Loi DUO5-KOIDE(3) et cause des baryons

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Loi DUO5-KOIDE(3) et cause des baryons

La loi DUO5 démontre que la mitose fractale – facteur ξ en 1D – en 5 étapes de Fibonacci (1,2,3,5,8) est la source de l’émergence du proton P.

L’aspect aléatoire de ξ est compensé par le ratio α

Toutes les autres particules éphémères (baryons, mésons, muons) sont calibrées par l’aspect informationnel de cette mitose. La loi KOIDE initiale donnait une relation presque exacte entre 3 leptons. La loi DUO5 a d’abord augmenté la précision d’un facteur 100, puis l’a rendue strictement exacte dans le cadre d’une relation à 6 particules de familles différentes. Il faut rappeler que le facteur ξ5 (de source aléatoire) ne peut en aucun cas correspondre à la mitose idéale 25. Il apparaît donc ce coefficient d’erreur admissible k5.

La partie entière du proton soit 1840 unités masquées et donc neutres est donnée par :

Cette relation concerne la moyenne des Bodys en cours de synchronisation. Le facteur ξ5 indique le ratio entre l’amplitude spatiale / épaisseur de Planck. Son logarithme en base 5 préfigure la future configuration d’une fusion en proton. Le facteur Φ = 23 est donné par :

L’aspect informationnel qui calibre les particules éphémères commence par le muon :

qui donne une grande précision (sigma 6) avec le facteur :

Tableau des 6 familles de baryons connus

Les baryons sont configurés en 3 intervalles-quarks et doivent répondre aux contraintes suivantes :

1/ le nombre neutre entier pair N doit se diviser en 4 groupes entiers et pairs ;

2/ la division par Φ = 23 doit former un nombre entier et pair ;

3/ la division par 3×5 doit former un nombre entier ou rationnel;

4/ la division par 270 ( π+/-) doit former un nombre entier ou rationnel

5/ la division par 276 (πo) doit former un nombre entier ou rationnel

6/ au moins trois de ces divisions doivent satisfaire ces conditions

Si deux charges sont identiques cela revient à un nombre pair.

Tableau de 18 baryons

N = nombre d’unités neutres ; T = nombre avec charge ; τ = taux de couplage ; 23 = f(1840) ; 270 = pion neutre ; 276 = pion chargé

La division par 4 à la condition d’être paire, revient à la division par 8. C’est la première clé qui confirme l’empilage des couches de 4 groupes formant 3 intervalles-quarks. Les charges 1/3 des quarks sont les reflets du la charge entière du positron célibataire confiné. Il génère des polarisations qui s’opposent à son extraction. Ce sont des charges induites et non élémentaires. Les seules particules élémentaires, sont les paires électron-positrons, issues des pôles de Bodys séparés. Tous les baryons sont liés soit directement au nombre N = 1840 du proton ou soit indirectement via 23. le nombre neutre 1840 du proton présente un ratio rationnel avec le muon chargé selon :

Compte tenu que muon, pions, tauon, sont déterminés en fonction de lnn) selon :

on en conclut que tous les baryons sont également calibrés en fonction de lnn) .

Toutes les informations contenues sur le BEC-fossile telles que :

a) le nombre total de Bodys synchronisés formant l’espace-temps : ξ11 ;

b) le nombre de pôles séparés, faisant matière ξ8 ;

c) l’annihilation de taux α² ;

d) la mitose de taux ξ² en 5 étapes ;

e) la fusion en protons avec les 5 clés : 1, 2, 3, 5, 8 et 23 ;

f) le ratio ξ4 : Coulomb/Gravitation qui est la trace de la séparation non locale des paires électro-positrons disposées sur la circonférence du BEC-fossile.

sont vérifiables. Ce sont les résonnances informationnelles qui fixent la variété des particules éphémères qui sont créées localement.

Conclusion

Le modèle standard reste fidèle aux conclusions de l’école de Copenhague qui datent de plus d’un siècle. Comme toute la QCD, le classement des baryons s’est fait sur la base d’effets mais sans en chercher la cause. Pourtant l’idée de départ était légitime, car il s’agissait de remplacer par du concret local, les idées vagues et globales qui régnaient avant ce nouveau paradigme. Les énormes progrès en matière technologique, ont permis de fortes avancées sur l’expérimentation. Tout le problème réside dans l’interprétation. On a érigé en « principe » tout ce qui permettait de croire en l’universalité du local. Ainsi, à l’aide de puissants algorithmes mathématiques on a contourné la non localité des causes physiques. Devant les nombreuses énigmes révélées par l’expérimentation, on s’est alors retranché dans l’ancien réflexe de la classification descriptive. La recherche des causes a été considérée comme étant hérétique, à l’instar de la réponse de Feynman à l’un de ses étudiants curieux des causes : « calcule et tais toi !« . La grande rigueur voulue par l’interaction {expérience ↔ analyse mathématique} a été ruinée par l’introduction de « principes » cosmologiques caractérisés par un simplisme opportuniste.

A suivre : la cause des mésons et des muons

54 réponses

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