Cause de la gravitation

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Cause de la gravitation

La théorie d’Albert Einstein décrit parfaitement le comportement de la gravitation. Cependant elle n’en explique pas la Cause. Là encore on constate l’amalgame qui est fait entre décrire et expliquer. Contrairement au modèle standard, la loi DUO√5 met en avant les nombreuses occurrences physiques qui expliquent la Cause de la gravitation.

L’explication de la gravitation n’a nul besoin d’un postulat de plus car elle découle de la même cause que celle relative à l’explication de l’existence du néant.

Il n’y a pas 4 forces fondamentales mais une seule et unique sous la forme de la force électromagnétique ou force coulombienne. Mais là encore faut-il en expliquer sa cause ! On a vu que l’état d’univers stochastique éternel, est formé d’une infinité de de Bodys dont la symétrie de chacun (par ses pôles opposés), leur confère le statut de zéro parfait symétrique versus « impossible zéro absolu ». On a vu que hors du cadre mystique d’un déterminisme absolu, seule l’oscillation de paramètres physiques aléatoires, est justifiable. Ainsi, à chaque oscillation, un couple {inertie M + amplitude L} est tiré continuellement et aléatoirement. Il existe une infinité de couples {M.L} potentiels pour entretenir une infinité d’oscillations élémentaires.

La constance du produit de ce couple est partout omniprésente (voir équation de Dirac et longueur d’onde de Compton).

Le néant n’est pas naïvement fait d’un zéro absolu car une inertie M ≡ 0 (absolu) est non seulement impossible mais de plus, se traduirait par un état statique et donc non évolutif, à cause d’une impossible amplitude L infinie. De plus, dans le cadre d’une fonction continue et aléatoire – qui n’a pas d’intervalle élémentaire constant (qui serait défini par qui ?) – pour toute valeur inertielle aussi petite que l’on veut, il existera toujours une infinité d’intervalles la séparant du zéro absolu.

LE NÉANT EST FAIT D’UNE INFINITÉ D’OSCILLATEURS BODYS-ZÉROS DANS LESQUELS DEUX PÔLES CONTRAIRES S’ANNULENT PARFAITEMENT. LA CLÉ DU PARADOXE SE RÉSOUT PAR LE CONCEPT DE ZÉRO RELATIF ET SYMÉTRIQUE VERSUS ZÉRO ABSOLU.

Cet énorme brassage de l’infinité stochastique est ultra riche de probabilités de fusions-synchronisations, encore faut-il un « mécanisme » naturel qui les fige. Il dépend entièrement de l’effet de groupe, des premiers Bodys synchronisés. Il existe un cap où l’influence des « synchronisés » l’emporte accélérant ainsi la synchronisation. On a vu que la synchronisation (aléatoire) réclame 3 conditions strictes : a) superposition des points zéro ; b) accord des phase ; c) accord des fréquences.

L’incontournable nécessité d’un lien entre pôles de Bodys

La symétrie et M.L= Cte, sont les lois physiques canoniques de cet état d’univers stochastique éternel. Pour que les deux pôles d’un bodys, oscillent en cadence, il est nécessaire d’avoir une entité de genre « force » qui les lie. Or si la cohérence dimensionnelle du modèle standard fonctionne si bien, c’est parce qu’elle s’appuie sur la définition de la charge élémentaire e à partir de M.L de l’électron (ex-pôle séparé). Cette belle harmonie n’est par fortuite. Elle révèle que l’existence de M.L est toujours compensée par ce besoin de rappel au point zéro représenté par la charge et la conductivité de la trace d’un pôle formant un courant : i = e / t . Ceci est la cause profonde de l’existence de la force électromagnétique.

La loi : 0 ≡ ML + ML’ nécessite deux charges opposées Q ↔ Q’ qui justifie l’existence de la force coulombienne.

