Le Bodys, boson de jauge universel

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Le Bodys, boson de jauge universel

Dans le cadre de la relativité restreinte, l’équivalence des référentiels inertiels, est supposée valide mais dans le cadre strict de la constance de la vitesse de la lumière c. Si l’intervalle spatial élémentaire et c, sont constants, alors le temps local varie par changement de référentiel inertiel. Il y a invariance de l’intervalle d’espace-temps :

La relativité restreinte est astucieusement élaborée comme la déclinaison logico-déductive de l’expérience qui constate la constance de la vitesse de la lumière c. Mais cette théorie élude la question physique relative à la cause de l’existence de la vitesse c et également de sa constance.

Relativité restreinte et structure physique de l’espace-temps

Selon la loi DUO5, l’espace-temps n’est pas un être mathématique car il est physiquement structuré par le réseau d’oscillateurs Bodys, dans le cadre de chaque BEC. Ainsi DUO5 ne se contente pas de : c = Cte, car il s’intéresse à la cause de c et de sa constance. En éludant la physique de l’espace-temps, on laisse entendre qu’il est un « fluide » continu qui recèle magiquement la capacité de circulation des photons à une vitesse magiquement bien précise et constante. Selon DUO5 la vitesse c de l’échelle quantique n’est que la conséquence de la vitesse subquantique cs, propre à l’oscillation des pôles de Bodys. Cette vitesse subquantique varie de : cs = c ξ2 à la sortie du point zéro commun, à c, au point de rebroussement du BEC. Mais l’intervalle tangentiel ℓ(x) , égal à l’intervalle radial ℓ(x), grandit en fonction de 1/ vs² (x).

Figure 1 : équilibre idéal d’un BEC vide de matière

C’est parce que les intervalles élémentaires Δℓ(x) varie comme Δx, que la vitesse c est constante. Les lignes de Bodys sont maintenues équidistantes par la force de Lorentz : F = qE + q.v ∧B, qui les repousse mutuellement. En effet les lignes, sont comme des conducteurs (quasi parallèles) dans lesquels le déplacement des charges, génère des courants parallèles : i = dq/dt. On a vu que lors de la saturation du BEC-fossile, l’arrêt au point de rebroussement a privilégié la force coulombienne entre charges opposées et alternées, pour provoquer la fusion généralisée.

Figure 2 : équilibre d’un BEC-étoile symétrique

La position centrale de l’étoile, limite la perturbation à l’axe radial. Le rayon du BEC se trouve légèrement réduit de ΔR . Le gradient de cette réduction s’applique à chaque intervalle élémentaire radial. Cela génère un gradient d’accélération centripète qui est mesuré sur les sondes Pioneer. Cette accélération estimée à : 8,741×10-10 m/s², qui apparaît comme une énigme pour le modèle standard, est attendu par la loi DUO5.

(1)

Le premier terme de la relation, représente l’intervalle élémentaire moyen radial, divisé par le temps (élevé au carré) d’un cycle de l’oscillateur Bodys. Le facteur α² ξ3 représente le ratio d’influence de la masse M de l’étoile sur les Bodys du BEC. Par définition les Bodys de l’espace-temps du BEC sont α² ξ3 fois plus nombreux que les masses élémentaires formant la matière de l’étoile. Cette accélération centripète est relative au gradient d’écrasement de l’intervalle élémentaire dont la moyenne est représentée par le ratio 9/11, relatif aux deux clés (2 & 5) de la mitose :

Cette accélération constante de la composante BEC, est imperceptible au niveau de la Terre. Cependant elle est ξ (1.54×1011) fois plus forte que la composante classique (relation 5), aux limites du BEC. Ce gradient de tassement radial, génère une faible composante centripète et constante de la gravitation. Cela revient à une accentuation de la courbure. Elle prend l’avantage aux limites du BEC, sur la composante principale qui s’affaiblit en 1/r².

Médiation des Forces par les bosons Bodys

Figure 3 : déformation du maillage par une masse

La présence d’une masse hors du centre, génère un niveau de déformation subquantique dans les deux axes. La relation 4 ci-après, rappelle qu’une masse réputée neutre, recèle un infime gradient de charge coulombienne relative à la séparation angulaire non locale sur le BEC-fossile.

