Vue des entrailles du proton

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Vue des entrailles du proton

Ci-dessus, une vue d’artiste du proton selon la loi physique DUO5. Il n’est pas l’être mathématique que veut lui conférer le modèle standard. Ce dernier fait l’erreur de le « classer » parmi d’autres baryons, alors qu’il est la seule et unique particule composite stable de l’univers. Ce statut unique est contraint par les causes physiques de l’ensemble des paramètres de l’univers. Selon DUO5, il est formé principalement de 4 groupes de couches masquées et neutres de paires électron-positrons, stables, car de création non locale. Ces 4 groupes forment 3 intervalles polarisés par le positron célibataire, qui génèrent les trois quarks. La masse de chacun des 4 groupes, fixe la longueur de Compton du proton (en fonction de celle de l’électron) et on peut vérifier qu’elle correspond bien au rayon du proton dans le ratio des masses (1/456). Ces couches neutres retiennent confinée, la couche célibataire « positron » qui donne la charge du proton.

L’occurrence avec le rayon relatif au 4 groupes (P/4) et celle avec la mesure de la charge qui est celle du positron, sont deux observables qui confirment la physique du proton DUO5. A cela on rajoute la CAUSE physique de son existence, relative aux deux facteurs de mitose.

La charge du positron célibataire, polarise chacun des 3 intervalles en provoquant des forces coulombiennes qui s’opposent à celle du positron qui leur a donné naissance. Le positron tend à occuper sa longueur de Compton (M.L = Cte) qui s’étend largement en dehors du noyau à 456 fois son rayon. Mais les polarisation qu’l génèrent (quarks induits) le repoussent inlassablement vers le centre.

Ci-dessous une des relations DUO5-KOIDE

La mer de Fermi n’est autre que l’habillage du proton sous la forme de sous-harmoniques de la fréquence des Bodys tissant l’espace-temps. Selon la loi  DUO5 et la loi KOIDE élargie, toutes les échelles de la Bulle-univers, sont organisées en couches, soit :

1/ les particules composites formées de couches superposées et neutres, d’électron-positrons ;

2/ les couches de Bodys oscillantes et constituantes des BECs ;

3/ les BECs en couches de vitesses dans l’état « Bulle-Univers » en expansion.

La déraisonnable efficacité des mathématiques 

Beaucoup d’études on été produites sur ce sujet que l’on peut résumer par la dualité {expliquer-décrire}. Les modèles mathématiques sont déraisonnables s’ils sont utilisés pour remplacer la physique. Mais ces études oublient le paramètre fondamental qu’est la dualité de localité qui est éludée par le modèle standard, en posant arbitrairement le « principe » d’isotropie et d’homogénéité de l’univers. Bien que ce « principe » ait été démenti depuis quelques années, les plus conservateurs du MS, regardent ailleurs. Ils restent enfermés dans l’expérimentation locale qui indique que les paires électron-positrons créées localement, sont instables.

Le paramètre relatif à la localité ne dépend pas de l’éloignement de l’observation. Exemple : l’observation de galaxies très éloignées, reste relative à la causalité locale, car sa médiation est limitée à la vitesse c. En revanche, l’expérience relative à la causalité supraluminique entre états de spins intriqués, est un effet typiquement non local par le couplage {quantique ↔ subquantique} de l’état de spin.

L’apparition non locale de paires électron-positrons

Quand localement on injecte une dose d’énergie adéquate, on crée une paire électron-positron qui n’a pas le statut de stabilité. Par ailleurs, on vérifie que les électrons « naturels » sont stables. On vérifie également que le proton trahit la présence confinée d’un positron stable. Cela prouve clairement qu’il y a deux sortes d’apparition des paires électron-positrons :

a) localement l’apparition d’une paire – sous forme « création » via une énergie injectée – s’annihile dès qu’elle entre en contact mutuel.

b) non localement l’apparition d’une paire – sous forme « mutation » des pôles séparés (180°) de leurs Bodys respectifs – s’agrège en une entité stable et neutre en masquant leurs charges opposées par superposition.

Les paires électron-positrons sont stables tant que la séparation angulaire non locale de θo = 180 ° (des pôles de leurs Bodys respectifs dont elles sont les héritières), est maintenue. Quand deux galaxies de sources angulaires différentes se rencontrent, elles annihilent partiellement leur matière à un taux proportionnel au Δ θ qui les séparait sur le BEC-fossile. Cette même cause explique : a) la matière noire par recouvrement partiel des angles relatifs ; b) la gravitation qui – par la séparation angulaire des pôles opposés à : θo = 180 ° – revient à diviser la force coulombienne par le nombre de paires disposées sur la demi circonférence. On vérifie que ce gradient coulombien donne la gravitation.