De cette force sont dérivées toutes les autres dont la force gravitationnelle

Le gradient coulombien de la périphérie du BEC-fossile

Lors de la saturation de la surface du BEC-fossile, elle est peuplée de ξ8 pôles venant chacun de perdre son lien radial avec son Bodys. Ce nombre ξ8 présente de nombreuses autres occurrences dont celle de la masse estimée de la Bulle-Univers (et non pas de l’univers). Ainsi, une géodésique de cette sphère, comporte ξ4 pôles sur un demi périmètre. De ce fait, sur l’axe tangentiel, il existe un gradient de l’ex-force coulombienne radiale. La relation suivante montre que ce gradient de charge représente la force gravitationnelle :

ratio entre la force coulombienne et gravitationnelle entre 2 électrons

Le lien radial entre deux pôles opposés sur le BEC-fossile, est rompu. Cependant il reste un lien tangentiel via le gradient des ξ4 pôles disposés sur une géodésique (demi périmètre) de la sphère. Chaque couple séparé, reste faiblement lié à son partenaire situé à l’opposé, via tous les autres. Comme ξ, α, me, sont connus avec une grande précision, on peut en déduire une meilleure valeur numérique de G, dont les différentes mesures ne s’accordent que sur quelques décimales :

G = 6,672420615571920×10–11 m3 / kg / s²

Par ailleurs, le modèle standard a parfaitement posé cette relation :

dans laquelle e² est fonction de M.L

Qui montre que le carré de la charge élémentaire est ajustée pour compenser le produit ML= Cte, des pôles de Bodys et de l’électron qui en est issu. Ainsi sur la périphérie du BEC-fossile, la saturation superpose et annule les charges radiales. privée de charge, la force radiale de liaison des pôles de Bodys est ainsi rompue. Mais toute géodésique tangentielle comprend ξ4 pôles qui cumulent un très faible gradient de cette charge d’intensité particulière égale à 1/ξ4. Ainsi la gravitation évite l’hérésie de la séparation définitive (ou absolue) des pôles. Le nombre de pôles séparés en 2D cumule une masse relative à 2× ξ8 / α² unités élémentaires. Je rappelle que la cause de α² est le ratio d’annihilation primordiale. Cette masse de l’univers est en accord avec l’estimation standard, soit 3×1055 kg . En outre, elle montre de nombreuses occurrences avec les subdivisons telles qu’amas, galaxies et les ξ² étoiles primordiales environ 300 fois plus massiques que le soleil.

Fusion, annihilation et déclenchement de l’expansion

Quand l’aire du BEC-fossile est saturée (intervalle très réduit), les pôles contraires s’attirent et fusionnent. Cela provoque le brusque masquage des charges électriques e. Ce de/dt² provoque un court-circuit radial non local qui devrait annihiler l’ensemble des paires électrons-positons à peine créées. Mais comme une synchronisation parfaite et absolue est impossible, les Bodys ont des amplitudes légèrement différentes. Cela revient à considérer que la sphère du BEC est bosselée. Cela veut dire que le court-circuit épargne les rares amplitudes les plus éloignées du rayon moyen du BEC. C’est ainsi que cette annihilation :

1/ épargne en 1D , 1/α = 0,00729 des pôles et en 2D 1/α² des pôles.

2/ l’intervalle élémentaire – agrandi du ratio α – résout d’emblée l’énigme du rayon classique de l’électron qui est α fois plus petit que son rayon de Compton.

3/ Cet élargissement provoque le déclenchement de la mitose du BEC-fossile en ξ² BEC-étoiles qui suit en 5 phases.

4/ comme le lien radial est brisé, les paires électron-positrons sont libérées et ne rebroussement pas vers le centre. Elles conservent leur impulsion finale à vitesse c. C’est la cause de l’expansion.

5/ La séparation causale n’est pas absolue car elle conserve un gradient coulombien sur l’axe tangentiel, qui est la clé de la constante de gravitation G :

Dualité gravitationnelle

La médiation de la gravitation passe par le couplage {matière ↔ Bodys ↔ matière} tout comme la médiation électromagnétique de laquelle est est issue. Cette force est mesurée et varie en 1/r². Mais il existe une déclinaison subquantique et constante de cette force qui tend à concentrer les masses vers le centre du BEC. Le BEC minimise les dissymétries perturbatives relatives aux couplages avec la matière. La meilleurs symétrie est obtenue en compactant les masses au centre sous forme d’étoile. Cette accélération constante centripète vient du gradient relatif aux ξ3 couches radiales de pôles d’un BEC-étoile. La dérivée de l’intervalle radiale constant par le carré du temps d’un cycle du BEC (te²), donne l’accélération centripète selon :

Cette accélération centripète faible mais constante, résout 3 énigmes :

  • accélération centripète de Pioneer 11 mesurée à cette intensité
  • rapidité de la concentration des premières étoiles (330 masses solaires)
  • l’effet cisaillement de la DM aux limites des BECs galactiques (R = 1.42640×1021 m soit ~ 150 années-lumière).

