L’ambiguïté des variables cachées

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L’ambiguïté des variables cachées

Nombre de jeunes physiciens semblent ignorer l’histoire, en déclarant que BELL a condamné la possibilité des variables cachées. Ce faisant, ces physiciens éludent la clé la plus importante de la physique, soit la dualité de localité. Ils trahissent l’épistémologie des sciences en oubliant de citer BELL complètement car il a dit : « pas de variables cachées locales« . Il avait totalement raison car justement les caractéristiques subquantiques proposées par DE BROGLI, BOHM et moi-même, sont strictement non locales.

Les anciens de l’école de Copenhague, on arbitrairement décidé que tout ce que l’on pouvait observer localement, avait le statut magique d’être valable globalement. Pour asseoir cette idée simpliste, ils ont décrété le « principe d’homogénéité et d’isotropie » de l’univers.

Décréter un principe n’a rien à voir avec une démarche logico-déductive remontant vers les causes

Ainsi, d’emblée, la dualité de localité est passée aux oubliettes. Les EFFETS analysés localement ont pris à tort, le statut d’absolu universel. L’analyse des EFFETS observés localement a pris le dessus sur la recherche des CAUSES physiques, d’essence non locale.

La non localité est largement mesurée

1/ la décélération anormale des sondes Pioneer. Dans cet article au chapitre « étude de l’anomalie » , les auteurs confirment que les sondes Pioneer ralentissent mystérieusement avec un gamma de 8,741 ×10-10 m/s².

2/ Les observations récentes de WEBB nous indiquent que les galaxies primordiales se sont formées bien plus rapidement que le calcul ne le laissait entrevoir.

3/ De nombreuses expériences confirment que l’intrication des spins reste en relation bien au-delà de la causalité relative à la vitesse de la lumière.

4/ Schrödinger a introduit l’idée de la « réduction du paquet d’ondes » qui sous-tend une dualité de localité qui implique une dualité : {quantique ↔ subquantique}.

5/ L’effet tunnel qui selon Hartman, implique une vitesse supraluminique.

6/ le mystère de la médiation des photons à vitesse constante c, qui est très bien décrite mais non expliquée.

7/ la température énigmatique de la couronne solaire.

8/ la matière noire de même source que les rayons cosmiques et de l‘excès de positrons

Après avoir nié farouchement la dualité de localité, le langage courant, parle « d’intrication quantique », ce qui complètement faux. Il s’agit bien de la conservation de causalité des particules intriquées, au delà de la causalité quantique se propageant à vitesse c, c’est-dire que la causalité n’est pas « quantique » mais subquantique et supraluminique. Cela s’inscrit en faux dans le fétichisme ambiant envers les anciens de Copenhague qui ont opté vers des modèles mathématiques, abandonnant ainsi la difficile quête des causes physiques. Ils ont renoncé à comprendre. Une étude de Jean BRICMONT montre clairement le malaise parmi certains physiciens qui cherchent à contourner la réalité de la causalité non locale. Certains vont même jusqu’à imaginer l’ineptie d’une vitesse absolue instantanée. Le mysticisme est enraciné dans les cerveaux reptiliens. D’autres avancent des arguments fallacieux pour nier cette réalité physique.

La déviance de la localité

Par définition, donner un statut d’absolu à la localité, c’est abandonner d’emblée la recherche des causes physiques. La « dangereuse efficacité des mathématiques » admet : a) de remplacer les êtres physiques par des êtres mathématiques ; b) la réalité des zéros et infinis, alors qu’ils sont incompatibles avec la physique. En éludant les causes non locales, le modèle standard a fabriqué énigmes sur énigmes alors qu’il emploie plus de 26 paramètres libres pour tenter de justifier son manque de cohérence globale. Conservatisme quand tu nous tiens !

La fausse dichotomie des leptons

A défaut de chercher les causes existentielles, le modèle standard cherche à classer les particules selon leur comportement local. Ce tableau est sensé regrouper la famille des « leptons ». Ce critère « leptonique » est basé sur l’absence de quarks. Là encore on confond les causes et les effets. Les quarks ne sont les effets des intervalles polarisés entre les couches d’électron-positrons, formant les particules composites.

Tableau 1

En premier lieu, ce tableau 1 élude la clé universelle de la dualité de stabilité. En effet, chacun peut constater que l’électron est la seule particule élémentaire stable. Or l’électron est naïvement mélangé avec des éléments instables à l’état libre. La grande erreur (qui se répète au cours des siècles) est de classer les effets sans chercher les causes.

