Cycle Carbone-Azote-Oxygène
Pour bien comprendre ce qui va suivre, il convient de rappeler les règles de la loi DUO5-KOIDE. Cette loi indique clairement que le statut des paires électron-positrons créées localement est différent du statut des paires créées non localement à l’origine du BEC-fossile. En effet, ces dernières ont été causalement séparées à l’origine, de telle sorte que les éléments voisins peuvent fusionner sans s’annihiler. Ainsi la paire créée localement (non séparée) s’annihile alors que les paires créées non localement, ont un statut de boson, apte à fusionner. En se limitant à la vue étriquée de l’expérimentation locale, le modèle standard se prive de résoudre les quelques 100 énigmes qu’il n’ose plus regarder en face !
Trois dualités fondamentales se conjuguent : a) la dualité de localité ; b) la dualité onde↔corpuscule; c) la dualité de masquage de type « opposition » et « superposition »
Ci-après, sont imagés quatre cas de figures :
A) une paire électron-positron (état corpusculaire) créée localement forme un positronium qui s’annihile en 100 ns ;
B) une paire de pôles de Bodys subquantique (état corpuscule) non-locale, reste stable en oscillant par opposition, car elle est causalement séparée. Son masquage par opposition annule ses masses opposées M et ses charges Q ;
C) L’extraction subquantique (B) d’un Bodys (deux pôles) prend la forme d’un neutrino;
D) Tous les noyaux d’atome possèdent une partie neutre majoritaire, composée de paires électron-positrons fusionnées, sous forme d’ondes confinées et dont les charges Q sont masquées par superposition.
Représentation standard du cycle C-N-O
Les cosmologistes indiquent que le cycle de fusions C-N-O est le carburant des étoiles plus massiques que le soleil. Il présente ce cycle selon :
Dans lequel on note : a) les atomes sont représentés arbitrairement en mode « grappes de raisins » enchevêtrés, b) les 2 positrons éjectés ne sont pas représentés en rouge pour signifier leur charge positive. Pourtant la constance du bilan ce cycle, implique sans conteste, l’interchangeabilité des positrons dans ou hors des protons.
Séquence standard de la fusion de deux protons
image naïve standard
L’émission du positron émis (représenté en vert en lieu et place du rouge) n’est pas expliquée par le modèle standard. Pourtant il apparaît clairement qu’un proton perdant sa charge positive devient aussitôt un neutron, neutre de son état.
Fusion de deux protons selon la loi DUO5
Selon la loi DUO5, le nombre 1 affiché en exposant dans le symbole du proton :
équivaut à la partie neutre commune, composée de 1840 unités nues selon la loi DUO5-KOIDE. Il s’agit de 920 paires électron-positrons masquées par superposition et réparties en 4 groupes de 230 paires ou 460 unités. Selon la loi universelle M.L = Cte, c’est la masse M = 460 unités d’un de ces groupes, qui fixe le rayon L du proton, relativement au rayon de Compton d’un seul électron. La loi DUO5 propose de modifier l’écriture selon :
Il y a ainsi une corrélation d’unité entre le nombre 1 (en indice) qui représente le positron célibataire et responsable de la charge e+ du proton et le nombre (1840) d’unités masquées. On a vu que les 4 groupes (460 unités nues chacun), génèrent 3 intervalles. Ces 3 intervalles – polarisés en interaction avec le positron célibataire – sont identifiés comme des quarks. Les quarks ne sont que des EFFETS et non des CAUSES.
La partie neutre du proton est constitué de 1840 unités nues ou 920 paires neutres . La neutralité de charge, est obtenue par le masquage des paires en mode « superposé ». C’est le positron e+ qui est strictement responsable de sa charge. La fusion provoque deux évènements : a) la force coulombienne repoussant les deux positrons l’emporte sur celle de la polarisation des couches neutres qui les retient confinés. Donc cette force repoussante éjecte le positron le plus périphérique ; b) cette éjection provoque un di/dt qui extrait un Bodys subquantique composé de deux unités neutres masquées en mode « opposé ». Le masquage en mode « opposé » étant incompatible avec le mode « superposé » des couches neutres, cette paire est éjectée sous forme de neutrino.
L’hélium 4
Selon DUO5, la séquence est la suivante :
Dans laquelle les 2+3 paquets neutres de 1842 unités nues, se divisent en un hélium et un neutron.
Le cycle C-N-O selon la loi DUO5
La représentation ci-après montre bien le cycle des paquets neutres de 1840. Le cycle positron soit : 2 positrons éjectés 1p et remplacés par 4 positrons 1H auquel on soustrait l’éjection de 2He. Cette compensation prouve une fois de plus que les atomes sont des additions de parties neutres (1840) et de positrons, selon le mode du proton.
Avec Hb le taux d’habillage. On voit nettement que la charge du positron seul, est interchangeable avec celle des noyaux d’atomes.
Deux type de bilan structurel sont à vérifier comme étant nul au cours de ce cycle :
1/ Le bilan des parties neutres repose : a) sur l’apport successif de 4 H soit 4×1840 ; b) de deux extractions subquantiques de 2 unités neutres et de leurs éjections sous forme de 2 neutrinos ; c) de l’éjection de He qui emporte 4×1840 unités.
2/ Le bilan des charges électriques positives repose sur l’apport successif de 4 positrons contenus dans les 4 protons et de leurs éjections sous la forme de 2 positrons seuls et 2 positrons inclus dans l’hélium émis en fin de cycle. Ci-après la forme symbolique structurelle, revue selon la loi DUO5 :
On note que le positron et le neutrino possèdent 0 paquet neutre de 1840. Le neutrino possède une masse nulle impliquant 1 positron en opposition avec 1 électron.
Conclusion
Le modèle standard est tellement gêné par ce positron + éjecté qu’il le peint en vert ou en gris. en éludant l’implication du positron dans les noyaux, on ne peut faire correctement le bilan des charges positives dans le cycle CNO. Il y a bien équivalence entre le + d’un proton et le + d’un positron. A cause d’un fausse dichotomie commise il y a plus d’un siècle, les tenants du modèle standard ont du mal à comprendre la dualité de localité qui se traduit par deux statuts pour la paire électron-positron. En ne se basant que sur le statut étriqué et local où cette paire est instable, le modèle standard passe à côté de la création non locale qui lui confère un statut de boson et donc apte à former des paquets neutres par superposition. La loi DUO5-KOIDE montre toutes les occurrences qui vont dans ce sens. La paire électron-positron héritée des pôles de Bodys SEPARES est la base unique de toute la matière. Paradoxalement, l’expansion de l’univers se traduit aussi par des recouvrements spatiaux qui altèrent la SEPARATION originelle et provoque une annihilation partielle qui est la CAUSE de la DM. Ce concept d’annihilation partielle n’est pas reproductible localement Il y a pourtant de nombreuses expériences qui montrent clairement le rôle fondamentale de la dualité de localité.
Une réponse
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