Cette accélération est négligeable sur la Terre car elle est plus d’un million de fois inférieure à celle relative à l’action gravitationnelle classique en 1/r² du Soleil (6×10–3 m / s²).

Accrétion rapide des étoiles de première génération

En revanche, l’action gravitationnelle classique en 1/r², propre à un nuage d’hydrogène équivalent à 330 masses solaires et disposé aux limites d’un BEC-fils, est ξ fois plus faible que ce gamma constant. Or cela ne « colle » pas avec la durée d’accrétion des premières étoiles. Estimée à seulement 2 millions d’années environ, cette formation ne s’explique qu’avec cette force constante dont l’intensité est bien plus forte aux grandes distances. estimée . Cela résout donc l’énigme relative à la formation ultra rapide des étoiles et galaxies de première génération. Chaque étoile est alors calibrée dans son BEC hôte ainsi que chaque galaxie dans son halo de BECs enchevêtrés. La durée de vie de ces étoiles (très courte) donne vie aux étoiles de seconde génération, dont la diversité est largement amputées par l’altération de la matière en DM, relative aux collisions de galaxies.

La courbure de l’espace-temps

Albert Einstein a parfaitement décrit le comportement de la gravitation par le truchement de la courbure de l’espace-temps en fonction de l’intensité d’une masse. On a même pu vérifier – à l’aide de gyroscopes embarqués dans un satellite – une légère déviation relative à la courbure gravitationnelle due à la masse de la Terre. Cependant la représentation mathématique de l’espace-temps comme un « tissu déformable », n’explique en rien la structure physique de l’espace-temps. Selon la loi DUO√5, la courbure de l’espace-temps est une des interprétations mathématiques de sa structure physique.

Évoquer la structure de l’espace-temps comme un « tissu » souple, sensible aux masses, ouvre certes la voie à une approche mathématique qui rend compte des mesures. Cependant il faut être conscient que cette approche par les seuls effets, revient à éluder les causes physiques. L’univers suit des lois physiques que la puissance des mathématique réussit à éluder. Il y a par exemple l’incompatibilité entre la théorie quantique et celle de la gravitation. La loi DUO√5 part des lois canoniques de la matrice d’univers (stochastique) ayant généré l’univers observable. D’emblée parler de l’univers comme d’une entité unique est une erreur fondamentale. Comme on l’a vu, il existe un état d’univers éternel dont l’existence est forcée par le paradoxe relatif à l’impossible zéro absolu inertiel. Ainsi il est caractérisé par une infinité de Bodys dipolaires présentant chacun un zéro parfait par symétrie. La paradoxe du « néant » est qu’il fourmille d’oscillateurs dipolaires stochastiques composés d’élément dont le confinement en opposition affiche un zéro parfait. La dualité d’une telle intensité d’entropie (informationnelle) consiste en une probabilité non nulle de synchronisation de Bodys. Ainsi est formé un BEC composé de couches oscillantes et synchronisées de Bodys. Cela représente déjà un espace-temps mais potentiel car sa symétrie n’est pas (encore) perturbée par des masses non encore apparues. On a vu que le masquage des charges sur la couche externe (sphère 2D) du BEC, opérait une séparation généralisée des pôles qui ne pouvaient donc plus s’annuler par opposition dans leur Bodys hôtes. Cette séparation a révélé les masses en paires électron-positrons de suite fusionnées en neutron-protons. Leur impulsion conservée a entrainé l’expansion. Dans le même temps la saturation des couches restées en mode Bodys, est entrée en mitose jusqu’à obtenir des BEC-fils équilibrés. Ces BEC-fils sont composés de Bodys qui représentent physiquement le tissu d’espace-temps par enchevêtrement. Chaque BEC-fils est la matrice d’une formation d’étoiles dont la masse perturbe la symétrie des Bodys.

