La Matrice-Univers permanente

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La Matrice-Univers permanente

Carte d’identité : selon DUO5 et la loi KOIDE élargie, il existe un état d’univers stochastique peuplé d’une infinité (1) de Bodys-zéros non connexes. Le continuum masse-espace-temps n’existe pas et l’entropie informationnelle est maximale. Son existence tient au paradoxe relatif à l’alternative suivante : le zéro inertiel absolu ≡ 0 est aussi impossible que > 0. La seule issue réside dans l’obtention d’un zéro parfait (mais non absolu) par oscillation dipolaire symétrique. Même en acceptant l’ineptie du zéro absolu, on aurait alors un état statique, à jamais non évolutif. Cette Matrice-Univers est non seulement contrainte d’exister mais également contrainte statistiquement de subir la dualité entropique, sous forme d’un BEC-fossile pas synchronisation partielle, réduisant drastiquement l’entropie informationnelle.

(1) l’infinité est permise seulement et seulement si, l’entité Bodys dipolaire relève d’un strict zéro symétrique concernant les paramètres physiques de ses pôles confinés.

1/ Le mystique « mur de Planck » du modèle standard

Le modèle standard évoque le « mur de Planck« , au-delà duquel « les voies de la physiques seraient impénétrables« . Il remonte dans le passé par l’application macroscopique de la thermodynamique qui trouverait une « origine » dans un « point » de température « infinie ». Par définition cela débouche sur une « singularité « , définition pudique qui cache mal son inspiration religieuse. Le même problème existe en sciences politiques où beaucoup de pays (et pas des moindres) n’ont pas encore opéré la difficile séparation de l’église et de l’état. La longueur de Planck, selon la loi DUO5, correspond au « point zéro » fixé par la moyenne du lot de Bodys synchronisés. Ce point de Planck est ξ5 fois plus petit que le rayon du BEC qui est lui même le reflet de l’amplitude des oscillateurs Bodys. On vérifie que la longueur de Planck est ξ2 fois plus petite que la longueur de Compton de l’électron. Selon la loi M.L = Cte, la masse de Planck (ξ2 fois plus grande que l’électron) est celle d’un éventuel oscillateur dont l’amplitude spatiale serait limitée à la longueur de Planck. C’est également la projection imaginaire d’un électron qui n’aurait pas subi la mitose de facteur ξ2 .

La dualité onde-corpuscule que le modèle standard décrit mais n’explique pas, est relative à la dualité quantique-subquantique ou électron-Bodys.

2/ La base fondamentale des relations de Compton

La base fondamentale et naturelle de la longueur de Compton, est le couple M.L = Cte, répondant classiquement à cette relation :

Puisque ħ est réputée constante, alors on peut supprimer c et conserver la constance du couple : me. ƛe qui montre sans conteste que dans un oscillateur primitif, l’inertie M est inversement proportionnelle à l’amplitude spatiale L . Dans l’électron – héritier d’un pôle causalement séparé de Bodys, cela se traduit par :

Ainsi on peut envisager un oscillateur stochastique primitif doté – aléatoirement à chaque cycle – d’un couple M.L = Cte. La vitesse moyenne est alors une conséquence de ce couple. On mesure la relation d’incertitude selon :

qui découle de la relation (2) mais avec le paramètre c, bien établi actuellement. Mais dans la relation (2), la vitesse moyenne n’est qu’une conséquence du choix aléatoire de chaque cycle de M.L. Elle n’est pas encore une constante déterminée. Cette incertitude de dimension L, actuellement relative à p = M . c, est issue d’une cause primitive où la vitesse n’est qu’un effet qui n’entre pas dans la définition de M.L = Cte. La variation à chaque cycle, des paramètres : ΔL = 1/ ΔM, implique une oscillation stochastique fournissant un point zéro, Mo aussi proche du zéro absolu que l’on souhaite. A chaque cycle, il génère de facto, un potentiel d’amplitude spatiale Lo satisfaisant : M.L = Cte. Au fur et à mesure de la progression spatiale d’un pôle de Bodys synchronisé, le potentiel L diminue et donc la masse M augmente. Quand le reste à parcourir atteint ƛe alors la masse du pôle atteint me . Cette longueur est celle de l’épaisseur du point de rebroussement caractérisé par la vitesse c. Si la fusion des charges e des pôles voisins intervient, alors chaque pôles, libéré de sa contrainte Bodys, s’échappe à la vitesse c. C’est la cause de l’expansion.

3/ Le paradoxe existentiel via la dualité absolu-relatif

Par définition, la possibilité d’un néant statique, non évolutif et de statut « zéro absolu », ne peut exister. De ce fait le caractère évolutif ne peut venir qu’une infinité d’oscillateurs stochastiques (ou nombre indéterminé). Fondamentalement, la nature n’a pas « horreur du vide  » car au contraire ses points d’oscillation, cherchent statistiquement, l’impossible « zéro inertie absolu » et parfait. Mais paradoxalement elle ne saurait justifier un Mo > 0.

Paradoxe : ≠ 0 ; ≠> 0 ; unique solution par la symétrie → . + . ≡ 0

La seule et unique solution pour obtenir un zéro parfait, passe par la symétrie sous forme d’oscillateurs dipolaires stochastiques, ou Bodys-zéro.

4/ La symétrie sauve le zéro parfait

Cette symétrie, purement individuelle, débouche sur une ensemble de Bodys-zéros non connexes, sans continuum masse-espace-temps et dotés de pôles oscillants, qui chacun, masque ses paramètres physiques par opposition, selon :

Le statut scalaire de M disparait au profit du statut algébrique de L. ainsi M.L n’est pas un scalaire.

