Big-Bang→monopôle→mitose→n→p

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Big-Bang→monopôle→mitose→n→p

Le modèle standard pose le problème en terme d’unicité concernant l’origine de « l’univers ». Il considère à tort qu’il convient de choisir entre l’état stationnaire proposé par Fred Hoyle et le « Big-Bang ». Mais la clé n’est pas « OU » mais « ET ». Il y a bien DEUX états d’univers, soit la Matrice stochastique permanente et pseudo-stationnaire et à entropie informationnelle maximale, donnant statistiquement une probabilité non nulle de réduire son entropie (qui ne peut-être absolue) dans le cadre d’une synchronisation formant BEC.

Le concept d’unicité et d’absolu nommé « univers » fausse complètement l’approche pour comprendre pourquoi les deux états d’univers sont contraints d’exister.

Ce concept archaïque d’unicité, contraint le modèle standard à considérer un point originel mystérieux et magique, le « Fiat Lux » qui serait « l’origine de l’univers ». La butée ultime serait le mur de Planck « dont les voies sont impénétrables« .

Il y a également l’amalgame récurrent entre cause et effet. En effet, si le modèle standard considère avec raison la température d’annihilation électron-positrons, il se trompe sur la cause. La source de la création de ces paires n’est pas la température « magique » de la « singularité ». La loi DUO5 montre que cette température est relative à l’annihilation partielle sur l’aire du BEC-fossile. Cette annihilation génère des trous à toutes les échelles encore visibles aujourd’hui. La propagation tangentielle à vitesse c, de la température à partir du centre des trous, n’interfère que très peu avec la matière dont la vitesse d’expansion radiale est en moyenne à 2,5 c.

les trous de l’annihilation partielle sur le BEC-fossile

Le ratio trou/ filaments est encore en moyenne égale à α = 137,0359.

La cause physique de cette annihilation partielle relève du brusque masquage des charges e qui provoque un fort de/dt² ou di/dt responsable d’une énorme et furtive surtension radiale qui relocalise une partie des pôles séparés. Il n’y a pas de température magique de Planck car le BEC-fossile est – comme tous les BECs – extrêmement froid.

Comment un physicien peut-il se satisfaire de ce concept d’absolu où : « les voies de la singularité sont impénétrables »

La loi DUO5 indique comment fonctionne la Matrice-Univers justement à partir de l’attracteur de l’impossible zéro absolu. En tant « qu’enfant de l’univers« , les humains sont également attirés vers le concept d’absolu. L’équilibre psychique passe par la bonne gestion de la symétrie entre le « rêve absolu » et la « dure réalité ». C’est un truisme de dire que nous avons hérité de la mitose, de la symétrie (psychique et morphologique) , du couple morphologique de facteur {2-5} hérité de la mitose du BEC, et de la dualité entropique séparée par l’effet « peau ».

La Matrice Univers est contrainte d’exister par le paradoxe suivant : l’attracteur du zéro inertie absolue est impossible et une inertie > o est injustifiable. L’unique solution est l’obtention du zéro inertie par la symétrie des oscillateurs dipolaires, les Bodys-zéros.

Tous les scénarios en forme de « modèle » évitent soigneusement de justifier les causes physiques. Les concepts archaïques d’unicité et d’absolu, sont avantageusement remplacés par la dualité dans tous ses états et notamment la dualité de localité. Exit l’idée simpliste que l’expérimentation locale puisse se projeter totalement (d’une manière absolue) dans la non-localité.

Dualité de localité → dualité de masquage

Masquage par opposition : L’aspect dipolaire du Bodys, annule tous les paramètres physiques de ses pôles. C’est la seule et unique solution naturelle pour obtenir un zéro inertiel parfait, à défaut de l’impossible zéro absolu. La condition du zéro symétrique exige l’existence du lien causal entre les deux opposés. Ce lien causal est fonction des charges électriques opposées des pôles. Or on sait justement que la charge élémentaire est déterminée par rapport à l’électron selon :

le lien causal est proportionné à l’inséparable couple M.L

Or, l’électron et le positron sont d’ex-pôles séparés ou délocalisés.

la création LOCALE d’une paire électron-positron est INSTABLE car causalement lié. Elle diffère totalement d’une « création » NON LOCALE dont la STABILITE vient de la brisure de son lien causal.

