Trous noirs primordiaux
Ci-après l’évolution de la mitose des ξ trous noirs galactiques, nés par fusion sur l’aire du BEC-fossile.
En cohérence avec les données DUO5, la phase 1 est le déclencheur de la mitose fractale en 5 étapes. C’est le premier élargissement de l’intervalle élémentaire provoqué par l’annihilation. Les paires électron-positrons en fusionnant, ont masqué brusquement leur charge, provoquant ainsi un fort : de/dt² qui est responsable de l’annihilation. Les masses rescapées et libérées ont ainsi poursuivi leur impulsion finale à vitesse c. La masse de chaque galaxie primordiale :
est au-delà de la limite de Schwarzschild donnerait un rayon maximum de :
Mais cette taille est incompatible avec les √ξ paires disposées sur la circonférence du BEC. Ainsi le rayon de chaque galaxie primordiale est largement en dessous de la limite de Schwarzschild, selon :
Qui est donc sous forme de trou noir. On retrouve le rayon du BEC-fossile selon :
Le facteur α témoigne de l’élargissement de l’intervalle. Ce trou noir galactique primordial, est caractérisé par l’empilement strict des ξ BEC-étoiles. Il est forcé d’entrer en mitose à cause de la densité subquantique relative à l’anisotropie des intervalles élémentaires donnée par :
Un flux radial intense et relativiste étire le trou noir et graduellement les ξ BEC-étoiles, se déploient. Il ne s’agit pas du rayonnement de Hawking mais d’une extraction massive subquantique et relativiste. Cette force est donnée par le flux intense de rayons cosmiques issus des extractions subquantiques. Les trous noirs actuels sont les vestiges des galaxies primordiales. Les premières galaxies visibles se situent à R0 =320 ×106 années-lumière après le Big Bang (mitose du BEC-fossile), soit R0 = 9,9 ×1023 m . Le temps correspondant, t0 = 7 ×1014 s. est suffisant pour que le déploiement de la mitose passe de RG1 → RG avec RG = 4×1020 m pour une vitesse v = c/460 m/s. A ce moment, le volume est tel qu’il peut contenir les ξ galaxies de taille type. Le temps d’étirement d’une galaxie, est donné approximativement par RG / RG1 avec RG = 4×1020 m (le rayon type). Ce scénario colle parfaitement avec l’observation qui montre que plus les galaxies sont éloignées (donc jeunes) plus le trou noir central est massique. Par exemple, le trou noir de SDSS JO841+39921B, situé à 10 milliards d’années-lumière, a l’équivalent de 37 milliards de masses solaires, soit 108 masses d’étoiles primordiales. Cela fait 1/1400 de la totalité des étoiles. En revanche, le trou noir du soleil est limité à 4.2 millions de masses solaires soit 1/107 d’équivalent masses étoiles primordiales.
Ci-dessous, les ξ8 paires de pôles libérés et donc devenus des paires électron-positrons, subissent une annihilation qui élargit les surfaces élémentaires, du facteur α². Il ne reste donc plus que ξ8 / α² paires rescapées. Elles fusionnent en protons puis en ξ trous noirs galactiques dont la masse est donc de : ξ7 / α² unités chacun. La mitose a eut lieu à cause de la réduction de l’intervalle élémentaire tangentiel du facteur ξ .
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