confirmation du ratio ξ par les observations

Le ratio ξ = 1.54581978898×1011 est le ratio universel (de source aléatoire) qui relève de la moyenne des caractéristiques des Bodys stochastiques qui se sont synchronisés en fusionnant dans le BEC-fossile. On le retrouve dans les relations qui suivent et notamment entre les caractéristiques de Planck et de l’électron.
Dans le chapitre « électron-positron », on a vu que l’origine de cette paire est la paire de pôles d’un Bodys. A cause de la saturation du BEC-fossile (exprimée par la réduction critique de l’intervalle élémentaire) les charges de ces pôles ont été brutalement masquées. Ce masquage par superposition à brisé le lien entre les pôles d’une partie des Bodys. Leur statut dipolaire, passé au statut monopolaire, a révélé ses paramètres physiques auparavant masqués par « opposition ».
On a vu que la « réussite » de la Bulle-Univers, dépend de ratios assez précis, relatifs à la moyenne des Bodys stochastiques en cours de synchronisation dans le BEC-fossile. Cela sous-tend que la naissance de notre BEC-fossile a été « précédé » par un nombre incalculable d’essais infructueux. Mais comme le temps stochastique ne s’écoule pas, il existe un potentiel infini d’essais infructueux. Ce qui pourrait être interprété comme un déterminisme est en fait le résultat d’un potentiel infini « d’essais » qui ouvre une probabilité non nulle d’obtenir l’enchaînement de ratios susceptibles d’accoucher la Bulle-Univers que nous observons.
Non seulement la probabilité de fusion-synchronisation entre deux Bodys est extrêmement faible, mais en plus il faut que le flux de synchronisation s’approche d’un certain ratio. On a vu que la clé de la réussite passe par le ratio ξ5 entre l’amplitude spatiale d’un pôle et son épaisseur. Ce ratio n’a rien à voir avec la valeur absolue des unités [M, L, T ]arbitrairement choisies. Mais on démontre une cohérence complète en fixant l’épaisseur moyenne des Bodys synchronisés à la longueur de Planck. Par ailleurs on a montré que le rayon d’un BEC-fils (identique au BEC-fossile) à la longueur de Planck. Par ailleurs on a montré que le rayon d’un BEC-fils (identique au BEC-fossile) a un rayon de R = 1.42640564892734×1021 m soit environ 150 000 années-lumière ou 3 fois le rayon de la Galaxie.

De plus, la seule et unique particule élémentaire composite et stable, de toute toute la matière – le proton P = 1836.15 – a forcément un lien avec ξ et la constance de structure fine qui représente un élément de la mitose. Or cette relation est inédite :

Exprimer la masse du proton par un ratio permet de se détacher des unités arbitraires de la physique. On a en plus, le ratio de sa masse en unité nue selon :

Avec Φ étant strictement relié à la masse nue et neutre du proton selon :

L’ajustement fin de l’approximation statistique de ξ se joue sur le taux de couplage du proton pour « réussir » une Bulle-Univers équilibrée.
cette probabilité quasi nulle est compensée par le non écoulement de temps de l’état stochastique. Le nombre de BEC-fossiles avortés, est très largement majoritaire. L’accélération exponentielle du flux de synchronisation du BEC « en avance », interdit toute possibilité d’avoir plusieurs bulles contemporaines car le temps de son cycle est très largement inférieur a l’équivalent « temps » pour l’émergence statistique d’un autre BEC.
La cohérence du système d’unités SI est parfaite. Cependant comme ses unités ont été arbitrairement choisies, les causes canoniques ne peuvent s’exprimer qu’en mode « ratio ». Ainsi voici le tableau général des ratios ξ :

A ces 12 ratios dérivés, s’ajoute l’infinité du nombre de Bodys-zéro propre à l’état global, permanent et stochastique. L’état stochastique contient un potentiel d’informations brouillées et infinies. Le néant est le résultat du masquage généralisé par opposition. Ensuite on vérifie que le ratio entre la force coulombienne et la force gravitationnelle entre une paire électron-positron, correspond exactement au nombre de pôles séparés sur une géodésique du BEC-fossile :

