour le diamètre). S’il est réduit du ratio de perte de masse, soit : Δm =1840/1824, alors k = 2 – Δm =1,9826. Selon la loi M.L = Cte, le rayon du noyau doit être fixé en relation avec la longueur d’onde Compton de l’électron, en fonction de l’inverse de la masse d’un groupe : k mH / 16 avec mH exprimée en unités électron (sans dimension). Or cette relation vérifie la mesure avec une assez bonne précision :

Conclusion

Le modèle standard explique la perte de masse par l’équivalence énergie-masse. Cependant il n’explique pas comment et pourquoi les protons et neutrons sont plus légers dans le noyau de l’hélium 4 . En revanche la déclinaison de la loi DUO5, montre clairement que le noyau de l’hélium est composé d’une partie neutre : 4 × 1824 + 2 positrons célibataires. La perte de 64 unités nues vient de la réduction de moitié de la masse des quarks : [108/2 + 10] = 64. Les 10 unités perdue sont relatives à la perte d’habillage. Si la masse des quarks (u, d) est réduite de moitié, leurs charges restes inchangées. Comme on l’a vu dans cet article, la charge des quarks dépend de l’interaction entre les intervalles polarisés et le positron célibataire. En revanche, la masse des quarks est extirpée des bodys via le facteur √ξ . Elle varie en fonction de l’inverse de la racine carrée du nombre de nucléons du noyaux, soit ici : 1/ √4 = 1/2. Comme pour le proton, la taille du noyau est déterminée par la masse d’un groupe, selon M.L = Cte et en relation avec la longueur d’onde de Compton de l’électron. Ainsi le noyau de l’hélium 4 n’est pas vraiment constitué de 2 protons et 2 neutrons mais chacun de leur seule partie neutre réduite de 16 unités et de 2 positrons célibataires. On peut considérer qu’il s’agit de de 4 sous protons neutre + 2 positrons, induisant 12 quarks (6 u + 6 d) dont la masse est réduite de moitié. Cela correspond également à 6 paires {u d} soit (+2/3 – 1/3 = +1/3) et donc +6/3 = 2+. Cette configuration – équivalente à celle matérialisée par 2 protons {uud} et 2 neutrons {ddu} – ne s’adapte pas à 4 fois 3 intervalles.

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