Le cœur du Bodys

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Le cœur du Bodys

Bodys : Boson Oscillateur Dipolaire Yin-yang Stochastique. Bodys est un clin d’œil au mot « corps » en anglais mais il est est volontairement invariant, se détachant ainsi du pluriel anglais (Bodies). Le « s » du Bodys a 5 autres significations.

Le zéro symétrique et non absolu du Bodys stochastique

Le modèle standard a raison de parler de « fluctuations » à propos du « vide » actuel et observable. Ce qui est couramment appelé le « néant » est l’état d’univers permanent apte à donner naissance à l’état d’univers en expansion qui lui, est observable. Il y a bien là une dualité d’états qu’il convient d’identifier et de traiter séparément. Ainsi les fluctuations (ou oscillations) de l’état observable et déjà constitué, ne peuvent être attribuées « en l’état » au néant. La loi DUO5 démontre que le « néant » ou état stochastique est constitué d’une infinité d’oscillateurs stochastiques 1D Bodys-zéros. La notion de « vide » (ou de continuum masse-espace-temps) n’existe pas encore, car ces oscillateurs Bodys ne sont pas connectés entre eux pour former une entité globale 3D et cohérente. Plusieurs questions se posent :

1/ Pourquoi l’impossibilité du zéro absolu d’inertie M ? Parce que toute fluctuation ou oscillation d’amplitude L – à l’échelle quantique ou subquantique – fonctionne avec la dualité de l’inséparable couple M.L.

En rajoutant la constante c (vitesse lumière) on obtient a fameuse indétermination de Heisenberg qui est donc héritée de cette loi fondamentale.

Ainsi l’impossibilité se traduit par : M ≡ 0A qui induit : L ≡ ∞ avec cette notation 0A qui précise la teneur absolue du zéro. Une amplitude infinie bloquerait catégoriquement toute évolution. Mais ce n’est pas tout ! On démontre également que toute valeur de M aussi petite que l’on souhaite, sera toujours séparée du zéro absolu par une infinité d’intervalles élémentaires.

2/ Pourquoi la Nature adopte-t-elle le zéro symétrique M.L ≡ 0S ? Pour le paradoxe suivant : le zéro absolu est impossible et M > 0 est injustifiable. Le zéro symétrique est donc la seule solution pour résoudre le paradoxe inertiel, caractérisé par l’impossible zéro absolu et M > 0. Ainsi le masquage par opposition symétrique des 2 pôles contraires, confère au Bodys un parfait zéro symétrique :

chaque pôle de ces oscillateurs Bodys-zéros – constitué du produit M.L – perd le caractère scalaire de M seul et peut donc s’annuler parfaitement par symétrie. Plus M au point zéro est petit, plus l’amplitude L sera grande. C’est grâce à ce zéro parfait (mais pas absolu), que la physique permet un nombre infinité d’oscillateurs. La loi M.L = Cte implique que la progression de chaque M des pôles, vers son point de rebroussement, se traduit par la réduction du L à parcourir. Cela veut dire que M est maximum au point de rebroussement. A chaque passage au point zéro, le hasard tire un M aussi petit que possible pour le cycle suivant. Le seul déterminisme de la nature est d’atteindre le zéro parfait absolu et à défaut, obtenir le zéro parfait symétrique.

La précision symétrique est-elle absolue ?

La loi physique fondamentale est représentée par :

Cela veut dire que l’impossible précision absolue admet un ΔMo au point zéro entre les deux pôles. Mais la relation canonique M.L = Cte compense cette éventuelle erreur.

L’impossible symétrie parfaite et absolue des masses initiales M et M’ au point zéro, s’exprime par un ΔMo. Mais le caractère indissociable de M.L = Cte compensera toujours le ΔMo par un ΔLo, obtenant ainsi un zéro parfait mais de nature non absolue.