Cela est cohérent avec les ξ8 pôles sur l’aire du BEC-fossile, qui sont devenus électron-positrons. La constante de structure fine correspond au ratio 1D d’annihilation primordiale. En 2D la masse initiale de la Bulle-Univers revient à :

Soit 1044 kg pour les galaxies primordiales et 1033 kg pour les étoiles primordiales dont on estime qu’elles sont ~300 fois plus massives que le soleil. Il y a également le ratio (mesurable) entre les paramètres de l’électron et ceux de Planck selon :

Les paramètres de Planck correspondent aux pôles de Bodys avec une interprétation adéquate de la masse d’un pôle. Sous la forme « masse-énergie » elle est effectivement ξ2 fois plus forte que celle de l’électron alors que sous la forme « masse » elle est ξ2 fois plus faible que celle de l’électron. La masse de Planck est également celle qu’aurait un proton (divisée par 1836.15) dans un scénario (raté ou altéré) sans mitose.
Avec cette relation qui donne le rayon maximale de l’expansion en le comparant à la relation d’Eddington, on obtient la valeur précise de la constante de gravitation G et celle du ratio ξ :

Soit :


18 réponses
Interessant
[…] un intense brassage statistique auquel on peut estimer un équivalent temps pour synchroniser les ξ11 = 10123 Bodys du BEC-fossile. Pour cela on prend comme temps élémentaire (te,= 10-21 s) soit l’inverse de la fréquence […]
[…] ξ = 1,54581978898386×1011 largement recoupée et expliqué par plusieurs voies […]
[…] terme subquantique (en rouge) possède au dénominateur, une permittivité subquantique εs , ξ6 fois plus faible que εo mais compensée par R², ξ6 fois plus grand que ƛe². Dans le second […]
[…] Einstein) est de : R = 1,42×1021 m ou 200 000 années-lumière. A sa saturation, il est formé de ξ11 (1,2×10123) Bodys synchronisés partageant le même « point zéro commun ». Le BEC-fossile est […]
[…] les ξ2/α² BEC-fils ont la même taille que le BEC-fossile, l’aire consolidée maximale est donc […]
[…] au « point zéro » fixé par la moyenne du lot de Bodys synchronisés. Ce point de Planck est ξ5 fois plus petit que le rayon du BEC et on peut vérifier qu’il est ξ2 fois plus petit que la […]
[…] ou le magique « Fiat Lux ». La température de Planck (Tp = 1.4×1032 K) qui est ξ2 fois plus forte que celle de l’électron (Te = 6×109 K) est une spéculation car elle […]
[…] Les deux premières échelles (étoiles et galaxies) sont issues de la répétition du facteur ξ soit ξ galaxies disposées sur la circonférence du BEC-fossile et chacune, […]
[…] des 5 phases de mitose. La galaxie primordiale typique est un trou noir de masse relative à : N = ξ7/ α² paires électron-positrons sur ξ8/ α² en tout. Sur l’aire du BEC-fossile, […]
[…] facteur ξ4 représente le nombre de paires électron-positrons, présents sur la demi circonférence du […]
[…] cs, propre à l’oscillation des pôles de Bodys. Cette vitesse subquantique varie de : cs = c ξ2 à la sortie du point zéro commun, à c, au point de rebroussement du BEC. Mais l’intervalle […]
[…] DUO5 et la loi KOIDE élargie, le soleil est une des ξ étoiles intégrées dans le trou noir de la Galaxie primordiale, présent sur l’aire du […]
[…] toutes les protogalaxies, la masse initiale de chacune des ξ galaxies présentes sur l’aire 2D du BEC-fossile, était de […]
[…] Pourtant la symétrie flagrante entre le positron et l’électron, donne la clé du ratio universel ξ . Cette clé donne la cause de la gravitation. Ce même ratio ξ2 est également ignoré alors […]
[…] particules est ci-après justifiée par les deux grands ratios non locaux de l’univers ξ & […]
[…] loi révèle le facteur ξ4 via des relations connues soit […]
[…] La loi n° 5 indique que la vitesse subquantique (cs) des pôles à la sortie du PZC, vaut ξ² fois la vitesse c. Selon la loi n° 3 (M.L = Cte) la masse du pôle arrivé au point de […]