Cet ultra faible gradient, de charge électrique fossile, relative à la masse, est de nature non locale. Elle ne peut donc pas être modifiée localement. Ce gradient de charge électrique – né de la séparation des pôles de Bodys sur le BEC-fossile – est ξ4 fois plus faible que la charge élémentaire. En effet, la séparation radiale des Bodys, a muté sur l’axe tangentiel à travers les ξ4 pôles de Bodys présents sur la demi-circonférence du BEC-fossile. La relation 4 en est une preuve incontestable.

Ainsi ce gradient électrique intrinsèque à la masse, génère une force attractive électrostatique : (α es² / 4π εos ) avec la permittivité subquantique εos = εo / ξ4 qui compense le gradient de charge : es = e / ξ4 . Il faut se rappeler que la charge élémentaire est une composante de la masse selon :

(2)

et donc :

(3)

Le BEC-fossile

La force gravitationnelle via cette réminiscence électrostatique, s’oppose à la force électrodynamique répulsive de Lorentz : F = qE + q.v ∧B qui repousse mutuellement les lignes de Bodys pour les maintenir à équidistance. Elle s’exprime également par la force électrodynamique, par mètre : F/d = 2 ×10-7 i² / ℓ pour des conducteurs réputés très longs et filiformes. Ainsi le boson-vecteur de la force gravitationnelle est le Bodys. Inutile de spéculer sur un graviton, car le Bodys est le vecteur universel de toutes les forces. Le ratio entre la force coulombienne et gravitationnelle, est vérifié par :

(4)

Le point zéro des Bodys est alors de la taille d’une étoile primordiale. L’intervalle élémentaire est alors celui de la longueur de Planck. Sur l’aire du BEC-fossile l’intervalle croît du facteur ξ mais reste cependant ξ fois inférieur à la longueur de Compton de l’électron. La masse au point de rebroussement – croît du facteur ξ et devient celle des positrons et des électrons.

Séparation causale originelle → gravitation

Ci-après, le processus de séparation radiale des pôles de Bodys de la couche extérieure. La relation 4 indique clairement que les ξ8 paires séparées en 2D et qui représentent ξ4 paires sur la circonférence, conserve le gradient coulombien sur la tangente qui devient donc la gravitation.

:

Le Bodys, seul et unique boson de jauge

Le modèle standard évoque l’hypothétique graviton qui transmettrait la force gravitationnelle comme il considère que le photon est le boson vecteur de la force électro-magnétique. Derrière la théorie de jauge, se cache l’ignorance totale de l’explication physique de la médiation des forces. Devant l’énigme de la force forte, on évoque le boson magique « gluon » qui « colle » la force forte. Devant l’énigme de la force faible, on spécialise le boson W.

En éludant l’échelle subquantique des Bodys de l’espace-temps, le modèle standard cherche à résoudre les énigmes à coup de bosons spécialisés, en faisant l’amalgame courant entre cause et effet. Le détail est donné par : 1/ le photon n’est qu’un des effets de l’action des Bodys : 2/ le Bodys est le seul et unique boson de jauge ; 3/ le gluon est inutile pour expliquer la force relative au masquage des charges superposées ; 4/ les bosons W et H sont les effets de furtives émergences quantiques d’un Bodys ; 5/ par extension, le spéculatif graviton n’est qu’un petit effet du Body

Le BEC-fils (ou BEC-étoile)

Après la mitose en ξ2 BEC-fils, les intervalles élémentaires deviennent isotropes. Le rayon du point zéro commun s’est rétréci à un rayon d’environ 6 cm et son aire contient les ξ6 paires d’une couches grâce ) son intervalle réduit à la longueur de Planck. Au point de rebroussement des pôles de Bodys, l’intervalle est devenu suffisant pour éviter toute fusion locale.

Selon DUO5, il n’existe qu’un seul et unique médiateur dans l’espace-temps, le Bodys. Le photon n’est que le témoin de la médiation électromagnétique par les Bodys subquantiques. D’ailleurs l’état de spin conservé à grande distance, de particules intriquées, prouve la présence des Bodys supraluminiques. La différence entre la force gravitationnelle et électromagnétique tient dans le fait que toute masse conserve le gradient électrique relatif aux ξ4 pôles de Bodys séparés sur la circonférence du BEC-fossile.