Tout est à base d’électron-positrons

En se bornant à classer les particules sur leurs effets, le modèle standard a renoncé à la recherche des causes physiques. Sur la seule base locale, il est impossible de déterminer les causes physiques. Le cheminement logico-déductif de DUO5, permet de modifier ce tableau naïf en fonction de la source physique des particules. Cette source est le boson oscillateur Bodys, dont l’existence est justifiée par les lois physiques les plus fondamentales. Le modèle standard s’est égaré avec le caractère absolu du zéro et de l’infini, valable en mathématique mais inapplicable en physique. Ainsi les Bodys sont les corps élémentaires de l’espace-temps. Une très petite partie d’entre eux, s’est décomposée en 2 pôles qui sont devenus les éléments ultimes de la matière, i.e, les paires électron-positrons.

Tableau 2

En faisant l’économie de ne pas s’interroger sur la cause existentielle des quarks, le modèle standard, s’est replié sur le réflexe simpliste du classement. Spéculer pour spéculer, il mélange l’électron (seule et unique particule élémentaire stable à l’état libre) avec des particules qui ne le sont pas. Ce critère de stabilité est crucial puisqu’il est la raison de l’existence de la matière. Certains s’interrogent sur l’artifice du « cousinage » avec muon et tauon. Ils ne vont pas jusqu’à dénoncer cette autre différence relative au très important critère de stabilité. Mais ils se consolent car cela permet de compléter le tableau au nombre « bien carré » 12. Le tableau 2 corrigé DUO5, montre 3 familles ayant chacune un mode propre d’instabilité dont les causes physiques sont clairement expliquées. Ces trois familles, sont toutes à base de paires électron-positrons. Les muons et tauons – créés à partir de paires de création locale – sont donc rapidement instables. Le paradoxe des neutrinos et leur mal nommée « oscillation » est clairement expliqué. Quant aux quarks, ils sont clairement les effets mesurables des intervalles polarisés entre les groupes de couches formant les particules composites.

Comme au moyen-âge, le modèle standard « ne croit que ce qu’il voit« , comme Saint Thomas. Par exemple, comme il ne « voit pas » de positrons stables, il en déduit qu’il n’existe pas. Mais pour « croire » à cela il lui faut « regarder ailleurs » quand : 1) cela viole la symétrie ; 2) la charge du proton (stable) est strictement celle d’un positron ; 3) la paire électron-positron créée localement est instable alors que les électrons lambda (ou créés non localement) sont stables ; 4) les rayons cosmiques comportent plus de positrons qu’attendu ; 5) d’une manière générale, toutes les causes sont éludées aux profits de la spéculation sous forme de modèle.

La non localité à l’origine des particules

Le tableau 3 démonte le classement spéculatif du modèle standard en montrant que les quarks ne sont que des effets. La cause de l’existence des particules est ci-après justifiée par les deux grands ratios non locaux de l’univers  ξ & α².

Tableau 3

Le modèle standard, a réussi à ordonner une certaine cohérence au système d’unités (MKSA) à partir des 3 unités arbitraires : kg, mètre, seconde. Cependant, il utilise moult autres unités (électronvolts, année-lumière, parsec, constante de Hubble en km/s/Mpc) qui tombent également dans le piège du caractère arbitraire. Pour se débarrasser de l’arbitraire des unités, il n’y a qu’une seule et unique solution : tout exprimer en unités « électron ». Ce mode « ratio » remplace l’ineptie du caractère absolu par un résultat relatif. Par exemple, la masse du proton est de 1836.15 ue. Ainsi, le rayon du proton se vérifie parfaitement par la longueur de Compton de l’électron, divisé par la masse d’un des 4 groupes du proton soit 1836.15 / 4. Cette mesure confirme d’emblée le tableau ci-dessus qui montre que 4 groupes impliquent 3 intervalles polarisés et donc 3 quarks. Ainsi les ratios universels de l’univers  ξ & α² s’accordent avec les particules si elles sont exprimées en mode ratio. Ces ratios sont les causes physiques des particules du tableau 3.

Conclusion

Il existe bien des variables cachées non locales qui sont exprimées par les oscillateurs Bodys qui tissent l’espace-temps dans le cadre des BECs . Ces variables ne sont pas si cachées que cela car elles sont largement mesurées indirectement par plusieurs voies cohérentes. Elles ne sont pas « de petites corrections à apporter » mais la cause profonde et universelle de l’existence même des particules.

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224 réponses

  1. […] dont le rayon est d’environ 0,5 Gyl (un demi milliards d’années-lumière). La distance qui le sépare de la Terre est environ donnée entre 6 Gyl et 10 […]

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