Le mythe de l’antimatière hérité du concept d’absolu

Ce mythe de l’antimatière vient du naïf réflexe ancestral de s’auto-déclarer comme la référence absolue du genre : « ma religion est la vraie, pas la tienne« . Cette notion d’antimatière vient de la restrictive expérience locale. En augmentant la dose d’énergie, on peut créer une paire « proton-antiproton » qui n’est rien d’autre que des arrangements symétriques et instables (car non séparé causalement) de paires électron-positrons. En projetant imprudemment cette configuration – purement locale – à la non localité, le modèle standard s’est mis dans une impasse. Sur cette base restrictive, il a construit une dichotomie entre les leptons et les bosons qui n’existe pas globalement.

Les paires électron-positrons originelles ne sont pas des leptons comme celles crées localement. Elles sont des bosons qui s’assemblent en BEC-protons. A force d’éluder les causes physiques, le MS s’est engagé dans une impasse.

Les paires électro-positrons sont héritées des pôles de bosons Bodys

Sur l’aire du BEC-fossile les paires voisines sont constituées d’un électron (ex-pôle – d’un Bodys 1) et d’un positron (ex-pôle d’un Bodys 2). Chacun des éléments – de source différente – n’a pas de possibilité de s’annihiler avec l’autre. Cette séparation à l’échelle non locale, n’est pas reproductible localement.

Le confinement systématique des positrons, n’altère en aucun cas la symétrie électron-positron. Elle est la garante du zéro global qui est le déterminisme de la Nature.

Ne pas confondre l’effet quark et sa cause

Ainsi pour le proton, se limiter à la mesure « effective » des quarks pour bâtir un modèle, revient à éluder arbitrairement l’option de leur induction par les intervalles polarisés. L’opération de mesure devrait plutôt confirmer ou infirmer une théorie physique élaborée en amont, afin de ne pas tomber dans le piège classique de l’auto-référence.

Evoquer une théorie « effective » est un abus de langage car d’emblée, elle spécule sur le fait que l’effet représente sa cause. C’est l’éternel et regrettable amalgame entre cause et effet.

Ainsi le modèle standard fait acte de « croyance » en affirmant que les quarks sont les bases universelles de la matière. Comment peut-on croire que la Nature puisse avoir 6 types de quarks originels et magiques ? Non les quarks ne sont que les effets relatifs aux intervalles polarisés entre les groupes de couches polarisées d’électron-positrons. La loi DUO5, armée de la loi KOIDE élargie, démontre que les paires électron-positrons sont les héritières des pôles de Bodys, dont la présence est imposée par le paradoxe existentiel.

Conclusion

Le déterminisme naturel de l’univers est l’espérance d’atteindre l’impossible zéro absolu en matière d’inertie. Cela débouche sur le « paradoxe existentiel » dont la résolution passe par le masquage dipolaire symétrique (charge et masse) par opposition (MSO). Dans la forte entropie informationnelle de l’état « matrice permanente d’univers », la symétrie est la première loi intangible. Elle garantit un zéro parfait par masquage 1D MSO dans chaque Bodys stochastique. Quand les pôles périphériques sont séparés et deviennent corpuscules 2D, il y a permutation du masquage des charges par superposition (MCS).

Les neutrinos continuent de perpétrer la permutation initiale (mais en inverse) selon : MCSMSO générée par une impulsion furtive d’un Bodys (ξ c me) . Elle est précisément déterminée par DUO5, en accord avec la mesure sous la forme du boson W qui est l’émergence subquantique de l’impulsion d’un Bodys (ξ c me) qui, de par sa permutation 1D → 2D, est traduite par √ξ c me.

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3 réponses

  1. […] la cause de l’expansion. On a vu que ces pôles contraires fusionnent en couches pour former les neutrons et protons. Dans le proton, il reste toujours un positron célibataire qui lui donne sa charge. La symétrie […]

  2. […] 1/2 de la généralisation initiale de sa position centrale dans le neutron) reste toujours prisonnier du proton car seul l’électron est […]

  3. […] (1840 pour le proton et le neutron) exprimés en unités entières et nues. Voir l’article entrailles du proton dans lequel il est expliqué que les paires électron-positrons originelles se comportent comme des […]

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