A chaque cycle, le point zéro d’un Bodys tend à réduire chaque M vers le zéro absolu (et donc L vers l’infini). Il existe ainsi une infinité de « presque zéros absolus » dans le flou entourant l’impossible inertie zéro absolue. Plus Mo est petit, plus le potentiel d’amplitude spatiale Lo, est grand. Chaque Bodys est indépendant des autres. Il se présente comme une « corde » à une seule dimension. Il n’y a ni espace, ni masse ni écoulement du temps. L’entropie informationnelle, quasi infinie – qui se traduit par un immense brassage – ouvre la voie à une probabilité non nulle de synchronisation partielle. Les conditions de fusion de deux Bodys, sont extrêmement difficiles car il faut qu’ils soient à la fois : de même fréquence, de même phase et qu’ils superposent leur points zéros. Cependant une certaine tolérance est admise car une occurrence parfaite et absolue est impossible.

Un Bodys-type synchronisé

Par définition, un Bodys synchronisé ne peut-être seul. Mais s’il est synchronisé, c’est parce que ses paramètres aléatoires, présentaient des occurrences (presqu’exactes) avec ses voisins. Ainsi son moment ML au point de rebroussement est celui de l’électron (me ƛe). Son « reste à parcourir » est sa longueur de Compton. La cohérence générale de la loi  DUO√5, contraint le Bodys à se présenter comme une corde dont l’épaisseur est la longueur de Planck. Son point zéro propre, est la longueur de Planck. Nous le nommerons, le « point de Planck ». La relation 1 indique le ratio entre son potentiel d’amplitude L (RBEC) et son « point de Planck ». Donc sa masse au point zéro répond à : mo= me / L. Donc, selon ML = Cte, la masse de chacun des deux pôles, augmente au fur et à mesure que le potentiel d’amplitude diminue.

Image d’artiste d’un Bodys synchronisé

La masse à « presque zéro » au point zéro central, évolue à celle de l’électron, au point de rebroussement. L’épaisseur de corde reste à la taille de Planck mais l’intervalle est en croissance.

Les Bodys synchronisés formant le BEC-fossile

Dans l’état stochastique, l’entropie informationnelle (au sens de SHANNON) est maximale (nombre de configurations microscopies au sens de BOLTZMANN mais sans sa constante K relative à l’énergie). Il existe néanmoins un intense brassage statistique auquel on peut estimer un « équivalent temps » pour synchroniser les ξ11 = 10123 Bodys du BEC-fossile. Pour cela on prend arbitrairement, comme temps élémentaire, te= 10-21 s, soit l’inverse de la fréquence d’un électron. Ainsi, le nombre de « temps élémentaires » est égal au moins, à la factorielle 10123! dont l’estimation grossière minimale donne : 10123! = ( 10123)123. Donc cet « équivalent temps » minimum donne : te (10123)123 , soit des milliards de milliards fois plus long que la durée de cette Bulle-Univers limitée à 296 Gyl. Cela veut dire que la probabilité d’avoir plusieurs BEC-fossiles contemporains est statistiquement impossible.

La question courante : « Comment l’Univers a pu réunir une cohérence aussi parfaite pour réussir le monde que nous observons » est naïve. Elle relève encore et encore de la déviance vers l’auto-référence absolue. Nous ne sommes pas la référence absolue mais modestement, une des solutions du champ des possibles.

