Masse, longueur et temps de Planck
A partir de la constante de Planck :
on voit que sa base fondamentale est la constante ML = Cte de l’électron. Planck a construit ces trois unités par l’excellent moyen de la cohérence dimensionnelle. Cependant cette analyse très pratique, ne permet pas de voir les éventuels coefficients. La constante de Planck cache le fait qu’elle exprime les paramètres élémentaires {masse-espace-temps} (MLT) de l’électron.
La constante de gravitation :
Là encore on s’aperçoit qu’elle est construite à travers des seuls paramètres de l’électron selon :
Avec le coefficient ξ4 qui joue un rôle important dans la loi DUO5.
La vitesse de la lumière dans l’espace-temps
On a vu que ƛe est l’intervalle élémentaire d’un BEC-fils qui est la source physique de la longueur de Compton de l’électron. C’est ainsi que la vitesse de la lumière circule dans le temps élémentaire te.
Le temps de Planck
Il est exprimé par :
Mais en détaillant avec les éléments acquis plus haut on obtient avec G en rouge h en noir et c en bleu :
on obtient le même résultat en incluant de coefficient ξ4.
La longueur de Planck
se traduit en détail avec G en rouge h en noir et c en bleu :
La masse de Planck
Le modèle standard ne comprend la source de cette masse hyper forte, pas plus qu’il ne connait la source physique de la longueur et temps de Planck. En revanche, la loi DUO5 indique qu’il s’agit de paramètres relatifs au domaine subquantique des Bodys. Son expression classique :
Montre une masse de 2,17×10-8 kg qui ne correspond à rien de connu. Pour la loi DUO5 ce serait la masse d’un électron si la mitose ξ2 n’avait pas eu lieu ! En revanche, le détail montre que cette masse correspond au pôle subquantique au point zéro du BEC. On obtient avec G en rouge h en noir et c en bleu ::
Ci-après l’évolution des pôles de Bodys suivant la loi M.L = Cte. Au point zéro commun ƛz la masse – réduite à la masse de Planck subquantique mps – possède la même impulsion m . v que la masse de l’électron dans le flou du point de rebroussement où v= c. C’est l’augmentation de la masse qui réduit la vitesse au point de rebroussement. Ensuite c’est la force coulombienne qui inverse le mouvement et le cycle se poursuit.
Comme la circonférence du BEC contient exactement ξ3 pôles d’intervalle ƛe , alors la circonférence du point zéro, contient également ξ3 pôles d’intervalle ℓp .
Origine de la force coulombienne
Ci-après on voit bien la stricte équivalence entre l’attirance des 2 pôles opposés divisés par le temps d’un cycle élevé au carré et la force de nature « électrique ».
Mais la charge électrique est juste une composante du couple élémentaire M.L.
On a arbitrairement ajusté les dimensions adéquates à 107 pour satisfaire le domaine « électrique » très utile pour les applications pratiques. Mais la réalité physique est inscrite dans la solution du paradoxe existentiel qui exige la non rupture du lien entre les deux pôles opposés de chaque Bodys garantissant le zéro parfait symétrique à défaut de l’impossible zéro absolu.
La justification de l’existence de la force coulombienne est donnée par la solution du paradoxe existentiel qui exige la non rupture du lien entre les deux pôles opposés de chaque Bodys, garantissant le zéro parfait symétrique à défaut de l’impossible zéro absolu.