Fonctionnement des Bodys
L’image ci-dessus représente les 5 échelles à l’intérieur d’un BEC-fils : a) le rayon du point zéro du BEC-fossile ou le rayon de la future étoile (primordiale) ƛs ; b) le rayon du point zéro ƛz ; c) le rayon de Compton de l’électron ƛe ; d) le rayon intermédiaire ƛo et d) la longueur de Planck.
Le graphe ci-dessous représente l’évolution des 2 pôles opposés d’un Bodys synchronisé et seul. C’est un cas d’école car par définition un Bodys synchronisé n’est pas seul. La vitesse varie entre le point de rebroussement à c, et le point zéro du croisement à la vitesse : c ξ5 .
figure 1
Ci-après l’évolution des échelles spatiales, massiques, temporelles et charges. On remarque que le produit {espace × masse} est bien constant. Le point de rebroussement est l’amplitude du Bodys (futur rayon du BEC).
Masse de Planck subquantique
Selon la loi ML = Cte, la première masse de Planck subquantique est donnée par :
Mais au point zéro, la figure 1 indique une masse subquantique encore plus faible :
Charge élémentaire proche du croisement des pôles
Le carré de la charge élémentaire eo au point zéro est diminué de ξ5 par rapport à la masse de l’électron et de ξ² par rapport à sa longueur de Compton :
Permittivité au point zéro
La permittivité au point de rebroussement est celle attribuée au « vide » soit ;
En adaptant la formule du second terme, aux paramètres subquantique du point zéro, on obtient :
La masse mps est celle du point zéro dans un BEC-fils (figure 2). Dans le cadre du Bodys subquantique (1D), le ratio α / 4 π est inutile.
Force de freinage proche du croisement
La force s’annule au croisement par le masquage des charges. Mais aux alentours, la force attractive coulombienne, freine l’impulsion des deux pôles en cours d’expansion spatiale.
Décélération fixant le rayon du BEC
Le gamma de décélération est de :
La force de freinage exercée au point zéro, permet l’arrêt au point de rebroussement du Bodys :
La force Fe relative à la masse de l’électron et la charge élémentaire est ξ4 fois moins intense que la force de freinage Fo de l’expansion :
Comme la notion de frottement n’existe pas au niveau subquantique, les pôles de Bodys peuvent osciller indéfiniment hors perturbation. Les deux forces opposées sont équilibrées.
La dualité des pôles est complète car elle est à la fois de type « opposition » et complémentaire. Elle forme le Bodys, troisième corps présentant un parfait zéro de type symétrique.
En mode BEC-étoile, les ξ6 pôles d’une couche sont disposés sur l’aire du point zéro avec un intervalle incompressible, égal à la longueur de Planck. Ils peuvent être contenus en forme de « boules de Planck » dans le volume du rayon de la longueur de Compton de l’électron. C’est le lieu de croisement.
Figure 2
Le croisement des ξ6 pôles d’une couche ( ξ3 en 1D) ne change rien au fonctionnement.
La fusion sur l’aire du BEC-fossile
Ci-après, le point zéro est agrandi du facteur ξ par rapport aux BEC-fils.
Figure 3
Lors de la saturation du BEC-fossile, l’intervalle tangentiel est réduit selon : ƛo = ƛe / ξ. Juste avant le rebroussement, la vitesse est réduite à c. C’est ainsi que la force de Coulomb l’emporte sur la Force de Laplace et provoque la fusion généralisée. Avec le courant i = e / te la force repoussante de Laplace FL = 2,39×108 N, est donnée par :
La force attractive de Coulomb FC = 3,28×1010 N, est donnée par :
L’accélération est donnée par :
Et le déplacement provoquant la fusion est de :
Le temps de référence tp1 = te ƛo / ƛe = te / ξ. Comme le déplacement tangentiel est strictement égal à l’intervalle réduit, il y a bien fusion entre chaque élément voisin. Le ratio FC/ΔF = 1,0077, indique qu’à la fin du parcours, les charges – quasi masquées – annulent la force de Laplace. La fusion brise le lien radial des pôles de Bodys et les paramètres des pôles sont révélés en paires électron-positrons. Ces paires conservent leur impulsion à vitesse c, ce qui provoque la mitose-expansion.
Conclusion
On peut dire également que le freinage des pôles de Bodys en expansion, dépend de la loi universelle :
En effet, la croissance ΔM d’un pôle M, au dépend de la décroissance ΔL du potentiel spatial L, se traduit pour son impulsion M v, par une décroissance de v. Cela est cohérent avec la définition classique de la charge électrique : e² = f(ML) et des forces qui en découlent.