Trous noirs ultra-précoces

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Trous noirs ultra-précoces

Ci-dessus une galaxie sous forme de trou noir primordial dont le début de mitose a réduit sa densité par l’émergence des premières étoiles. Chacune des 150 milliards (ξ) galaxies noires réparties sur l’aire du BEC-fossile, est amenée à se diviser en 150 milliards (ξ) d’étoiles. Cependant en fin de mitose, c’est la force gravitationnelle qui l’emporte et le vestige du trou noir primordial, passe du mode « mitose » au mode « accrétion ».

Futura-Sciences revient sur les dernières observations du télescope James-Webb qui montrent clairement que des trous noirs hypermassifs sont déjà présents juste après le Big Bang !

Extrait de l’article du 2 juin de Futura-Sciences :

« On trouve notamment de grands trous noirs supermassifs contenant déjà plus de masse que celui de notre Voie lactée aujourd’hui. C’est un problème pour le modèle cosmologique standard basé sur la matière noire et l’énergie noire. Nous n’en sommes pas encore à une réfutation, mais elle pourrait finir par arriver et nous conduire à adopter une nouvelle loi de la gravitation et/ou de la mécanique dans le cadre de la théorie Mond« .

Le modèle standard en est encore à considérer que l’origine des trous noirs, vient de l’effondrement de la matière. Il confond le comportement actuel – basé sur l’accrétion de matière – avec le processus primordial de division par mitose. La théorie « MOND » spécule sur une autre source de la gravitation sans toutefois la relier à une explication physique globale. Or la loi DUO5 montre clairement qu’il existe une source de gravitation faible (5eme force) qui s’inscrit dans la qualité des occurrences physiques globales de l’état d’univers en expansion. Cette source est relative aux couplages Bodys ↔ matière ↔ BEC-fils, qui forment l’espace-temps. Elle est intimement liée à l’accélération de l’expansion. Cette force ne remplace pas la matière noire (niée par MOND) qui par ailleurs est expliquée par la loi DUO5, non pas par une spéculation supplémentaire, mais dans le cadre logico-déductif des occurrences physiques globales.

Le paradoxe de la spécialisation

Nous bénéficions des spécialistes en médecine ou en recherches appliquées, qui ouvrent de nouvelles perspectives de soins pour des maladies auparavant incurables. Ce bénéfice est à mettre au crédit de toutes les sciences appliquées. Mais paradoxalement, la spécialisation à outrance, nuit fortement aux avancées concernant la compréhension de l’univers, qui réclame une dualité associative entre généralistes et spécialistes. En effet, l’effort de spécialisation se fait au détriment de la vue généraliste qui ouvre la voie itérative par l’exigence de la vérification des occurrences globales. Ainsi l’étude standard des trous noirs s’appuie sur leur tendance actuelle à l’accrétion, alors que lors du BIG-BANG, c’est le mode mitose qui l’emportait sur le mode accrétion.

La loi DUO5 tient compte du paradoxe de la spécialisation, en s’appuyant sur la voie itérative alternant entre la vue locale et la vue globale. Or la vue globale amène naturellement au paradoxe existentiel qui règne dans l’omnivers éternel à forte entropie informationnelle. La nature résout ce paradoxe car le zéro absolu mathématique – inspiré de l’unicité mystique – est juste une espérance non réalisable pour la physique fondamentale. Seul le zéro symétrique est consubstantiel à la physique fondamentale. Débarrassé de cette croyance mathématique, la loi DUO5, par itérations logico-déductives, démontre clairement que l’état stochastique (à haute entropie informationnelle) débouche sur une synchronisation partielle (à basse entropie informationnelle) matérialisée par la saturation d’un Condensat de Bose Einstein (BEC-fossile) de taille cosmique. Sa symétrie débouche sur un zéro symétrique physique global. La loi DUO5 démontre que cette saturation débouche sur la séparation causale des dipôles formant le zéro du BEC-fossile. Cette séparation révèle chaque pôle et forme le continuum masse-espace-temps dans le cadre de la mitose primordiale. Ainsi sur l’aire de ce BEC apparait 150 milliards de galaxies tellement denses, qu’elles naissent sous forme de trous noirs. C’est la mitose-expansion qui permet de diminuer la densité et donc faire apparaitre les étoiles qui composent chaque galaxie. C’est bien ce qu’observe le télescope James-Webb., c’est-à-dire des trous noirs primordiaux extrêmement massifs.

Le modèle standard évoque l’idée des trous noirs primordiaux par leur haute densité primordiale, mais en conservant l’erreur relative à l’accrétion. L’idée que l’hyperdensité soit vraiment primordiale n’effleure pas leur esprit ! La spécialisation – via l’apprentissage par coeur – tue l’aptitude logico-déductive et donc l’imagination. Les anciens ont toujours vu les trous noirs comme résultant de l’accrétion ou de l’effondrement gravitationnel. Une majorité des théoriciens standards actuels, éludent les observations récentes pour ne pas remettre en cause leur apprentissage par coeur.

Ce paradoxe s’explique par le choix des « anciens » de considérer l’unicité des localités. Ils se sont persuadés que l’expérience locale avait le statut d’universalité par une interprétation simpliste du « principe cosmologiste ». Cette spéculation se traduit par une aversion de la dualité de localité. Et pourtant beaucoup d’expériences actuelles montrent que la Dualité est consubstantielle à la Nature. La croyance en l’unicité – inscrite dans le cerveau reptilien – est en fait une espérance (héritée de l’état d’univers stochastique) d’obtenir l’impossible zéro absolu. C’est ce paradoxe existentiel qui EXPLIQUE l’existence de l’univers qui est forcé de chercher éternellement le zéro absolu, y compris dans le cadre de la dualité des dipôles.

Dis moi ton paradoxe, je te dirais qui tu es

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