Dualité & quintessence

Déterminisme de L'Univers d'Or

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Dualité & quintessence

La loi DUO√5 s’appuie sur le Déterminisme De l’Univers d’Or dans lequel la dualité est l’essence même de sa Nature. Au-delà de la signification mathématique, la transcendance de certains nombres peut-être interprétée physiquement comme des conditions de ratios nécessaires à l’apparition d’une Bulle-Univers conforme à celle dont nous faisons partie. Parmi ces nombres (2 , 5, π) seule la dualité 2 (associée à la notion de symétrie) à un sens dans l’état stochastique puisque la dipolarité des oscillateurs est la seule solution pour obtenir un zéro parfait. C’est la dualité fondamentale de l’état stochastique dont le seul déterminisme est de chercher éternellement l’impossible zéro absolu physique parfait. Mais au moment de la synchronisation d’un BEC, il y a une très faible probabilité d’avoir les ratios pour obtenir une Bulle-Univers cohérente. Pour que la synchronisation arrive à l’opération « réussie » {saturation-annihilation-fusion-mitose}, elle est précédée par un nombre incalculable d’échecs. En d’autres termes il faut que la dualité (2) génère la quintessence (5) le nombre π selon :

Avec φ le nombre d’Or donné par le ratio des deux derniers nombres de la suite infinie de Fibonacci et par :

Dans laquelle on retrouve les nombres cardinaux 2 et 5. On note également les 5 premiers termes de la suite de Fibonacci qui représente la mitose par démultiplication des BECs :

Dans laquelle on verra que le dernier ratio : 1,6 = 8/5, joue un rôle prépondérant dans le proton et la force faible.

Le ratio d’influence

Le flux de synchronisation extrêmement aléatoire : état stochastique → BEC, est surtout émaillé d’échecs et de retours en arrière. Autour de l’aire (potentielle) d’un BEC naissance, il existe une certaine densité de Bodys en termes de nombre par unité de surface. Il y a dualité d’influence entre la densité externe et la densité interne interne. Le début du flux de synchronisation possède une très faible probabilité de réussite. Mais au-delà d’un certain seuil, c’est la densité interne qui l’emporte sur le désordre externe. La première condition pour cette « réussite » est donnée par le ratio entre l’aire du BEC et la longueur de Planck (épaisseur Bodys) :

La seconde condition pour atteindre le seuil de saturation est le maintien de cette inégalité à chaque étape du remplissage du BEC :

Avec ρd la densité de Bodys (en désordre) et ρs la densité de Bodys synchronisés. On voit bien que la mitose-expansion augmente la surface et donc diminue la densité de Bodys dans la Bulle-Univers. Il y a donc une inversion de flux vers l’état stochastique. A terme la surface de la Bulle-Univers s’est accrue du facteur ξ². Cette augmentation de surface diminue drastiquement la densité surfacique interne sans affecter notablement la densité stochastique externe. C’est la clé du cycle entre ces deux états qui stipule que l’événement : {saturation-séparation-mitose-expansion} n’est qu’un épisode relativement furtif, dans l’éternité stochastique.

La cohérence des ratios

Selon le chapitre « Loi de KOIDE« , il vient le nombre de paires fusionnant en proton, selon :

Avec une précision relative de 1.000032 avec :

Or on a vu que Φ = 23, est le lien reliant 8 types de particules entre-elles.

L’état stochastique n’a pas de limite

Cette cohérence se poursuit dans le chapitre « La loi de KOIDE » avec notamment :

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est image-10.png.
lien entre muon et proton (en unités nues)
L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est image-15.png.
liens entre muon et pion
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liens entre neutrino, muon, pion, proton et tauon

La dualité {2} génère la quintessence {5}. Dans le chapitre « expansion » on verra que la mitose génère des couches de vitesses allant de 0c à 5c. Il vient cette géométrie de type « euclidienne dynamique » qui génère deux phénomènes, sans invoquer une quelconque géométrie riemannienne :

1/ tout ce qui entoure chaque coordonnée, s’éloigne de l’observateur dans toutes les directions (avec une légère asymétrie d’ailleurs observée) ;

2/ on montre que les BECs de notre Galaxie – situés dans une couche plutôt « en retard » – ont tendance à accélérer pour rattraper la vitesse moyenne d’expansion à 2,5 c.

La loi DUO√5 explique (versus décrit) naturellement l’accélération de l’expansion

elle n’est pas absolue mais relative à la localité

L’accélération de l’expansion appelle encore une fois la notion de dualité de localité dans la parfaite symétrie.

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