Le Big-Bang est la mitose du BEC-fossile qui produit d’abord des trous noirs galactiques

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Le Big-Bang est la mitose du BEC-fossile qui produit d’abord des trous noirs galactiques

Merci à James-Webb !

Le modèle standard indique que le Big Bang définit le début de l’univers observable, il y a 13,8 milliards d’années. C’est la théorie la plus largement acceptée pour « expliquer » l’histoire de notre Univers.

Par son approche inédite et purement physique, la loi DUO5, confirme cet âge. Cependant elle s’inscrit en faux sur le terme « expliqué« . En effet, le modèle standard n’est qu’un modèle qui peut éventuellement décrire mais pas « expliquer » le Big-Bang. Ce modèle s’appuie sur des spéculations telles que des fluctuations empruntées à l’observation locale de ce monde déjà existant. Selon DUO5, ces fluctuations observables sont générées par le couplage entres les particules et le maillage par les Bodys formant l’espace-temps. L’espace-temps n’est pas un être mathématique dont les effets sont décris par Einstein, mais bien un être physique dont les causes son expliquées par DUO5.

Ensuite le modèle standard, évoque une période sombre qui dure 380 000 ans suivie d’une accrétion des gaz sensée produire des fusion d’étoiles après au moins un milliard d’années. Cette idée est démentie par James-Webb qui voit briller des étoiles après seulement 0,4 milliards d’années. Faisant fi de ces mesures, certains cosmologistes continuent à « croire » en ce modèle d’accrétion de gaz qui ne concerne que les étoiles de seconde génération.

Reporter au « début » les processus passés telles que les fluctuations ou l’accrétion de gaz, est une spéculation. L’accrétion des gaz ne se produit qu’après l’explosion des premières étoiles. L’existence de galaxies munies d’étoiles, n’est pas magique ! C’est la conséquence de la mitose fractale partant de l’aire du BEC-fossile. La densité est telle que les galaxies sont sous forme de trous noirs, calibrés à un rayon RG1 = 6.6×1013 m. La période est effectivement sombre car ces trous noirs galactiques sont plus petits que le rayon de Schwarzschild qui est de RSCH = 1,52×1017 m. A la vitesse moyenne d’expansion fixée à 2,5 c, il faudra attendre 150 millions d’années pour que la mitose-expansion permette de dépasser le rayon de Schwarzschild, pour que brillent les premières étoiles. Il s’agit de celles situées en périphérie de l’immense trou noir central. La mitose et l’accrétion d’un trou noir, sont deux forces contraires qui s’équilibrent à terme. A 400 millions d’années après le Big-Bang, James Webb mesure surtout des étoiles de second génération, en mode accrétion des gaz issus de la première génération. L’accrétion au niveau stellaire est accélérée car la mitose est en cours d’augmentation du rayon galactique pour arriver à terme à RG2 = 5×1020 m soit 53 000 années-lumière. Le rayon initial des étoiles calibrées passe de 4×106 m à 7×108 m accélérant ainsi la lente accrétion gravitationnelle.

Un grand merci aux équipes de James-Webb qui confirment la loi DUO5 en indiquant que les galaxies primordiales sont des trous noirs. La mitose-expansion augmente leur volume ce qui diminue leur densité jusqu’à ce que les premières étoiles puissent briller.

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