Un physicien ne peut ignorer que la dualité de stabilité dépend de la dualité de localité. Et pourtant, ce fait crucial est totalement éludé.

Masquage par superposition : la loi DUO5 montre en détail pourquoi la saturation du BEC-fossile a réduit les intervalles tangentiels au point de rebroussement. Cela a forcé la fusion entre les pôles voisins en superposant les charges contraires. L’annulation des charges a donc brisé l’ensemble des causalités radiales. La variation brutale de l’annulation des charges a créé un fort de/dt² ou di/dt qui réintroduit un furtif lien causal, annihilant une grande partie des pôles. Les rescapées (1/α²) sont les paires électron-positrons qui ont fusionnées en neutrons. Si la configuration du neutron avait été adaptée pour conserver son électron, alors la Bulle-Univers serait totalement inféconde. Mais il existe une asymétrie naturelle qui s’exprime dans tous les modes d’empilage en couches, y compris sphériques. Il y a donc forcément une couche plus externe que les autres. Le hasard à généralisé la couche « électron » et donc c’est elle qui est expulsée après 887 secondes.

L’existence même de la Matrice Univers est basée sur le strict respect de la symétrie individuelle. Ainsi le positron stable ne brise pas la symétrie parce qu’il est toujours confiné dans les noyaux. Les signes des charges (+/-) étant purement conventionnels, un monde avec positrons apparent serait indistinguable de celui-ci. Par ailleurs, l’énigme nommée « excès de positrons » dans les rayons cosmiques, est entièrement résolue par DUO5 qui montre que les grosses étoiles reproduisent l’émergence originelle des pôles + et – et donc la symétrie positron-électron.

Dans mon article de mai 2022 consacré à la force faible, j’ai abordé la structure du neutron relative à la cohérence avec la loi KOIDE élargie . Comme le proton, le neutron est constitué de 1840 unités (920 paires électron-positrons) divisées en 4 groupes de couches neutres. Les 4 groupes sont séparés par 3 intervalles polarisés sensés retenir confinés deux paires électron-positrons. Les 3 intervalles polarisés génèrent les 3 quarks (u d d). Ci-après, la figure 1 montre que la couche « électron célibataire » est située plus à l’extérieur que la couche « positron célibataire ».

Instabilité du Neutron

Selon DUO5, toutes les échelles de la Bulle-Univers sont organisées en couches. Il y a d’abord, le BEC, puis la mitose, puis les particules et les atomes.

Fusion primordiale en monopôles

Sur l’aire du BEC-fossile, la délocalisation radiale des pôles de cette seule couche, a brisé le lien causal qui garantissait le zéro symétrique des Bodys. Chaque pôle (isolé) de Bodys, présent sur la couche externe, devient autonome en masquant ces charges par fusion avec ses voisins locaux. Après annihilation (facteur α²), cela forme des monopôles neutres qui ont ξ²/α² = 1015 fois la masse du neutron. Cette masse matche avec l’approche du modèle standard pour les monopôles. Cependant, ici ce sont les ancêtres lourd des neutrons qui seront divisés exactement à la masse actuelle du neutron via le facteur de mitose.

Mitose sans inflation

La loi DUO5 n’a nullement besoin de spéculer sur une « magique inflation » pour expliquer en détail la mitose dont la vitesse moyenne est de 2,5 c . En revanche, la dernière alternance des Bodys (allant du centre vers le point de rebroussement) se fait effectivement à ξ² c. Mais ce n’est pas une inflation, c’est juste la vitesse moyenne des pôles oscillants.