Perturbation, couplage subquantique et courbure

Toute la matière est faite de pôles séparés devenus e+, e. On a vu que la séparation des pôles n’est pas parfaite via le couplage avec les Bodys subquantiques formant l’espace-temps. On a vu que ce couplage perturbe la symétrie spatiale des Bodys. Cela se traduit par une légère perte de masse du pôle « voisin d’un électron » qui lui cède un excède masse. Cela se présente sous la forme d’un spectre de fréquences harmoniques de la fondamentale du Bodys. C’est ce que l’on appelle l’habillage des particules composites ou non.

Ainsi on peut comprendre (et pas seulement décrire) comment la symétrie spatiale est déformée par une concentration de masse. La loi DUO√5 donne une explication physique au « tissu déformable » de l’espace-temps. Mais cette « déformation » ou courbure n’explique pas tout ! Il faut comprendre comment s’opère la médiation entre les masses. Cette médiation passe par le canal subquantique via le point zéro commun d’un BEC-fils. Toutes les relations (de types : spin, bosons de jauge, relativité, électromagnétique ou gravitationnelle) passent obligatoirement par le centre du BEC (point zéro commun) car il n’y a rien entre les mailles des Bodys !

Explication physique de c = Cte

Plus on se trouve près du centre, plus l’intervalle entre Bodys se réduit. Mais dans les mêmes proportions le temps de transfert des pôles subquantiques au centre, se réduit également. C’est ainsi que c = Cte. Cette constance est conservée même dans le cas de fortes concentrations de masses au centre des galaxies très massiques. Le resserrement du taux d’enchevêtrement des BEC-étoiles, revient à agrandir le rayon du point zéro commun. Donc si l’intervalle élémentaire tangentiel d’un point x, passe en dessous de la longueur de Planck à l’approche du point zéro commun, alors cette diminution sera exactement compensée par le raccourcissement du trajet subquantique entre ce point x et le point zéro commun. Or on a vu que ce niveau de rétrécissement de l’intervalle élémentaire, amenait à des superpositions de pôles qui annulent leurs charges et donc les libèrent sous forme de particules massiques. C’est la cause des rayons cosmiques. On rappelle ici que la cause de la vitesse c et la cause de sa constance, sont ignorées par le modèle standard.

Pour tout point x sur le rayon d’un BEC, le saut direct d’un intervalle élémentaire L(x) est impossible pour un photon. La seule solution est d’emprunter le canal d’un pôle subquantique pour transiter via le point zéro commun.

Plus x est petit plus le temps de transit est petit et donc : L(X)/T(x) = Cte = c . Le ratio entre la distance x et l’intervalle L(x), est celui du ratio des vitesses {subquantique / quantique}.

On a vu cependant que lorsqu’un corps massique s’approche de la vitesse de la lumière c, son énergie de masse augmente à cause de l’augmentation du taux de perturbation et donc de son habillage. Ainsi l’écoulement du temps local (embarqué) se ralentit en fonction de l’augmentation de masse. Cela est conforme à la loi des oscillateurs. Augmenter la masse du pendule d’une horloge c’est ralentir son mouvement. La loi ML=Cte, réduit en outre la longueur dans le sens du déplacement.

4 réponses

  1. […] un précédent article nous avons abordé la cause de la gravitation. Comme toutes choses, elle prend forme sur l’aire du BEC-fossile, lors de la séparation […]

  2. […] un gradient de force tangentielle, à travers les ξ4 pôles disposés sur la demi-circonférence. C’est la gravitation comme le prouve clairement la relation suivante […]

  3. […] lien coulombien s’est transformé en lien gravitationnel. On a vu que ce dernier est juste le gradient de la force coulombienne lors de la séparation primordiale sur l’aire du BEC fossile. Ainsi, au terme de […]

  4. […] la dualité gravitationnelle dont l’action classique en 1/r², possède une faible composante constante mais limitée aux BECs. En approchant linéairement ce Δva (avec indice « a » pour attracteur) […]

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