Les paramètres aléatoires moyens des Bodys « candidats » à la synchronisation, sont ceux que pouvons mesurer indirectement. Ainsi, le Bodys type (isolé) répond à ce ratio :

Relation 1

Soit RBEC, l’amplitude L du BEC-fossile divisé par la longueur de Planck qui fixe la taille du point zéro du Bodys type. La masse au point de rebroussement étant celle de l’électron (me), elle devient au point zéro : mo = me / ξ5, selon la loi ML = Cte. Cette relation est conforme à la cohérence générale de la loi DUO√5 dont les ratios sont résumés dans ce tableau :

Tableau 2

Le nombre Φ = 23, joue un rôle important dans la loi KOIDE élargie. Ce nombre clé apparaît dans la loi KOIDE élargie avec notamment : a) le ratio exact entre le muon nu et le pion+/- : 3Φ + 207 = 276 ; b) la somme : 5 premiers chiffres : (1+2+3+4+5) + 8 = Φ. Le BEC-fossile saturé comprend ξ11 Bodys distribués en ξ3 couches. Donc chaque couche est formée de ξ8 pôles de Bodys. La couche émergeant de l’aire du point zéro doit donc avoir un rayon ξ4 fois plus grand que son intervalle tangentiel élémentaire ℓp (la longueur de Planck). Cet intervalle élémentaire croît jusqu’au point de rebroussement du facteur ξ ce qui l’amène à la longueur de Compton ƛe divisée par ξ soit ƛo. C’est l’intervalle critique qui provoque la fusion.

Les ξ3 couches du BEC-fossile

Le volume du point zéro peut contenir ξ12 (>ξ11) « points » de Planck.

L’intervalle radiale entre couches est celui de la longueur de Compton de l’électron. La vitesse en sortie de Point zéro, fixée à : ξ c, évolue à c au point de rebroussement. Ainsi lors de la fusion-mitose, la première étape d’expansion est à vitesse c.

Un des ξ² (1023) BEC-étoiles

Ce nombre d’étoiles est conforme aux estimations standards. La mitose en ξ² BEC-étoiles a réduit le nombre de Bodys, tissant l’espace-temps à ξ9 Bodys / BEC. Ainsi les ξ3 couches en contiennent chacune, ξ6 . Cela veut dire que le rayon du point zéro est réduit à : Ro = ξ3p et donc ξ fois le rayon de Compton de l’électron (ƛe) soit 5,9 cm.

Au centre de chaque BEC-étoile, il existe un « point zéro commun » de rayon Ro = 5,9 cm dont l’aire émet et reçoit les couches de Bodys (tissant l’espace-temps), tangentiellement espacés de la longueur de Planck. L’intervalle spatial temps entre deux couches, est la longueur de Compton de l’électron. L’intervalle temps – celui de Planck – confère donc une vitesse de sortie ξ² fois celle de la lumière.

Ainsi le volume Vo = 890,97 cm3, de Ro contient ξ9 Bodys de taille « point de Planck ». Son aire contient une couche entière de pôles (ξ6), dont l’intervalle est fixé à ℓp. Comme le rayon du BEC est ξ2 fois plus grand, l’intervalle tangentielle croît jusqu’à la longueur d’onde de Compton de l’électron ƛe . Ainsi, au point de rebroussement, l’isotropie des intervalles entre pôles, assure l’équilibre du BEC-étoile type.

Energie potentielle du Bodys

C’est la longueur de Compton de l’électron qui fixe sa masse au point de rebroussement. Comme le rayon du BEC est ξ3 fois plus grand, alors – selon ML = Cte – la masse originelle d’un pôle vaut : mo = me / ξ3 . Le débit massique est constant car la masse augmente avec la diminution de la vitesse. La vitesse moyenne est donnée par co = R / te = c ξ3. L’énergie moyenne dans le confinement 1D, vaut : Eo = mo co² soit ξ3 fois celle de l’électron. Mais son extraction forcée dans l’espace 3D est réduite selon : 1D →3D = ξ3 → ξ (voir rayons cosmiques ci-dessous). En revanche l’énergie libérée au point de rebroussement saturé est égale à : me c². Si l’énergie transite par le canal d’une particule composite sous la forme d’un boson de jauge alors elle est réduite par la dispersion 1D → 2D soit : ξ → k √ξ.

