Cause et médiation de la force coulombienne

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Cause et médiation de la force coulombienne

Le modèle standard identifie 4 forces : gravitationnelle, électromagnétique, faible et forte. Il prétend avoir expliqué les trois dernières alors qu’elles ne sont que décrites. Si la force électromagnétique est très bien décrite et que ses applications sont bien maîtrisées, le modèle standard ne dit rien sur la cause de son existence et sur son processus de médiation dans l’espace-temps. Le modèle standard – avec certaines expériences relatives au boson X17, pense avoir trouvé une 5eme force. Le modèle standard associe à tort un boson spécifique à chaque force. Par exemple il désigne le photon comme étant le boson associé à l’interaction électromagnétique. Les tenants du modèle standard considèrent que son absence de masse confère à ce boson, une portée infinie ! Ils n’ont pas compris que la physique est incompatible avec le zéro absolu et l’infini. Devant son déterminisme de trouver l’impossibilité du zéro absolu, la Nature de l’Omnivers – consubstantielle à la Dualité – a opté pour le zéro symétrique.

Il n’y a qu’une force et sa cause est l’obligation d’inséparabilité des pôles de Bodys subquantiques pour garantir le zéro symétrique à défaut de l’impossible zéro absolu. Cette force coulombienne possède 5 composantes dont le boson transmetteur est toujours le Bodys subquantique tissant l’espace-temps.

La constante de Planck revisitée

Si cette constante est pratique, elle cache ses fondements physiques profonds car elle est basée sur la très importante constante M.L de l’électron selon :

L’omniprésence de ML = Cte, dans les relations connues est mal appréciée par mes collègues. Pourtant c’est la clé qui prouve que l’Omnivers est composé d’oscillateurs Bodys.

Au niveau subquantique et donc quantique, la notion de masse est toujours liée à la notion spatiale. Plus la masse est petite, plus son amplitude est grande.

Le zéro parfait de nature symétrique

Devant l’impossibilité du zéro absolu, le déterminisme de la Nature de l’omnivers n’a pas d’autre choix d’être sous la forme d’oscillateurs dipolaires offrant un parfait zéro de nature symétrique. Les cycles se suivent avec un potentiel (presque) infini de trouver la plus petite masse possible M au point zéro. A chaque cycle cela ouvre un potentiel d’amplitude L. Au fur et à mesure que ce potentiel L s’épuise, la masse grandit puisse rebroussent son chemin.

Si la masse M isolée est un scalaire, le couple ML est typiquement algébrique. Le zéro symétrique parfait, justifie une infinité de Bodys stochastiques non connexes. Il n’y a pas de continuum masse-espace-temps et donc pas d’écoulement du temps. Les deux corps confinés (les pôles) génèrent un troisième corps, le Bodys-zéro. L’entropie de désordre – presque infinie – ouvre un tel potentiel de brassages, que la probabilité de synchronisation en un BEC fécond, est unitaire.

La cause physique de la force coulombienne

A défaut de l’impossibilité du zéro masse absolue, le zéro symétrique exige l’inséparabilité des pôles qui doivent rebrousser leur chemin à leur amplitude maximale. Cela veut dire que l’existence ML de chacun des pôles n’a de sens que dans leur confinement ! Cela veut dire que l’éloignement des entités ML et ML’ génère une force justifiée par leur impossibilité d’exister hors de leur confinement. C’est le prix du zéro symétrique. Ainsi chaque entité ML génère une composante appelée charge électrique. C’est exactement ce que dit cette relation classique :

On rappelle que 10-7 représente l’unité (MKSA) de la permittivité du « vide » avec une dimension apte à transformer ML en charge électrique élémentaire.

Ainsi l’origine de la force coulombienne est l’obligation pour la Nature, de conserver le zéro symétrique via le lien causal entre les deux pôles oscillants.

Médiation de la force électromagnétique

Le modèle standard a éludé la cause physique de l’espace-temps en le remplaçant par un être mathématique capable de se courber. Comme très souvent, on a confondu l’effet et la cause. Le photon est juste un effet. La cause physique est le maillage de Bodys subquantiques qui constitue l’espace-temps.

Chacune des particules quantiques, est couplée avec des Bodys subquantiques. Ce couplage perturbe la symétrie des pôles de Bodys ce qui génère une courbure locale. Entre deux pôles de Bodys il n’existe aucun chemin direct ! Le seul chemin pour un photon de traverser un intervalle, est le passage par le point zéro commun du BEC.

Ainsi le boson médiateur est le Bodys subquantique. On a déjà vu que la vitesse quantique de la lumière est issue de la vitesse subquantique des Bodys.

Ci-après le processus de médiation d’un photon via les bosons Bodys qui tissent l’espace-temps. L’intervalle tangentiel x de chacune des couches varie comme la distance de la couche au point zéro commun. C’est cela qui fixe la constance de la vitesse de la lumière c. L’influence magnétique entre pôles voisins dans le BEC, passe également par le point zéro commun.

Exit le terme moyenâgeux de « vide ». L’espace-temps n’est pas un être mathématique mais un tissu subquantique discrétisé par des Bodys et compatible avec la théorie quantique.

Ci-dessous une rotonde de chemin de fer, à l’image du point zéro commun des Bodys dans un BEC.