Cependant – selon l’incontournable indétermination – on ne peut accepter qu’il puisse exister un non différentiel absolu Δℳ ≡ 0 entre les deux pôles au point zéro. On aura donc toujours une erreur Δ > 0, même aussi petite que l’on souhaite. Mais c’est là qu’entre en jeu les conséquences de l’inséparabilité de et dans un pôle de Bodys. Comme {. } est une seule et inséparable entité, alors tout Δ sera aussitôt compensé par un Δ.

Comme l’indiscernabilité de {ℳ. ℒ } compense exactement l’indétermination de l’asymétrie au point zéro, Δℳ, l’oscillateur Bodys présente un zéro symétrique parfait mais non absolu. C’est la clé de l’obligation d’existence de l’état Matrice d’Univers sous forme d’oscillateurs dipolaires.

L’ambiguïté de l’inertie

A l’échelle macroscopique l’inertie M se caractérise par son intensité à s’opposer à son accélération par une force extérieure. A cette échelle l’inertie M, non relativiste – découplée de la symétrie relative à une amplitude spatiale L – est un scalaire sensé rester stable. A l’échelle d’un Bodys stochastique, chaque cycle détermine statistiquement une intensité d’inertie au point zéro à laquelle correspond une amplitude d’oscillation d’intensité inversement proportionnelle. A l’échelle d’un Bodys synchronisé, l’influence mutuelle au point zéro commun, conserve la même intensité inertielle des pôles. Le niveau d’erreur est très faible mais ne saurait atteindre le zéro absolu. A cette même intensité Mo partagée, correspond une même amplitude spatiale qui fixe le rayon du BEC.

A l’échelle quantique et à l’échelle subquantique, le statut inertiel M n’a de sens que dans son contexte oscillateur où l’amplitude spatiale L dépend de 1/M. L’effet relativiste sur un électron revient à une altération –ΔL subquantique qui compense en transférant un +ΔM à l’échelle quantique. Le pôle subquantique couplé à l’électron visé, perd de son aptitude de causalité élargie – ΔL ce qui lui confère un +ΔM. Pour conserver sa symétrie avec le pôle opposé il transmet ce +ΔM vers l’électron couplé.

Conclusion

La stricte « inertie zéro parfaite » ne s’obtient pas à la seule condition de symétrie. Il faut également la condition d’indiscernabilité de l’entité {ℳ. ℒ }. L’indétermination observationnelle est consubstantielle à l’inséparabilité de {ℳ. ℒ } aux niveaux quantiques et subquantiques. Cette particularité disparait au niveau macroscopique. Cela sous-tend que cette entité est intimement liée à l’oscillation dipolaire. La cohérence de DUO5 et même des classiques standards, confirment que la charge élémentaire est fonction de M.L, selon e² = f(me. ƛe). C’est à partir de cette entité que sont déclinés tous les paramètres physiques élémentaires, y compris le temps.

7 réponses

  1. […] qu’il n’est nul besoin de spéculer pour suivre le chemin logico-déductif partant du paradoxe ZIA (Zéro Inertie […]

  2. […] Cette température moyenne des amas (4.2×106 K) trahit le phénomène d’annihilation qui altère l’aptitude des paires électron-positrons à se constituer en couches pour former les protons. Ces paires forment des paquets informes qui représentent la matière noire. Son aptitude gravitationnelle est amoindrie par : 1/ la perte de masse ; 2/ l’altération du couplage avec les Bodys de l’espace-temps. Selon DUO5, le vecteur des forces entre particules, passe par le canal du couplage {quantique-subquantique}. Cela se traduit par une perturbation de la symétrie des Bodys qui entraine une courbure. La matière noire est formée dans les collisions de galaxies intra amas ou extra amas. Elle est également formée au centre des galaxies via la part des rayons cosmiques qui fusionnent avec des angles faibles, sous l’action des champs magnétiques. La matière noire ne s’apparente pas à une « particule » mais à un spectre de particules plus ou moins dénaturées. Au cours de l’expansion de la Bulle-Univers (incluse dans la matrice stochastique) la matière subit plusieurs phases de dénaturation qui l’amène à terme à s’évaporer dans la Matrice stochastique. […]

  3. […] mélange entre ces deux options. En effet la loi DUO5 démontre que s’il existe en effet un état d’univers éternel basé sur le paradoxe existentiel des lois fondamentales de la physiques, il n’est pas du […]

  4. […] La nature résout ce paradoxe par la symétrie parfaite offerte par la forme dipolaire des oscillateurs Bodys-zéros qui constituent l’appellation naïve du « néant » . A défaut du zéro absolu (0A) […]

  5. […] qui « cherchent » l’impossible zéro inertiel M. La permanence de cet échec est le « paradoxe existentiel » servant de prémisses à la loi DUO5. La répétition fluctuante des erreurs, est salvatrice, […]

  6. […] clairement que ces fluctuations sont causées par le couplage de la matière avec les  oscillateurs Bodys-zéros tissant l’espace-temps. Donc ces fluctuations mesurées qui traduisent le couplage {matière […]

  7. […] à la physique fondamentale. La dualité relative au zéro inertie, implique deux états : l’impossible zéro absolu (0A) et le zéro symétrique ( 0S) ou relatif. La cause physique des fluctuations (ou oscillations) […]

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