Les rayons cosmiques

Au sein des étoiles est logé le « point zéro commun » de 5,9 cm. Son aire est pavée de pôles, chacun dimensionné au « point de Planck » et disposé sans intervalle. Au coeur des galaxies, la superposition de plusieurs BEC-étoiles, force les pôles à se superposer. Cela provoque leur extraction sous forme de paires électron-positrons relativistes. Fusionnées en protons, l’énergie de ces derniers est effectivement mesurée à un maximum de ξ fois celle d’un proton, soit : 1,45×1020 eV. Cette énigme (parmi les 50 du modèle standard), est ici élucidée.

Une partie de ces émissions, entre en collision et s’annihile partiellement en DM. Le reste est diffusé et une partie est détectée sur Terre.

Les bosons de jauge

On montre ici, que leur cause est relative à √ξ. Les bosons de jauge se manifestent furtivement par le canal subquantique 1D et se répartissent dans les couches 2D des particules composites. C’est donc la racine de ξ qui est mesurée. Le ratio ξ est partout et en premier lieu, son carré fixant le ratio entre la masse de Planck et celle de l’électron. On a donc une cohérence et une explication pour ce type d’observation.

la création non locale

On a vu que l’énergie restante des pôles de Bodys au point de rebroussement du BEC-fossile (à vitesse c) est celle affectée aux paires électron-positrons STABLES à leur niveau actuel. Elle n’est pas affectée du facteur ξ comme l’énergie relative à l’extraction (semi locale) en sortie du point zéro commun où la vitesse est ξ² fois plus grande. Elle est encore différente de la création LOCALE donc INSTABLE car, par nature, il n’y a pas de séparation causale.

En faisant l’amalgame entre « toutes les localités se ressemblent » et la « dualité de localité », le modèle standard a fait l’erreur d’exclure la paire électron-positron STABLE comme particule universelle et élémentaire, sous prétexte que sa création LOCALE est instable. La dichotomie {fermion-boson} doit être revue à l’aune de la dualité de localité.

10 réponses

  1. […] au terme de l’expansion, tous les pôles séparés seront de nouveau réunis dans chaque dualité des Bodys stochastiques. Ce recouvrement a déjà commencé dans le cadre des collisions de galaxies qui – phases après […]

  2. […] La Matrice d’univers permanente et stochastique, formée d’une infinité d’oscillateurs Bodys-zéros non […]

  3. […] ont tendance à se regrouper en valeurs les plus proches. Ces bosons primordiaux que sont les Bodys, ont un comportement grégaire, et se groupe par affinité. Sur les deux axes tangentiels, il […]

  4. […] : R = 1,42×1021 m ou 200 000 années-lumière. A sa saturation, il est formé de ξ11 (1,2×10123) Bodys synchronisés partageant le même « point zéro commun ». Le BEC-fossile est une émanation […]

  5. […] d’identité : état d’univers stochastique peuplé d’une infinité* de Bodys-zéros non connexes. Le continuum masse-espace-temps n’existe pas et l’entropie […]

  6. […] matière – sont à la limite de leur séparation mutuelle ou déchevêtrement . Plongés dans les Bodys stochastiques de la Matrice-Univers, ils subissent de plein fouet, son influence destructrice et […]

  7. […] état d’univers stochastique peuplé d’une infinité d’oscillateurs de type  Bodys-zéros . Son entropie informationnelle maximale, produit statistiquement une probabilité non nulle de […]

  8. […] superposition partielle). La matière élémentaire – constituée d’anciens pôles de  Bodys-zéros devenus paires électron-positrons – est toujours couplée aux Bodys. C’est ce couplage qui […]

  9. […] après la saturation-fusion des pôles – chacun séparé de son Bodys respectif – l’aire (2D) du BEC-fossile est pavée de paires fusionnées […]

  10. […] DUO5, la longueur de Planck est à la fois l’épaisseur de la « corde »  Bodys est celle du « point zéro » d’un Bodys seul synchronisé. Si la particule de Planck {mP […]

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