Énigme du centre de l’Univers
Voici encore une question bien mal posée, car elle élude l’incontournable dualité. De quel état d’Univers parle-t-on ? S’agit-il de l’univers global et stochastique qui ne peut effectivement pas avoir de centre, car il n’a pas d’espace-temps ou s’agit-il de la Bulle-Univers observable en expansion née de la mitose du BEC-fossile saturé ? Cette seconde phase a effectivement un centre canonique même si chaque coordonnée semble être un centre où tout s’éloigne autour. La loi DUO√5 montre clairement qu’une variété (dynamique) de géométrie euclidienne, colle parfaitement aux observations. Ce centre est d’ailleurs observé du côté de L’Eridan sous la forme d’un grand vide – unique en son genre – d’une taille d’environ un milliard d’années-lumière…… En parfait accord avec la loi DUO√5, on mesure la distance du trou de l’Eridan depuis notre Galaxie qui est d’environ 7 milliards d’années-lumière.
L’Omnivers – fait d’oscillateurs Bodys stochastiques – est non connexe, sans continuum masse-espace-temps et donc sans écoulement du temps., sans bord et sans centre. Son entropie de désordre – quasi infinie – se traduit par un intense brassage qui statistiquement, admet une probabilité unitaire de synchroniser un BEC-fossile. La saturation du BEC-fossile l’amène à une mitose-expansion, dont il est le centre. Les bords de la Bulle en expansion sont matérialisés par les BEC-fils.
L’expansion en couches de vitesses dégressives, s’accorde parfaitement avec la géométrie euclidienne pour expliquer que chaque coordonnée semble représenter le centre. Il est donc inutile d’évoquer des variétés riemanniennes pour expliquer cela. A la question : l’univers l’univers est-il infini ? la première réponse est sous forme de question : de quel état d’univers parle-t-on ? S’il s’agit de l’état stochastique, la réponse est claire : il est difficile de parler de métrique ou d’étendue puisqu’il n’y a pas d’espace-temps. Il existe une infinité d’oscillateurs de type Bodys-zéro. Statistiquement ils s’ignorent parfaitement les uns les autres. Dans le chapitre « Mitose du BEC-fossile », j’ai évoqué l’impulsion initial (BIG BANG) qui démultiplie la vitesse c en 5 étapes provoquant ainsi une expansion en couches, évoluant de 0 à 5 c. Si l’on compare l’éloignement de notre Galaxie du BEC-fossile (7 G.y.l) à la fin de l’expansion fixée par une Bulle dont l’aire est tapissée de BEC-fils contigus selon l’équation d’Eddington :
Allure de la mitose-expansion
A chaque rang de mitose, la division s’opère dans toutes les directions à la vitesse c. Cette vitesse c se cumule vectoriellement.
Distance de l’Éridan
Une très grande partie des paires électron-positrons se sont annihilées sur l’aire du BEC-fossile. La température d’un électron est connue : Te = 5.93×109 K. La température du fond diffus est de 2.725 K. Comme la température varie en 1/r² on peut poser :
Ce qui confirme la distance entre notre Galaxie et le BEC-fossile. La vitesse locale (en accélération radiale) est donnée par :
Avec tu ~14 G.y, l’âge de l’univers.
centres relatifs à chaque observateur et le centre canonique représenté par le BEC-fossile.