Galaxie naine isolée

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Galaxie naine isolée

Ci-dessus une collision de galaxies qui produit de la matière noire par annihilation partielle issue du recouvrement angulaire d’éléments initialement séparés sur le BEC-fossile. Quelques fois on observe une galaxie qui apparait naine car elle est majoritairement faite de matière noire.

La galaxie, baptisée PEARLSDG, s’est avérée non seulement ne pas interagir avec une galaxie proche, mais ne pas former non plus de nouvelles étoiles. Elle correspond à une des rares « galaxie isolée et au repos ». « Ce que nous savons de l’évolution des galaxies nous dit même qu’elles ne devraient pas exister », précise Tim Carleton, chercheur à l’université de l’État de l’Arizona, dans un communiqué.

Cette découverte bouleverse la compréhension que les astronomes du modèle standard ont de la façon dont les galaxies se forment et évoluent. Les travaux des chercheurs de l’université de l’État de l’Arizona suggèrent que de nombreuses galaxies isolées et au repos pourraient n’attendre que d’être identifiées.

Pour la loi DUO5 ce n’est pas une surprise puisqu’elle indique que les galaxies naines sont majoritairement faite de matière noire. En effet, les collisions de galaxies reviennent à un recouvrement partiel des séparations angulaires originelles sur le BEC-fossile. Ce recouvrement annihile partiellement les paires électron-positrons héritées des pôles de Bodys séparés. Ce recouvrement atteint leur intégrité par annihilation partielle et la paire amputée, ne peut plus fusionner en protons-neutrons. Par exemple, pour un angle relatif de 0,1% la masse d’un électron se réduit à 99,9 % de sa masse initiale et perd son aptitude à fusionner. Ainsi la matière noire est un amalgame informe de paires dénaturées et donc incapables de fusionner et de produire la raie à 21 cm.

La matière noire est un amas de matière ayant perdu son aptitude à fusionner en protons-neutrons. C’est l’altération de son couplage avec les Bodys des BECs formant l’espace-temps, qui la laisse filer en dehors du halo (serré) des galaxies. Ainsi c’est le faible couplage des « étoiles noires » qui peuplent les BEC-fils formant l’espace intergalactique, qui explique que l’expansion est limitée à l’espace intergalactique. Cette expansion est non possible dans les BEC-fils serrés des galaxies visibles. Ces « étoiles noires » sont identifiées comme zoom gravitationnel.

Dans certaines collisions de galaxies des pans de matière noire, sont éjectés en entrainant des parties non recouvrées. La galaxie résultante – vue comme une naine – est en fait une galaxie de masse normale dont la majorité est sous forme de matière noire informe. Ce scénario est signé par l’extension de leur halo. Or, la loi DUO5, montre clairement que le halo des galaxies est un enchevêtrement très serré de BEC-fils issus de la mitose du BEC-fossile.

Les BEC-fils forment l’espace-temps

On sait que l’espace intergalactique subi l’expansion contrairement à l’espace du halo galactique. La loi DUO5 montre que le couplage BEC-matière visible est suffisamment puissant pour que les BEC-fils formant halo galactique, soient très serrés. Cependant les BEC-fils intergalactiques interagissent avec la matière noire dont le taux de couplage est faible. Ce faible couplage de la matière noire, est responsable de son éjection des galaxies pour alimenter l’espace intergalactique. C’est la raison pour laquelle l’expansion se traduit par le désenchevêtrement des BEC-fils intergalactiques. Les zooms gravitationnelles sont les témoins des « masses noires » peuplant l’espace intergalactique, soumis à l’expansion.

Ainsi les galaxies naines sont majoritairement faite de matière noire d’où émerge une minorité d’étoiles qui ont été épargnées par les recouvrements angulaires propices à l’annihilation partielle. Les intenses sursauts gamma, sont des annihilations partielles dues aux recouvrements angulaires provoqués par les collisions. Il faut noter, que l’on observe bien les nuages de matière noire, issue des collisions de galaxies.

L’espace temps n’est pas l’être mathématique proposé par Einstein, mais bien un être physique représenté par l’enchevêtrement de BEC-fils, eux-mêmes tissés par les Bodys subquantiques.

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