La mitose des trous noirs primordiaux
Ci-dessus une figure simplifiée d’une galaxie type actuelle, vue avec ses éléments subquantiques : a) le halo constitué de BECs enchevêtrés (serrés) ; b) le halo central constitué de BECs strictement empilés qui est propre au trou noir ; c) la part visible de la galaxie ; d) le trou noir central.
La vue actuelle d’une galaxie typique :
Figure 1
On ne voit que la partie visible et pourtant on sait – par des moyens observationnels indirects – qu’elle possède un trou noir et un halo typiquement 4 fois plus étendu que la partie visible.
La même vue avec ses attributs subquantiques mis en avant
Figure 2
On retrouve : a) le halo constitué de BECs enchevêtrés (serrés) ; b) le halo central constitué de BECs strictement empilés qui est propre au trou noir ; c) la part visible de la galaxie ; d) le trou noir central. C’est justement cet empilement qui – réduisant les intervalles élémentaires – produit des éjections relativistes de pôles de Bodys qui s’observent comme des rayons cosmiques.
Les galaxies primordiales ne sont que trous noirs
Contrairement à ce que pense le modèle standard, à l’origine, les trous noirs ne sont pas apparus par accrétion. La loi DUO5 prouve que la densité naturelle des galaxies, disposées sur l’aire du BEC-fossile, était largement au-delà des conditions des trous noirs.
Figure 3
La raison en est simple : la saturation du flux de synchronisation à réduit l’intervalle tangentiel du facteur ξ par rapport à l’intervalle radial. Cette réduction d’intervalle intervenant au ralentissement du point de rebroussement des pôles de Bodys, a provoqué le processus : FMASM (Fusion → Masquage des charges → Annihilation → Séparation → Mitose). Cette réduction :
se traduit par les ξ8 paires électron-positrons réparties sur l’aire du BEC-fossile. Comme il y a ξ galaxies, elles contiennent donc chacune ξ7 paires élémentaires. Par l’annihilation créant des intervalle α² plus grand que les surfaces, le rayon calibré RG1 est donné par :
qui est largement en dessous du rayon de Schwarzschild :
Donc les galaxies primordiales sont des trous noirs ultra denses ! Comme le montre la figure 1, l’empilement des BECs du trous noir, se comporte comme un BEC hyper dense qui ne peut que se diviser à cause de l’anisotropie de ses intervalles.
Le flux radial de pôles relativistes est tel qu’il provoque la mitose du BEC-noir hyper dense.
Ci-après la mitose se poursuit jusqu’à un certain seuil où le flux relativiste de rayons cosmiques, devient moins intense que les forces gravitationnelles.
Diapo 4