Conclusion

La seule et unique force de la Nature est la force coulombienne, car elle est indispensable pour assurer la causalité qui annule les paramètres physiques des pôles opposés dans un Bodys. La clé de la loi DUO5 est l’indentification du Déterminisme de la Nature pour résoudre le paradoxe suivant :

Paradoxe : ≠ 0 ; ≠> 0 ; unique solution par la symétrie → . + . ≡ 0

Le zéro absolu est aussi impossible que le > zéro. La Nature a inventé le zéro parfait symétrique à défaut du zéro absolu. Pour que la solution soit pérenne il faut absolument la présence du lien coulombien pour assurer la symétrie entre les deux pôles opposés d’un Bodys. La relation (2) montre clairement que la charge élémentaire est dérivée du couple : . . Beaucoup de physiciens font un blocage au sujet de l’existence d’un oscillateur primordial dipolaire ou bipolaire. Cette option contre la notion mystique d’absolu, est flagrante dans tous les domaines. Par exemple, on considère comme « bipolaire » une personne souffrant d’un dérèglement de l’humeur. La dualité est bêtement considérée comme un défaut de la nature ! Non un dérèglement de l’humeur vient d’un défaut de gestion de la symétrie relative à la bipolarité et non à la bipolarité elle-même. Encore et toujours cette fâcheuse tendance à confondre les effets avec les causes ! Tous les paramètres physiques (dont le vivant et sa partie soft) sont équilibrés si leur dualité intrinsèque tend vers la parfaite symétrique. C’est l’inévitable erreur relative à cette symétrie qui est la clé de l’évolution. Si l’erreur est trop grande, elle prend le statut de défaut. Si globalement le concept d’erreur était nul, l’Univers n’existerait pas.

10 réponses

  1. […] de modifier ce tableau naïf en fonction de la source physique des particules. Cette source est le boson oscillateur Bodys, dont l’existence est justifiée par les lois physiques les plus […]

  2. […] est issue de la matrice permanente oscillante. La cause des fluctuations ou oscillations de Bodys-zéros, est la recherche de l’impossible zéro absolu. C’est le paradoxe existentiel relatif […]

  3. […] qu’elle est directement déterminée par les paramètres de l’électron, ex-pôle de Bodys évoluant dans un BEC-fils. Il s’agit du rayon de Compton ƛe et de la masse me de […]

  4. […] fonctionnement du Bodys stochastique est le suivant : à chaque cycle au passage « point zéro » de chacun des pôles, il existe un […]

  5. […] DUO5 et la KOIDE élargie, l’électron est un ex-pôle d’oscillateur Bodys-zéros. Dans les Bodys, la paire de pôle combinée (en singulet), forme un boson de spin nul. Sur le […]

  6. […] la KOIDE élargie, l’électron et le positron sont des ex-pôles d’oscillateurs Bodys-zéros. Ils ont été séparés sur l’aire du  BEC-fossile par mitose. La distribution des […]

  7. […] par leur couplage avec la matière. L’espace-temps est structuré par les oscillateurs Bodys subquantiques. Ces fluctuations mesurées sont les sous produits générés par la perturbation relative au […]

  8. […] impédance face à toute variation en matière d’amplitude spatiale L. L’oscillateur Bodys-zéro propose aléatoirement et à chaque cycle, un M au point zéro qui tend vers l’impossible […]

  9. […] permanente d’univers ou omnivers, existe sous forme d’un nombre d’oscillateurs Bodys-zéro qui tend vers l’infini. Cet état « matrice » est typiquement sans énergie, car […]

  10. […] En physique quantique et subquantique, le zéro absolu (0A) est juste une impossible espérance. Il débouche sur l’absurdité de la non existence. Ce n’est pas le cas en physique macroscopique dans laquelle on peut constater que la constante M.L n’est plus forcément appliquée. A cette échelle il y a dissociation de l’entité ML. En revanche, le zéro symétrique (0S) révèle l’existence de deux états contraires superposés et parfaitement annulés. Dans cet état d’univers permanent et purement informatif, un potentiel d’existence apparaît avec les oscillateurs élémentaires subquantiques (BODYS-ZEROS 1D). […]

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