3 réponses

  1. LC dit :

    Bonjour Mr Mareau,
    quelques questions qui nécessitent un éclairage:

    – Constante de Hubble: La dénomination constante est-elle bien choisie? En effet cette « constante » ne dépend-elle pas de notre position par rapport au centre du BEC fossile, et /ou du moment où elle est observée ? En effet, si on valide le modèle en couche, alors notre position va accélérer de 0.51c vers 2.5c, non linéairement, tandis que la couche extérieure de la bulle univers va décélérer vers 2.5c, également non linéairement. La constante de Hubble va donc varier.

    – trous noirs primordiaux: lors de la saturation/annihilation, les trous noirs primordiaux sur la surface de la couche qui vient de s’annihiler (presque entièrement, 1/137) entrent-ils en mitose immédiatement sans attendre que les BEC accrescent la matière?
    – mais cette matière est initialement des positrons et des électrons uniformément répartis sur cette couche. Pourquoi alors parle t-on de trou noir, qui suppose une concentration très importante de matière ?

    – Les atomes d’hydrogène sont-ils apparus en même temps que la mitose en 5 étapes, comme nécessité d’ajustement de l’équilibre des BEC fils? Est-ce eux qui ont conduits les trous noirs primordiaux à se « dédoubler » en 5 étapes

    – Masse noire: lors de la saturation/annihilation, l’annihilation de 136/137 de la matière a t-elle été totale? N’est-il pas envisageable qu’une partie de la masse noire actuellement observée aurait déjà pu être créée lors de la saturation/annihilation (non complète car 1/137 rescapée), en raison d’angles de recouvrement pas forcément à 180°? (il y avait une composante centripète à c et une radiale très petite)

    – la masse noire, participe t-elle a la masse d’un trou noir? (elle ne peut en effet être éjectée)

    – force coulombienne: dans un bodys a t-on besoin d’un lien causal entre les deux pôles? Chaque pole, pourrait très bien porter sa propre force de rappel qui augmente au fur et à mesure que L augmente. La symétrie 1D, nécessaire, fait comme si les deux pôles étaient causalement reliés (deux forces opposées pointant vers le centre du bodys) mais ce n’est pas forcément le cas. A la saturation, les deux pôles étant séparés, cette force de rappel centripète de chaque pole ne peut s’exprimer que radialement à travers tous les autres pôles séparés de sa demi circonférence du BEC, chacun restant connecté à une partie des Xi^11 bodys non séparés formant espace temps, via les perturbations locales.

    – dimension: Peut-on considérer le subquantique comme une dimension supplémentaire, non accessible à la matière?

    • Merci pour ces questions pertinentes.
      Voici ma première réponse pour la « constante » de Hubble : j’ai juste repris le terme courant mais en effet ce n’est pas une constante car elle correspond à notre position actuelle.

      Autres réponses à suivre …

      Merci LC

    • Les trous noirs primordiaux : c’est d’abord un amalgame de paires électron-positrons fusionnées entrant en expansion via leur impulsion subquantique finale à v = c. Ils entrainent les BECs fils qui eux sont en mode « mitose ».

      C’est au cours des 5 phases de la mitose-expansion que la fusion en protons se produit. Mais cette mitose concerne également les trous-noirs-galaxies en surdensité – qui en 5 phases – éjectent leurs étoiles. Cette précocité étonne grandement les tenants du modèle standard !

      Les trous noirs centraux actuels n’ont plus la « force » de se diviser à cause de la gravitation. Ils peuvent même regrossir sous certaines conditions. J’ai démontré ici (https://loiduo5.com/2024/01/23/les-galaxies-naissent-trou-noir/) que le mode « accrétion » est inutile puisque dès le départ la densité – énorme – ne peut que faire des trous noirs encore plus denses que ceux de Schwarzschild.

      Les atomes d’hydrogène sont apparus dès la fin de la mitose.

      Masse noire : l’annihilation primordiale n’a pas été complète grâce à une erreur statistique de synchronisation (voir k5). Elle a généré des pic aléatoires d’amplitudes qui ont amenés une partie (1/137²) à se situer au-delà du rayon moyen du BEC et échapper ainsi à l’annihilation. Sans cette erreur le BEC n’aurait pas été fécond. Mais il est impensable que l’aléa puisse statistiquement donner des valeurs absolues exactes.

      Masse noire + trou noir : cet amalgame me paraît peu probable car une partie des rayons cosmiques se recouvrent et font la masse noire qui est en effet, éjectée. Cependant à plus grande échelle, les collisions de galaxies pourraient créer cet amalgame.

      Lien causal Bodys : la clé est le paradoxe existentiel. a défaut du zéro absolu la Nature ne peut faire autrement que de se contenter du zéro symétrique. Pour ce faire il faut que la causalité soit maintenue. Comment ? Comme on sait que les charges e² sont fonctions de ML= Cte, alors elles restent constantes.
      La présence ML d’un pôle – injustifiable pour la nature – la rend causalement liée avec son ML opposé.
      Après la brisure radiale due à la fusion généralisée, le lien est conservée avec la gravitation mais avec une constante de temps qui passe de te à xi^5 te voir l’article « expansion ». Cela veut dure que même à l’échelle de la Bulle-Univers, le zéro paramètre physique est garantit dans un certain laps de temps.

      Subquantique : Il est accessible à la matière car : a) la médiation du photon passe par le point zéro du BEC ; b) le rayon de Compton d’un électron englobe l’intervalle entre Bodys. Mais si son énergie augmente par sa vitesse, alors il augmente son habillage jusqu’à ce qu’il deviennent relativiste. Il y a bien un lien quantique ↔ subquantique. Par exemple le spin d’un électron est partagé avec son Bodys couplé.

      Amitiés et merci pour ces questions pertinentes.

      Dominique MAREAU

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