La loi DUO5 est cohérente avec le facteur de mitose ξ²/α² . C’est justement ce facteur qui divise la masse d’un monopôle neutre en masse de neutron. Mais en cours de mitose fractale, l’instabilité de chaque neutron, libère – après 887 s. – un électron et un neutrino pour devenir un pré-proton et donc, au terme de la mitose, un atome d’hydrogène. Le proton est la variable d’ajustement entre les deux paramètres, au terme de la mitose. Le modèle standard considère que :

« 380 000 ans après le Big Bang, alors que l’Univers est mille fois plus chaud et un milliard de fois plus dense qu’aujourd’hui, les étoiles et les galaxies n’existaient pas encore. » 

Cette affirmation, qui découle de l’erreur précédente, est fausse. En effet il n’y a pas eu de recombinaison puisque la température (annihilation d’une partie des l’électrons) est restée confinée dans les trous. En revanche la formation des protons s’établit au terne de la mitose fractale. A

avec la faible correction du passage en 3D (ξ3) après mitose soit (α²)5×3+1 = α16 :

Le facteur de l’axe radial en 1D de la mitose devient : ξ/α . Le rayon du BEC multiplié par ce facteur et divisé par la vitesse moyenne 2,5 c, donne le temps de la mitose et donc de l’apparition du proton :

Cette durée est bien plus grande que la durée de vie (locale) du neutron. C’est au cours des phases de mitose qu’évoluent les pré-protons jusqu’à leur terme.

Durée de vie du neutron

Avec les deux taux d’habillage σ (neutron et proton). La durée de vie du neutron dépend du temps élémentaire d’un électron (te) et du facteur de mitose déroulé en 5+1 phases soit : α12 = (α²)5+1 .

Le boson W, permutateur du statut de masquage

Le boson W est un médiateur quantique ↔ subquantique. C’est son action qui permute le statut de masquage de la paire confinée et destinée à devenir neutrino. Selon DUO5 le neutrino est de type Majorana, car la condition de conservation du nombre leptonique, imposée par le modèle standard est assurée sans appliquer d’artifice sur le neutrino. Selon DUO5, le neutrino est un Bodys quantique dans lequel deux pôles opposés s’annulent parfaitement. La masse non perturbée du neutrino est strictement nulle. Cela lui donne la capacité de se déplacer à la vitesse c. Ce sont les perturbations qui brisent en partie sa symétrie et lui donne une possibilité de masse, toujours avec l’application de la loi universelle M.L = Cte.

Les quarks

Le modèle standard fait l’erreur de considérer les quarks comme les éléments qui formeraient toutes les particules. En premier lieu, le muon existe bien sans quark. Les quarks sont liés à la notion de groupes et donc d’intervalles polarisés. La loi DUO5 montre clairement cette cohérence en montrant notamment que le muon n’est fait que d’un seul groupe neutre de paires électron-positron. En effet, son nombre d’unités neutres (206) ne peut pas se diviser autrement qu’en 103 pairs. Ainsi la masse des quarks est induite à la fois par la polarisation des intervalles et par l’action du couplage avec les Bodys.

Tableau issu de l’article sur les quarks

Les quarks ont le même ratio √ξ que le boson W, via le canal subquantique. Le quark B est d’ailleurs équivalent au boson de Higgs supposé par le MS, supérieur au Higgs mesuré.

Stabilité du proton

La tendance à la croissance de la couche « électron confiné » induit une polarisation extérieure de même signe, qui s’oppose à la force qui lui a donné naissance. Par définition cet équilibre n’est pas statique mais de type QCD, auquel il convient de rajouter l’influence permanente via le couplage subquantique.

Selon la loi M.L = Cte, la couche « électron » tend à prendre son rayon de Compton qui est 458 fois plus grand que le rayon du proton. La masse d’un seul des 4 groupes neutres (qui vaut 458 fois celle de l’électron) qui suffit largement à le garder confiné.

A suivre,

Une réponse

  1. […]  exprimée en unité électron habillé ou mesuré est validée comme étant issue de la mitose-expansion du BEC-fossile. Le proton P est la variable d’ajustement entre la mitose du BEC de […]

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